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sur 1628 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Après un interrogatoire avec une jeune femme qui a "renversé" un pédophile et qu'elle décide de passer sous silence, l'inspectrice Hulda Hermannsdóttir rentre directement chez elle. Pensive toute la soirée maintenant que l'âge de la retraite approche à grands pas. Veuve depuis quelques années, elle s'interroge également sur la relation, pour l'instant amicale, qu'elle entretient avec Petur, même si l'idée de se retrouver seule la terrifie. le lendemain, elle a d'autres choses en tête puisqu'elle a reçu un mail de son supérieur, tard le soir, la priant de se présenter à son bureau. Et quelle n'est pas sa surprise de l'entendre dire qu'une nouvelle recrue les rejoint le mois prochain pour la remplacer et que, de ce fait, il serait tout aussi préférable que Hulda prenne sa retraite tout de suite. Une nouvelle qui l'estomaque et la laisse sans voix, elle qui a, depuis toujours, tout donné pour son boulot. Elle négocie tout de même avec son patron pour qu'il la laisse s'occuper d'une affaire non résolue, celle de son choix. C'est ainsi qu'elle se plonge dans le dossier d'une jeune demandeuse d'asile arrivée de Russie, Elena. La victime, selon le légiste, se serait noyée. Si des plaies à la tête pouvaient suggérer qu'elle avait reçu des coups, elle aurait tout aussi bien pu trébucher. Très vite, Hulda se rend compte que son collègue chargé de l'affaire a bâclé son enquête...

Premier volet de la série mettant en scène l'inspectrice Hulda Hermannsdóttir qui, à quelques jours de la retraite, décide de les consacrer à un cold case. Ce roman alterne trois récits : l'enquête menée par Hulda, l'histoire d'une mère séparée de sa fille et celle d'une femme partie randonner avec un homme. Trois récits qui, au fil des pages, se recoupent. Si le final peut surprendre, de même que les révélations concernant la famille d'Hulda et les événements traumatisants inhérents, si les paysages de l'Islande sont bien dépeints, l'ensemble, certes bien ficelé, manque de profondeur et de relief et aurait mérité plus de pages, certains sujets ayant pu être plus (mieux) développés. le personnage d'Hulda, malgré ses drames vécus, sa bonne volonté, son dévouement, peine à émouvoir. Et ses apitoiements et ses questionnements à longueur de journée finissent par lasser.
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Bon, ben c'est une déception, hein. Je pensais que ce serait mieux ficelé que ça, pour tout dire.


On suit une inspectrice de la brigade criminelle islandaise, Hulda, qui doit partir à la retraite quelques mois plus tard. Sauf qu'on lui demande de prendre sa retraite plus tôt que prévu et de partir dans la quinzaine, tout en l' autorisant à jeter un oeil sur de vieux dossiers et à enquêter sur une vieille affaire de son choix. La voilà donc partie pour s'intéresser à la mort d'une jeune réfugiée russe qu'on a retrouvée noyée un an auparavant.


C'est pas que l'enquête en elle-même soit totalement dépourvue d'intérêt ou qu'elle soit ennuyeuse, mais pour faire vite, c'est davantage le personnage de Hulda qui accroche que l'énigme en elle-même. On la voit à la fois montrer de l'empathie pour une morte que tout le monde s'est empressé d'oublier, se préparer à ce qui pourrait être une nouvelle relation de couple (elle est veuve), et freiner des quatre fers pour partir en retraite. Et puis on va s'apercevoir, dans le dernier tiers du roman, que de l'empathie, elle n'en a pas tant que ça. Qu'elle commet bourde sur bourde, alors qu'on la prenait pour une bonne flic. Et qu'elle a un passé chargé, mais ce qui s'appelle chargé, mais alors très très chargé. Beaucoup trop chargé. Qui regarde des séries policières scandinaves sait que les Danois et les Suédois ont la main lourde sur leur scénarios. Ce sont de tels adeptes du retournement de situation (une révélation à la fin de chaque épisode !) que c'est toujours trop. J'ai tendance à me faire avoir souvent (très souvent), parce que je suis tenue en haleine, mais à la fin je me demande toujours "Oui mais comment Machin a pu être à deux endroits à la fois, ou faire ceci, ou faire cela ?" Bon, là, ça fonctionne autrement, mais avec cette même idée d'en rajouter des tonnes.


J'ai pas bien vu l'intérêt d'alterner les chapitres sur l'enquête avec, d'abord, des chapitres sur une femme dont on ne sait pas qui elle est, ni à quelle époque elle vit. Ce qu'on comprendra petit à petit, avant LA révélation (ben oui, quand même, bien que cette révélation soit inutile puisqu'on a très bien compris qui était la femme). Quand ces chapitres sont clos, l'auteur les remplace alors par les dernières heures de la vie d'une victime (de meurtre, suppose-t-on). Ragnar s'est ingénié à utiliser des astuces pour qu'on ne comprenne pas non plus qui est cette victime. Bon, d'accord, admettons. Mais à part essayer de perdre le lecteur (qui n'est tout de même pas si bête), c'est assez inutile, car tout ce qu'on apprend dans ces chapitres sera résumé plus tard. Et ça, je ne peux pas m'empêcher de me dire que c'est sûrement dû au fait que l'auteur a revu la première version de son roman. Or, il aurait fallu se débarrasser de tout ce qui était superficiel - car ce procédé n'installe pas à proprement parler une ambiance, mais montre surtout qu'on cherche à nous faire découvrir la fin le plus tard possible. C'est juste une astuce, et au final c'est donc du remplissage.


J'en viens par conséquent au véritable mystère de ce livre, qui touche, à ce que j'ai compris, tous les romans ou presque de Ragnar Jónasson. La traduction française est en fait la traduction d'une traduction. le roman a été écrit en islandais, mais pour une raison que j'ignore (problème avec l'éditeur islandais ?), Ragnar Jónasson a souhaité reprendre la version anglaise uniquement, qui est devenue la base de travail pour les traducteurs du monde entier. Certes, je suis à peu près certaine que c'est lui qui a effectué la traduction en anglais. Il n'en reste pas moins que ce n'est qu'une traduction, et qu'en français comme dans de nombreuses autres langues, on se retrouve avec une traduction d'une traduction. Que ça soit là la volonté de l'auteur ne change rien à cette absurdité totale. Et comme en plus notre traducteur français n'a pas été hyper consciencieux, on se retrouve avec des personnages qui se vouvoient alors que les Islandais se tutoient (décidément, ce truc du tutoiement ne passe pas chez les traducteurs), ou, pire, avec une tournure de phrase typiquement anglaise traduite littéralement en français (donc qui ne ressemble à rien).


Je suis un peu fatiguée de ces idioties éditoriales. Pour ce qui est de l'intrigue à proprement parler, disons que le roman se lit vite, qu'il n'est pas ennuyeux, mais loin d'être passionnant à mes yeux. Je passerai donc mon chemin pour ce qui est des deux autres enquêtes de Hulda.
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Plus au nord que la dame de Haute-Savoie de Francis et que la dame de pique d'Alexandre : la dame de Reykjavík (Hulda, inspectrice de police).
Et à l'ouest, depuis que son chef Magnus lui a annoncé son départ en retraite, anticipé de six mois. Un jeune collègue prometteur la remplace, il est déjà installé dans son bureau, elle n'a que quelques jours pour plier bagage. Magnanime, Magnus autorise Hulda à reprendre une affaire non résolue pour "s'occuper" avant de partir. Elle choisit d'enquêter sur le décès d'une jeune femme russe, survenu un an plus tôt.

Que de drames et de victimes, dans cette intrigue !
Des enfants mal(-)traités et traumatisés, des parents en difficulté, des 'justiciers sauvages', des demandeurs d'asile, des flics tire-au-flanc (ou ripoux ?), et en leitmotiv, une sexagénaire blessée d'avoir été mise sur la touche et angoissée par la perspective de sa retraite imminente. Tellement angoissée qu'elle fait n'importe quoi, vraiment n'importe quoi...

Lecture poussive et décevante : trop de digressions, de drames intimes et de pistes à la fois théâtrales et seulement ébauchées.
Je n'ai pas réussi à apprécier Hulda, malgré ses blessures (trop geignarde ? de mauvaise foi ?). D'ailleurs, je n'ai guère cru au personnage, pensant fréquemment qu'une femme de soixante-cinq ans d'aujourd'hui ne se serait pas décrite ainsi - si 'vieille', en fait.
Quant au dénouement, il m'a rappelé ces bons vieux Mary Higgins Clark où...

Je n'adhère décidément pas aux polars islandais, à leur ambiance plombante... J'ai abandonné Arnaldur Indriðason après trois titres lus, et 'Le crime' d'Arni Thorarinsson m'avait laissée complètement abattue aussi.
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Est-ce l'écriture ou la traduction, mais j'ai failli le lâcher à cause des répétitions, apitoiements et détails de vie matérielle. J'ai lu autre chose et l'ai repris. Ce que je ne regrette pas. le patron de Hulda, 64 ans, lui donne le choix de rouvrir une affaire non résolue, histoire de l'occuper ces derniers jours avant la retraite. Elle va enquêter sur celle d'une jeune femme russe immigrée retrouvée morte sur une plage déserte. Bonne intrigue et la fin est loin des clichés attendus.
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Hulda, 64 ans, passe sa dernière année dans la police. Elle va devoir prendre sa retraite mais comment va-t-elle s'occuper, la police est toute sa vie? Cerise sur le gâteau, son chef lui annonce qu'elle devra partir dans quinze jours. Son remplaçant arrive. Il lui propose en lot de consolation de reprendre une affaire non résolue, n'importe laquelle. Elle reprend alors l'enquête sur une jeune fille russe, demandeuse d'asile et retrouvée morte dans une crique. Verdict de la première enquête: suicide .....
Première lecture de cet auteur et aussi dernière, je crois. le livre se lit vite. Pour les amateurs de polars "soft", pas de descriptions sanglantes ni de scènes de tortures... L'histoire et l'écriture sont assez conventionnelles. L'auteur nous décrit les paysages islandais et aussi, très bien la météo du jour. Un peu redondant à mon goût. Certes, plusieurs histoires s'écrivent en parallèle mais on sait très bien que tout va s'éclairer au fil des pages. Pour être honnête, je n'avais pas vu venir le coupable donc suspens maintenu. Mais alors, le final, j'ai eu l'impression que l'auteur me proposait l'entrée, le plat de résistance et le dessert avec crème fraîche (bien évidemment) sur la même assiette. Trop de couches superposées mais ne constituant pas, pour ma part, un délicieux mille-feuilles.
Vous l'aurez compris, avis assez mitigé. Beaucoup de polars venant du Nord mais tous n'ont pas les mêmes qualités. A nous de faire un tri. Belle lecture!
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Encore un polar nordique, mais qui se démarque un peu des autres.
Hulda Hermannsdottir est inspectrice de police à Reykjavik. Elle a 64 ans, elle est veuve, sans enfants, et son patron vient de la mettre brutalement à la retraite pour confier son poste à un jeune et brillant inspecteur. En cadeau, il lui laisse deux semaines pour résoudre l'affaire non classée de son choix. Hulda va donc reprendre une enquête sur la mort d'une jeune Russe, et aller au devant d'ennuis...
Ce roman policier est un peu déroutant : l'Islande n'apparaît pas très sexy ici (vent, pluie, boue -et ça se passe au printemps !), et le comportement de ses habitants est plutôt rude. En outre, Hulda -comme ses collègues le lui reprochent- est lente et travaille à l'ancienne. Mais cela n'influence pas la lecture de ce livre : les chapitres sont courts, le style est sec, on ne s'ennuie pas. Ce qui m'a particulièrement plu, c'est justement le personnage de Hulda : habituellement, les polars nordiques ont pour héros de vieux flics dépressifs ; ici, c'est une femme, pas très sympa, qui cumule les gueules de bois et les problèmes, qui se prend en pleine tronche des réflexions blessantes sur son âge, son sexe, et sa valeur, et qui commence à douter d'elle-même ; Hulda m'a beaucoup touchée.
Toutefois, je n'ai pas trop accroché aux deux intrigues supplémentaires qui se glissent dans le récit, ni à l'enquête en elle-même. Et vu l'image donnée de l'Islande, j'avais plutôt envie de la quitter au plus vite -ce qui démontre néanmoins le talent de l'auteur pour planter un décor et une ambiance, bien qu'ils soient durs et ternes.
Je préfère en rester aux chansons de Björk et Sigur Ros.
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Je venais de finir Siglo, le sixième tome des aventures d'Ari Thor, l'autre héros de Ragnar Jónasson, et j'avais envie de rester en Islande avec une nouvelle enquête à me mettre sous la dent. La dame de Reykjavik s'est donc imposée à moi.

Bien que l'on change de personnage principal, on ne se sent pas perdu le moins du monde. La structure des premiers romans de l'auteur est de nouveau là, l'ambiance islandaise également. J'avoue cependant avoir été surprise de découvrir notre héroïne à la fin de sa carrière, à quelques semaines de la retraite. Je savais qu'il y avait d'autres tomes et je voyais mal Ragnar Jónasson faire de Hulda une détective privée par la suite. Donc mystère, mystère.

Pour cette enquête, c'est encore un autre sujet que l'auteur met en lumière : l'émigration. Et comme dans beaucoup de pays, les émigrants n'ont pas la vie facile en Islande. On se ne soucie d'ailleurs pas beaucoup de ce qu'il peut leur arriver. Mais Hulda rouvre un Cold Case et elle est bien déterminée à savoir ce qui est arrivé à Elena, jeune ressortissante russe morte dans des conditions étranges.

Si j'ai accroché au personnage d'Hulda, j'avoue que comme pour Natt, j'ai eu du mal avec la narration. L'enquête passe très souvent en second plan pour se consacrer à notre héroïne. Et c'est clairement dommage. Il était intéressant de voir la remise en question d'Hulda sur sa vie, sa carrière, son avenir, mais n'ayant que peu d'indices sur son vécu et qui elle était vraiment, il était difficile d'appréhender cela dans sa globalité.

L'enquête, elle, avance doucement, avec des indices qui se révèlent au fur et à mesure. Les suspects sont nombreux, les témoins pas toujours coopératifs, la barrière des langues compliquant le tout. Mais j'avoue que cette partie du roman m'a vraiment plu. Je n'avais pas vu venir l'identité du coupable et les différentes explications que nous avons tenaient la route du début à la fin.

Là, ou par contre, j'ai été déçue, c'est au sujet d'Hulda, ou plus exactement de la façon dont son personnage est traité et construit. Je ne comprends pas ce masochisme qu'ont les auteurs de polars à vouloir faire de leurs personnages les êtres les plus malchanceux et malheureux du monde. Cela n'apporte rien. Un héros qui a une vie personnelle heureuse et épanouie peut faire un sacré détective. Cela n'enlèvera rien à l'univers sombre qui accompagne ce genre de récit. Et ici, il y a clairement de l'acharnement. J'ai trouvé cela vraiment trop. Surtout qu'au tiers du roman, je savais comment cela allait finir. J'ai eu l'impression que Ragnar Jónasson accablait encore et encore son héroïne. Faites le compte, arrivé à la fin du roman et il y a bien huit événements majeurs qui ont détruit sa vie.

J'aime toujours autant la plume de l'auteur et La dame de Reykjavik reste un bon roman surtout au niveau de l'enquête. Cependant, l'acharnement, encore une fois, m'a semblé inutile voire rédhibitoire. Je vais quand même poursuivre avec les deux autres tomes, pour voir ce que Ragnar Jónasson nous prévoit, car comme inspectrice, Hulda est quand même une sacrée pointure.
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Un bon polar au pays de la neige, du froid, de la pluie et des volcans .
Un personnage central attachant et dont on sent rapidement qu'il y a eu une poussière dans les rouages qui a fragilisé l'édifice.
Une intrigue bien menée .
Un livre qui se dévore facilement, presque goulûment.
Bref, une bonne pioche qui me donne envie de découvrir davantage cet auteur .
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L'inspectrice Hulda n'a pas eu une vie facile, ni sur le plan professionnel, ni sur le plan personnel et pour elle, dans quelques mois, c'est la retraite...Et cela lui fait plutôt peur : toute seule dans son petit appartement, des journées vides sans le moindre but...
Mais non, elle vient d'être convoquée par son chef, le retraite, c'est tout de suite : elle peut vider ses tiroirs et quitter son bureau. Son successeur est déjà nommé, ses affaires en cours on été réparties entre ses collègues. Voila c'est la fin..
Paniquée, elle obtient un délai de "grâce": 15 jours et la possibilité de revoir une affaire qui n'a pas abouti.
Hulda a choisi de travailler sur la mort d'Elena une demandeuse d'asile russe retrouvée morte noyée : suicide ou accident a conclu son collègue, pas très curieux.
Mais voila, une des premières choses qu'Hulda découvre c'est que la jeune femme venait d'organiser une petite fête pour célébrer l'obtention de son statut de réfugiée : pas vraiment dépressive ni suicidaire, alors.
Hulda en est sûre, il s'agit d'un meurtre. mais qui a tué Elena et pourquoi ?
15 jours...15 jours aussi pour revoir sa vie, en faire le deuil et décider de ce que sa retraite sera...C'est bien court, il faut faire vite...
Pour "faire vite", le roman est rapide et extrêmement bien construit.
Mais j'ai trouvé qu'il manquait un peu d'"épaisseur": ce n'est pas de l'Indridasson !
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Alors qu'elle est mise à la retraite d'office, Hulda, inspectrice à la brigade criminelle de Reykjavik, obtient de pouvoir mener une dernière enquête sur une affaire non résolue: un an plus tôt, une immigrante russe a été retrouvée morte. L'inspecteur chargé de l'enquête, peu intéressé, avait bâclé le travail et conclu au suicide.

Ma lecture s'annonçait plutôt sous de bons auspices: l'héroïne était différente de ce qu'on voit en général dans les romans policiers, l'enquête qu'on suit partait pour être intéressante et l'Islande et ses paysages étaient un cadre attrayant. La première cinquantaine de pages m'avait plu, j'étais confiante.

Mais au fil de ma lecture mon désintérêt allait croissant… L'héroïne a fini par m'ennuyer, l'enquête n'avançait pas trop et le schéma narratif était assez similaire à celui du seul autre livre de l'auteur que j'avais déjà lu. Vu la brièveté du roman, j'ai quand même voulu aller au bout, mais je n'ai pas du tout été satisfaite par la fin et, vu le temps qu'il m'a fallu pour venir à bout de ma lecture, j'ai regretté de m'être accrochée.

Pour les points positifs, je citerai malgré tout les intéressantes réflexions sur le temps qui passe et la difficulté d'accepter l'approche de la vieillesse. le contexte islandais m'a plu également.

Après cette nouvelle déception avec un roman policier nordique, je me demande si je ne devrais pas me faire une raison et me diriger vers d'autres régions du monde pour les histoires policières. Peut-être que d'autres genres de littératures nord-européennes me conviendraient mieux, si vous avez des suggestions, n'hésitez pas!
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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