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Dans cette société où les différences sont exacerbées, les espèces vivent pourtant en harmonie quand elles le veulent bien ; finalement, seuls leur égoïsme et leur envie (au sens de volonté d'avoir ce qu'a le voisin) les empêchent d'atteindre le bonheur. Cela ne vous rappelle rien ? Jul mise sur notre plus ou moins méconnaissance de nos propres affres et livre une nouvelle fournée de sa saga humoristico-préhistorique, Silex and the City : « le Néolithique, c'est pas automatique » !

Ce troisième tome se révèle beaucoup plus politique que ses deux prédécesseurs ; les blagues fusent à peine moins et les dialogues sont d'autant plus tranchants qu'ils font, quasi constamment, référence à de l'actualité particulièrement proche. le suivi de l'actualité devient alors un jalon indispensable pour en comprendre la subtilité, notamment tout ce qui tourne autour des débats sur l'égalité. Au Néolithique aussi, le « triple A » fait des ravages : entre Arriérés, Anthropophages et Analphabètes, cette société ne peut que vous rappeler quelque chose. Trop même, tellement chaque petit moment où celle-ci met en lumière ses différences exacerbées devient le prétexte d'un nouveau gag. Malgré tout, cela fonctionne et ce nouveau tome se lit une nouvelle fois très facilement.
Bien sûr, il est toujours amusant de voir la création de Flèches-Book, le « réseau social des chasseurs-cueilleurs », de voir arriver la fin du calendrier lémurien au 21 décembre -40012, de dénigrer les applications du nucléaire, tout comme son implication dans le marché du travail. Toutefois, à l'image du tome précédent, la fin est plus difficile. Une fois la catastrophe passée, nous pouvions nous attendre à quelque chose de plus abouti, encore une fois. À force de déballer des références parfois trop emmêlées, nous perdons un peu de vue l'idée de voir surgir un quelconque choix de la part de l'auteur. Dénoncer ce que tout le monde peut dénoncer, c'est bien ; proposer autre chose, même si c'est dans un contexte diamétralement différent mais volontairement proche, c'est bien sûr mieux.

Au bout du troisième tome, nous pouvions nous attendre à la construction d'une intrigue plus bâtie et davantage sur la longueur. Evidemment, les sketchs sont toujours aussi savoureux, mais risquent de lasser. Prudence donc.

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SI TOUS LES HOMINIDÉS DU MONDE SE TENAIENT LE POUCE (PRÉHENSEUR)

Grosse soirée avec grosse légume chez les Dotcom : Crao de la Pétaudière, PDG de l'entreprise EDF (Énergie du Feu pour les intimes), et subséquemment père du Rahan du même nom, jeune homme bien sous tous rapports, petit ami de la pétaradante Web, est donc l'invité vedette de la grotte et ça cause sérieux : la vallée risque de perdre son fameux Triple A (Arriérés, Anthropophages, Analphabètes) ! le repas ne se passe toutefois pas comme prévu : depuis quelques temps, Url, le fils, est en lutte contre le feu pour des «histoires de bilan carbone» évoque Blog, son père... La conversation dévie peu à peu sur le terrain sensible des espèces moins évoluées que les mammifères quand soudain une collègue de Spam au collège Françoise-Dolto vient annoncer aux Dotcom que DongDonf, le petit iguanodon de 4è B risque de se faire expulser du Quaternaire avec ses parents !

Heureusement, RESF (Réseau Évolution Sans Frontière) est sur le coup, mais cela ne suffira peut-être pas. Toute la famille part à la rescousse (à l'exception de Blog qui préfère terminer les boules coco...), y compris le rigide et réactionnaire Crao que Spam embarque quasi manu-militari, qui joue le rôle de la mauvaise conscience réactionnaire, obtuse, éprouvant une empathie minimum en réduisant cette triste affaire à de froides considérations macro économiques et sociales...

Pendant ce temps-là, Url apprend qu'il devra faire son stage en entreprise dans celle qu'il déteste le plus, EDF, grâce à l'intervention en sous-main de sa propre mère. Déprimant à cette idée, il crée sans à peine y penser, et dans l'optique sympathique d' «élargir leur petit groupe» d'altermondialistes, le premier réseau social de la vallée : Flèchebook ! Qui connait un démarrage inespéré... Mais rien ne pourra empêcher qu'Url et son ami simiesque Werther subissent ce stage, en compagnie d'un certain Jean-Louis qui leur fait la retape sur tous les avantages réels, supposés, présents et futurs de cette énergie d'avenir. Hélas, c'est durant ce même stage que le volcan sur lequel repose toute la richesse d'EDF va se décider à entrer en éruption... Dès lors, rien ne va plus dans la vallée, les prophéties et autres sectes millénaristes apocalyptiques font florès, les habitants de la vallées ne savent plus à qui se vouer... Jusqu'à ce que la foule en colère trouve enfin un coupable tout désigné, véritable bouc émissaire de l'affaire, le dénommé Url !

Une fois encore, Jul se déchaîne et les rires fusent. Même si les thématiques approchées se suivent sans répit et sans logique appuyée, la critique pleine de dérision de notre société fait souvent mouche, n'hésite pas à piquer là où cela touche, à nous mettre - sans trop de sérieux, tout de même - face à nos incohérences, à nos certitudes trompeuses et si le rire est toujours présent, il sonne régulièrement un peu grinçant. On s'attache à ces petits personnages ouvertement et volontairement très caricaturaux, plein de défauts, mais hominidés, trop hominidés, - pour plagier un certain philosophe allemand -, dont on comprend les errances à défaut de pouvoir toujours les excuser...

Et comme l'affirme Spam, si prompte à écouter son coeur, nous donnant une belle leçon de générosité à travers les millénaires : «Si tous les hominidés du monde se tenaient par le pouce préhenseur, la vie serait plus belle sur cette planète !»
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Revoilà la famille Dotcom et ses proches en 40 000 avant J.-C. Bien que la couverture fasse allusion au "changement", via le slogan de campagne de F. Hollande, rien sur le nouveau Président. Il est encore un peu tôt, vivement le tome 4 !

Pas trop de politique, donc, en cette période de transition - à part un clin d'oeil incontournable à DSK en 4e de couv. Mais de l'écologie, oui (Fukushima, notamment), ainsi que des allusions à la crise économique, à la concurrence chinoise, aux réseaux sociaux, aux minorités, aux sans-papiers, etc.

Jul reprend le ton des deux albums précédents : jeux de mots, joyeux mélange des époques, anachronismes, parallèles fantaisistes et particulièrement subtils entre ce microcosme et notre société... "Toute la planète semble obéir aux lois de la sélection naturelle... Toute ? Non : une vallée résiste encore et toujours à l'évolution. "Arriérés, anthropophages, analphabètes"... je sais bien qu'on fait tous des efforts pour conserver notre triple A." (p. 3)

Un peu moins de gags que dans les deux précédents épisodes ? ou bien me suis-je lassée ? ou en attendais-je trop ? ou bien l'ai-je lu trop vite ? A reprendre, ne serait-ce que pour m'attarder sur les dessins, leurs détails, et mieux les savourer !
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Encore un super tome des aventures de la famille Dotcom dans leur vallée en 40 000 avant JC. Racisme, discrimination, expulsion, Jul parodie les problèmes sociaux de notre temps.
J'aime beaucoup lors de l'extension de flechesbook, chaque personnage y va de son commentaire pour en faire la publicité. Si je ne mets pas toutes les étoiles c'est que je suis un peu déçue par la fin. Trop court et la dernière planche a moins de force que d'autres pour une fin de tome.
Vivement que j'emprunte la suite !
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Jul croque toujours avec beaucoup de mordant notre société (réchauffement climatique, création des réseaux sociaux, concurrence chinoise, insertion des migrants...) en truffant l'histoire de clins d'oeil et de jeux de mots. C'est amusant, mais l'histoire est un peu trop politisée pour me plaire tout à fait.
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J'ai vraiment bien ri avec cette bande dessinée. Il ne faut pas s'attendre à une histoire avec du suspense, un objectif précis, on part d'une chose pour arriver à une toute autre chose, le récit n'est ici qu'un prétexte à quelques bons jeux de mots et running gag autour de la préhistoire, sur un jeu de parallèles de références et d'ironie sur notre propre société, et de ce point de vue, c'est une formidable réussite. Jul arrive à nous parler des réseaux sociaux et de l'énergie nucléaire à partir de la préhistoire, et c'est franchement délirant. Il était vraiment temps que je découvre cette série !
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J'aime toujours cette bd rafraichissante mais je trouve que le niveau baisse tout de même autant le premier tome est surprenant et mérite 5 étoiles autant le second et troisième tome baisse un peu qualitativement.

On retrouve tout de même notre société transposé à la préhistoire avec notamment le stage de en entreprise d'Url qui va se trouvé dans la société Energie du feu, l'invention de l'écriture pour le rapport du stage, les nouvelles technologie flèches book.

Des jeux de mots toujours aussi savoureux, le dessin toujours au top, c'est tout de même une bd que j'aime lire et dont je continuerais les tomes suivants.
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Voici une bd à l'humour rafraîchissant qui multiplie les références à notre société, version paléolithique, en n'oubliant pas d'en dénoncer les travers
Lisez donc le néolithique c'est pas automatique et assistez à la naissance de "Flèches Book", le réseau social des chasseurs cueilleurs
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Ca faisait un moment que je ne m'étais pas replongée dans l'univers délirant de "Silex and the City" et j'avais donc grand hâte de découvrir ce que me réservait ce troisième tome. Autant vous dire que je n'ai pas été déçue, il faut dire que, dès le sous-titre et le slogan de la couverture, j'étais déjà morte de rire et qu'en lisant ça ne s'est pas arrangé ! Notez que c'est tout ce que je demandais.

Que j'adore ce concept ! Ramener toutes nos considérations actuelles à l'époque du néolithique sous formes de jeux de mots, d'anachronismes tordants, de ré-inventions, c'est une idée qui me plaît toujours autant ! La société d'aujourd'hui version grottes et peaux de bêtes, honnêtement, ça vaut le détour ! D'autant que Jul le fait avec beaucoup d'humour, tout en abordant des thèmes sérieux, ça reste un album léger, frais, et original, même s'il reprend les ficelles des deux tomes précédents, cela dit, pourquoi changer une recette qui fonctionne ? On aime à se dire qu'on peut rire de tout et même du pire, cet album tend à le prouver et c'est un petit régal de voir sous nos yeux la critique acerbe et cynique de notre vie actuelle, politique, sociale, culturelle, reprise en éclats de rire et en dérision, une parodie bien sentie. D'un seul coup, tout est dédramatisé, on a envie de pleurer de rire devant les situations mises en place par le scénariste et pourtant, on les connaît par coeur ! Même sans être au fait de l'actualité et sans regarder tous les jours les infos, on comprend facilement de quoi Jul nous parle, on trouve vite nos repères et, à part l'époque et le contexte, tout nous paraît tellement réaliste qu'on se laisse prendre aux jeux de ces petites saynètes de la vérité vraie qui nous renvoie en pleine figure nos propres interrogations, nos propres conflits. C'est tout un art que de détourner la gravité de l'information pour vous la faire apprécier sous cette forme humoristique, cela permet aussi de toucher les plus réfractaires et de les sensibiliser à des problèmes qui, en d'autres termes, les ennuie. C'est souvent mon cas, la politique me barbe, les nouvelles aux informations m'exaspèrent et je n'ai pas envie de m'étaler là-dessus en permanence, ce genre de BD me permet d'avoir un oeil neuf et tout aussi expert sur les problèmes du monde dans lequel je vis. Rien que le décalage avec le néolithique m'avait séduite ! Déjà là, avec la famille Dotcom, Web, Url, Blog et Spam, comment résister ? On transpose un monde que l'on prend trop au sérieux, ou qui se prend trop en sérieux, dans un monde où les considérations étaient beaucoup plus basiques et plus élémentaires, ça relativise. En plus, le style de l'auteur que je trouve génial arrive à faire mouche en peu de mots et en phrase choc, à coup de reprises "Nous sommes en 40 000 avant J.C. ... Toute la planète semble obéir aux lois de la sélection naturelle ... Toute ? Non : une vallée résiste encore et toujours à l'évolution", - ça ne vous rappelle rien ? -, de ré-appropriation d'image, on trouve notamment "Darwin Guetta" en guest-star en début d'album, de clins d'oeil à tomber, "Alors là je dis au type : si en - 50 000 avant J.C. on n'est pas capable de se payer une "silex", c'est qu'on a raté sa vie !" ou encore de réflexions qui tuent "A ce que je sache personne n'a jamais dit qu'on avait besoin de l'écriture pour rédiger un rapport de stage !", ce ne sont que de petits exemples mais ça vous montre bien toute l'étendue de la gamme comique utilisée par l'auteur dans cet album et même si j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de reprises, j'ai malgré tout trouvé ça tordant de bout en bout !

Il faut dire que Jul s'attaque à tout, même à la fin du monde ! Morte de rire devant la panique suscitée par les prédictions du fameux calendrier lémurien ^^ On en passe par les problèmes énergétiques rencontrés notamment par EDF (Energie du Feu), l'explosion d'un volcan (Fukushima), l'expulsion "d'étrangers" (Les parents de Dong Dong l'iguanodon), les problèmes de minorités qui ne sont pas "comme nous", entre autres. Et, notamment, celle qui m'a fait le plus rire dans tout ça, l'invention de Facebook, oh pardon, Fléchesbook, alors là, c'est un grand bonheur ! D'autant que les deux inventeurs du concept n'ont pensé qu'à une chose primordiale (en fait deux mais elles sont liées) en mettant la chose en place : les filles et le sexe. Hum, si ça c'est pas de l'avant-gardisme ! J'aime le fait que tous ces thèmes soient abordés de façon ... non subtile tant elle est évidente mais sous couvert de dialogues et de réparties croustillantes. On ne peut que rire alors qu'il n'y a rien de plus grave la plupart du temps, de plus concret, que ce qui est abordé. Et puis, l'avantage aussi de cet album, c'est que le tout se déroule dans le microcosme d'une seule et unique vallée, peu de personnages, et surtout une famille drôlissime en son coeur dont le fils est militant anti-feu, dont la fille est fiancée à un certain Rahan (lol), dont le père est apolitique et la mère engagée, ils forment à eux seuls la synthèse de notre société moderne et quel plaisir de les voir évoluer ensemble ! Ils me font rire tout simplement, je les trouve attachants au possible et finalement, très humains ! Ils nous ressemblent et cet effet de miroir a aussi son impact sur la façon dont on perçoit notre lecture, dans le bon sens d'ailleurs, car on y trouve chez chacun une partie de nous. J'ai le sentiment qu'on réfléchit quand même beaucoup avec cette BD qui, certes, est là pour nous faire rire mais que je vois aussi comme une certaine forme de prise de conscience. Bien sûr, les solutions ne sont pas apportées, ça n'est pas là le rôle de l'auteur mais il arrive à nous démontrer à la fois les qualités et les défauts de cette race humaine qui est la nôtre et qui tente, souvent maladroitement, d'avancer bon an mal an sur le cruel chemin de l'évolution. Est-ce si important de se rappeler dans vingt ans l'affaire DSK rappelée en quatrième de couv' ? Nous rappellerons-nous seulement qui était David Guetta ? Et puis après tout, est-ce réellement utile tout ça ? Honnêtement, c'est un album qui aborde des thèmes importants, intéressants et sujets au débat mais qui n'est pas là pour se poser en étude sociologique soporifique. J'aime le détachement que cela apporte sur des sujets qui me touchent, comme le prix du gasoil à la pompe par exemple ou l'écologie en général, sur le problème des minorités, de l'emploi, etc., oui, parce que je m'y identifie, comme le fera tout lecteur lambda. Cet album nous parle, nous touche, à sa manière, car il aborde les sujets qui jalonnent chaque jour notre quotidien. Là où il fait fort c'est qu'il le fait sans prise de tête, il nous amène à nous poser des questions, à vouloir, peut-être prendre part au débat, sans nous y inciter plus que nécessaire. C'est tout en finesse finalement, même si au départ ça peut paraître gros. C'est ce que j'aime avec ce genre, y trouver quelque chose qu'on y attend sans doute pas !

En dehors des illustrations et de la typographie des bulles avec lesquelles j'ai toujours du mal (désolée, mais c'est pas vraiment mon style, même si je reconnais que le dessin ajoute lui aussi sa part à l'humour de l'ensemble), j'ai trouvé ce court album captivant et j'ai hâte de savoir quelles petites perles l'auteur nous dénichera dans un prochain tome ! Il y a de quoi faire quand on voit ce qui nous tombe dessus tous les jours ... Il n'y a plus qu'à prier les lémuriens pour que nous soyons toujours là à sa sortie !
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J'ai donc entamé ce troisième tome en pensant que j'allais encore pouffer comme d'habitude… Eh bien NON, comme dirait l'autre, « tu m'as vendu du rêve, je voudrais être remboursé maintenant » !!! Je m'explique…

Bon, ça je l'ai déjà dit mais je ne suis pas fan des dessins, je n'accroche pas, il n'y a rien à faire ! Mais ça ne me gêne pas dans ma lecture et ne rend pas la chose moins agréable !

Le fond du problème dans ce troisième tome, c'est que… ça perd de sa fraicheur, la magie n'opère pas… C'est lourd !

On voit bien que l'auteur tente des choses – et ça aurait pu prendre -, je pense notamment à l'invention de « fléchebook » mais ce n'est pas assez creusé, ça retombe un peu comme un soufflé ! Et puis, dans ce tome, j'ai eu l'impression qu'il y avait trop de choses : l'invention de « fléchebook », l'explosion du volcan d'EDF, la mobilisation contre les expulsions des amphibiens, les agences de notation qui débarquent dans la vallée, le calendrier lémurien annonçant la fin du monde… Bref, ça finit par faire fouillis, brouillon, pas finalisé…

Mais, même si ce tome est une relative déception, le tome IV m'attend bien sagement dans ma PAL ! À côté du mot « obstination » dans le dictionnaire il y a ma photo !
Lien : https://ogrimoire.wordpress...
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