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J'ai lu ce livre dans le cadre de l'opération Masse critique. A ce titre, je remercie Babelio et Les Presses de la Cité.

Une jeune fille se fait enlever par un couple qui organise des snuff-movies, sous les yeux d'un ancien prof de psychologie atteint d'une maladie type Alzheimer.
La police entre en scène.

Jennifer est une jeune fille de 16 ans, désespérée par le décès de son père et le comportement de son beau-père. Les nombreuses disputes avec sa mère l'ont déjà amenée à fuguer plusieurs fois. C'est au cours de sa dernière tentative de fuite qu'elle se fait enlever.
Adrian apprend qu'il est atteint d'une démence et que sa lucidité va disparaître dans un délai très court. du reste, il est déjà victime d'hallucinations et entretiens des discussions avec son frère, sa femme, son fils, tous les 3 décédés de mort violente.
Enfin, 3ème personnage principal, Terri Collins, inspectrice de police, mère célibataire de 2 enfants, a fui son mari violent et comprend instinctivement ce qui pousse Jennifer à fuguer, Jennifer qu'elle a déjà rencontrée lors de son retour de ses dernières fugues.

Terri prendra trop de temps à accepter la thèse de l'enlèvement. Adrian décidera de faire ses recherches lui-même avec l'aide d'un pédophile qui lui ouvrira les portes de l'enfer d'Internet.

N'ayez crainte, les scènes de la captivité de Jennifer sont très édulcorées. Seule la relation avec son ours en peluche peut amener à quelques sentiments d'apitoiement.

Ce qui est terrifiant ce sont toutes ces personnes qui sont fascinées par le spectacle de cette captivité et l'attente des scènes de torture.

Ce roman est un thriller qui respecte les codes du genre avec une montée en puissance du suspens dans le dernier quart de la narration.

Je n'ai pas apprécié cette lecture, le style est simpliste, l'histoire se perd entre le devenir de Jennifer et les affres de la maladie d'Adrian et on se doute bien que tout finira plus ou moins bien. L'épilogue se veut grinçant, il m'a juste fait sourire.

Sans doute blasée par les romans de Grangé, je ne suis pas entrée dans ce roman que j'ai trouvé fade et plein de clichés.

Pour autant, compte tenu de la saison, je le conseille pour la plage
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C'est la première fois que je fais un billet pour un livre que j'ai abandonné.. D'habitude, je n'en vois pas l'intérêt puisque si l'histoire ne me plait pas, pas besoin d'expliquer clairement pourquoi. Elle plait ou elle plait pas. Mais là, c'est différent.. Ce n'est pas l'histoire en elle-même qui m'a fait abandonné ma lecture mais je vais essayer d'être le plus claire possible..

Je me suis arrêtée à une centaine de pages, je me suis forcée à lire autant parce que je ne voulais pas abandonner comme ça mais plus je me forçais & plus je perdais goût à cette lecture (enfin bien plus quoi..). Donc plutôt que de m'acharner dessus, de mettre des mois à le lire, pour au final, en faire une chronique négative, il valait mieux que je m'arrête là & que je tente d'expliquer la raison de cet abandon..

Sachez tout d'abord, que l'histoire me plaisait à la base ! le résumé m'a beaucoup intrigué, de plus j'aime tous les éléments mis dans ce thriller : la folie, la maladie, un dangereux psychopathe, l'enlèvement d'une jeune fille.. Bref, ça ne peut que promettre un bon roman ! Je me trouve donc bien idiote à ne pas pouvoir le finir sachant que j'ai, quelque part, envie de savoir ce qu'il se passe ! J'ai réfléchi pendant un long moment à savoir si je continuais ou pas malgré ma curiosité.. J'ai essayé plusieurs fois, sans succès.

Alors voilà le problème pour moi : c'est simplement le style de l'auteur qui ne me convient pas. Il n'est pas mauvais du tout (au contraire puisqu'il a tout de même réussi à m'intriguer !) mais je n'ai pas réussi à accrocher. Plus j'avançais dans ma lecture & plus j'avais l'impression d'être dans le brouillard, simplement parce que je décrochais par moments.. J'ai trouvé ces cent premières pages très longues.. Mais elles n'ont rien de trop pourtant. On apprend d'abord à faire la connaissance des personnages importants & il y a même déjà de l'action, puisque les choses se mettent rapidement en place. Mais j'ai trouvé le style d'écriture peu entraînant & ça m'a beaucoup bloqué..

Néanmoins, je sais que ce roman plaira a beaucoup d'amateurs de ce genre littéraire. Je ne peux pas faire un avis global mais je sais qu'il a un certain intérêt, que l'histoire démarre très bien.. C'est un avis très personnel puisque c'est surtout une question d'accrochage au niveau du style (j'ai le même problème avec Laurell K. Hamilton.. & pourtant, beaucoup aiment ses romans !).. Ce n'est pas passé avec moi mais je suis sûre que ça passera très bien avec d'autres ! Je ne peux que vous dire de vous faire votre propre avis.

Je tiens quand même à remercier Babelio & les éditions Presses de la Cité pour l'envoi de ce roman. J'aimerai également m'excuser sincèrement de ne pas avoir pu le finir.. Ca m'ennuie déjà d'abandonner un roman en temps normal, mais encore plus quand je me suis engagée..
Lien : http://laviedeslivres.cowblo..
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Dire que je fus aspirée par ce roman très noir mais aussi plein d'émotions diverses serait un euphémisme.

L'auteur développe ici son intrigue selon divers points de vue. Ainsi se succède l'avancée d'Adrian, le héros veillissant et malade, la vie de la jeune victime aux mains de ses tortionnaires, le point de vue et surtout les motivations, des divers voyeurs aux quatre coins de la planète, et bien sûr, l'enquête de police traditionnelle. Deux enfermements totalement différents et pourtant mortels : la maladie et la folie destructrice humaine.

En parallèle de la cours contre la mort qu'engage Adrian, nous suivons page après page son enfoncement inexorable dans les limbes noires que la maladie déploie sur lui. La folie qui le gagne est, paradoxalement, une alliée précieuse puisqu'il se retrouve ainsi aidé dans sa tâche par des alliés pour le moins peu conventionnels : sa femme, son frère et son fils. A première vue, cela n'a rien de surprenant, si ce n'est que tous trois sont décédés et que ce sont leurs fantômes, nés du cerveau malade d'Adrian, qui le guident.

Si l'intrigue policière est totalement prenante et angoissante, l'auteur développe ici une très belle psychologie des personnages. Tout en fragilités, en sensibilité, en doutes, aucun ne peut laisser insensible. le lecteur a successivement le coeur soulevé par le sadisme des bourreaux, des sursauts d'indignation devant les aspirations voyeuristes des spectateurs (et là, on découvre qu'à des degrés très divers, nous sommes tous d'épouvantables voyeurs), la tendresse et l'empathie pour ce vieux bonhomme attachant, profondément humain, qui jette ses dernières forces et le peu de raison qui lui reste à sauver une gamine qu'il ne connait que pour l'avoir entrevue quelques secondes.

C'est vraiment un excellent polar, noir à souhait, dont la lecture ne nous laisse pas indemne.
Lien : http://lecturepassion.wordpr..
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Quelle drôle d'idée ai-je eu de choisir ce livre parmi ceux qui nous étaient proposés dans la liste de l'opération MasseCritique de Babélio. En temps normal, je ne pense pas que je me serais tournée automatiquement vers une lecture de ce genre. Je ne suis pas souvent intéressée par les thrillers ou les livres policier, bien que je les apprécie la plupart du temps. Ce qui m'a poussée à le sélectionner, entre toutes ses caractéristiques, c'est son résumé énigmatique et la référence au métier que j'affectionne : la psychologie, ainsi que le thème abordé, un mouvement dont j'avais déjà entendu parlé et qui m'intrigue, autant qu'il me fascine : le snuffmovie. Un sujet fascinant pour son coté horrifiant et effroyable qui à tout de suite laissé libre cours à mon imagination. Que pouvait-il donc arriver à une adolescente à peine sortie de la puberté, en proie à des ravisseurs mal lunés ? S'en sortirait-elle ? Quel rôle joueraient les autorités et ce brave docteur, obligé de se tourner vers un délinquant sexuel - pédophile, qui plus est ! -, comme si cela était la seule échappatoire pour sauver cette pauvre Jennifer.

Ce que j'ai tout particulièrement apprécié dans cette lecture, c'est le choix indéniable dans l'éventail des personnages. On peut passer par tout les stades, toutes les situations, s'identifier à n'importe lequel d'entre eux. On peut savourer la détermination du professeur Adrian dans sa quête de l'adolescente disparue, aidé par les fantômes de son passé - les membres de sa famille décédés - ou apprécier l'enquête policière menée par Terri, une jeune mère de famille qui a déjà eu affaire avec la jeune fille par le passé. On peut également se délecter du rôle aversif du délinquant, Mark Wolf, un être écoeurant à souhait qui m'a pourtant fascinée, autant que les ravisseurs de Jennifer : Linda et Mickaël. Sans oublier le personnage clef, au centre de toute cette histoire qu'est la demoiselle, soutenue par son ami de toujours : Mister Fourrure. C'est ce large choix qui m'a littéralement emportée. Tout à son importance, chaque passage est inévitable. On passe de l'un à l'autre, on découvre sa démarche, le but qu'il cherche à atteindre, l'horreur quelque fois et on se découvre un penchant pour toute celle-ci. On enquête au même rythme qu'Adrian et la police. On se recroqueville et on s'affectionne pour Jennifer. Mais surtout, on se met dans la tête du ravisseur, on capte son besoin et ses idées et ça, c'est effroyable, parce que ça paraît tellement vrai que tendre le bras serait presque suffisant pour le palper, comme si c'était réel. Ce que je considère comme un véritable talent chez John Katzenbach. Chaque lignes est réfléchies, poussée à son paradoxe, que l'histoire semble être un fait réel, un roman vérité qui choc et qui tape là où ça fait mal.

J'avoue qu'au début, je ne savais pas trop où l'auteur voulait nous emmener. Tout était un peu flou et le résumé ne collait pas vraiment aux pages. J'oserais même dire que je patinais un peu su place. le rythme se faisait lent, peu soutenu. Je me vautrais dans les mots sans pouvoir me départir d'une certaine impatience. Heureusement, la centaine de pages entamées, l'histoire s'est étoffée et à su prendre, peu à peu, de telles proportions qu'en décrocher aurait été meurtrier. On retient notre souffle, on s'accapare l'histoire et on se laisse emportée par elle de telle façon que notre regard ne peut plus en décrocher. Ce livre prend un rythme haletant, des proportions inquiètantes. J'ai même envie d'ajouter qu'il m'a littéralement envoûtée, un bon tiers avant la fin. J'avais hâte de découvrir la tournure qu'allait prendre les événements, ce que Mickaël et Linda réservaient à Jennifer, soit Numéro Quatre. Quelles étaient les tortures imaginées par leurs esprits dérangés. Je n'ai pas été déçue, bien que j'imaginais toutefois autre chose. Au final, malgré quelques passages un peu lents (et certains mots absents), je ne suis pas déçue du voyage et je me tournerais volontiers vers un autre roman de cet auteur qui à su me conquérir et me faire verser quelques larmes au cours de son roman...
Lien : http://book-et-mystere.revol..
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Pour retrouver la victime d'un snuff movie, un professeur de psychologie doit faire équipe avec un pédophile. Voilà ce que nous raconte « Mort-en-direct.com »
Adrian, professeur de psychologie, est atteint d'une maladie dégénérative du cerveau qui l'entraîne vers la folie. Quand une jeune fille disparaît, il découvre qu'elle est séquestrée dans une cave et filmée par un couple réalisant des snuff movies. Pour la sauver, il fait appel à un spécialiste des réseaux souterrains et illégaux : un pervers sexuel en liberté surveillée...
Un suspense qui tient en haleine vous attirant de plus en plus profondément dans une ambiance frissonnante du mal, les ténèbres et les ombres. Enlèvement, voyeurisme, et un personnage principal touchant dans sa lutte contre une maladie dégénérative du cerveau : voici les ingrédients de ce page turner. . Peut-être pas le meilleur des « Katzenbachs » pourtant, le récit ici coule sans effort et le scénario tient la route. Alors pourquoi bouder son plaisir d'une lecture prenante malgré tout

Lien : https://collectifpolar.com/
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Le résumé donnait vraiment envie mais... je me suis tellement ennuyée ! Beaucoup trop de longueurs à mon goût et l'impression qu'il ne se passe pas grand chose, voire rien du tout. Plus de 600 pages juste pour ça... J'ai tenu bon pour le finir mais je suis déçue de ma lecture.
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Je me suis embarquée dans ce petit thriller dont le résumé me faisait pas mal envie et j'ai beaucoup aimé ma lecture. Adrian apprend qu'il est atteint de la démence à corps de Lewy, une maladie aussi rare que destructrice. Adrian se retrouve victime d'hallucinations et perd peu à peu la tête. Il a donc prévu de se suicider avant de ne plus être maître de lui-même, sauf que ses projets sont annulés quand il assiste à un kidnapping. de là, il va se mettre dans la tête d'aider cette victime et de la sauver, en partie parce qu'il n'a pas pu sauver son frère, sa femme et son fils tous morts bien trop tôt. Accompagné des hallucinations de sa famille, il va mener son enquête qui vont l'emmener très loin.
Même si au début, j'ai eu un peu de mal avec l'écriture, au fur et à mesure de ma lecture, j'ai de plus en plus accroché, m'attachant au personnage d'Adrian. Ce professeur qui perd la tête est super attachant, et sa vie a été vraiment difficile, il a vu toutes les personnes qu'il aimait mourir. Pouvoir les retrouver en hallucination est presque un soulagement pour lui, en fait. On sent qu'Adrian est sur un fil, entre folie et réalité, et malgré ça, il va se battre pour retrouver Jennifer et je l'ai vraiment aimé. J'ai beaucoup moins apprécié la flic, Terry. Elle aussi a un passé difficile, fuyant avec ses filles un mari violent. Mais je l'ai trouvé presque trop terre-à-terre. Elle pensait beaucoup à sa carrière, allant parfois jusqu'à souhaiter être débarrassée de cette affaire. Elle restait très droite, certes, mais inutile du coup. Je pense que ça représente une certaine réalité de la police, ils ont des règles à suivre et ils sont parfois bloqués par la peur des journalistes, la peur de voir leur carrière détruite par une erreur.
On se retrouve aussi dans la tête de Jennifer, et je l'ai trouvé hyper courageuse, j'avais envie qu'elle se batte, qu'elle lutte, j'avais tellement envie qu'elle s'en sorte. On sent qu'elle a du caractère, qu'elle ne veut pas céder, mais en même temps, elle est terrifiée par ce qui lui arrive. Pour autant, elle réussit à obtenir des petites victoires face à ses agresseurs. Des agresseurs qui se prennent pour des grands scénaristes et ne voient pas le problème dans ce qu'ils font. Ils ne se sentent ni violeur, ni meurtrier. On sent leur folie chaque fois qu'on se retrouve dans leur tête, une folie guidée par leur amour. Ils font froid dans le dos, mais j'ai trouvé que ceux qui regardaient le site, tels des voyeurs, étaient encore pire qu'eux.
Ils assistent à ce que doit subir Numéro Quatre, ils la regardent jour après jour, essaie de ne pas rater les meilleurs moments (un peu à la Truman Show, mais en vraiment plus glauque), et pas un seul ne prévient la police, n'essaie de sauver Numéro Quatre. On voit diverses sortes de persos, des gros pervers, des étudiants pas nets, mais également des jeunes filles, des réalisateurs… Et aucun n'essaie d'aider la jeune fille qu'ils voient souffrir à l'écran. Ils se délectent simplement du spectacle et franchement, pour moi, ils valaient pas mieux que Linda et Michael, les agresseurs de Jennifer.
Et puis il y a Wolfe, le délinquant sexuel qui va aider Adrian à retrouver la jeune fille, et lui, je ne l'ai pas aimé pour tous pleins de raisons, mais c'est un personnage intéressant qui montre la psychologie de ce genre de personnes. Leur perversité, mais également leurs autres facettes. Par exemple, ici, Wolfe malgré ses actes, consacre beaucoup de temps à sa mère malade.
Le récit est donc vu à travers tous ces points de vue, et si on sait déjà qui est coupable, pourquoi et comment, ça n'enlève rien au thriller qui est une course contre la montre, mais qui va surtout visiter la psychologie des personnages, et qui est donc très intéressant. Chaque personnage est vraiment visité, on voit leurs pensées, c'est très profond. L'intrigue est donc prenante, et à la fois malsaine. Parce qu'on a l'impression aussi d'être des voyeurs, en regardant ce qu'il va arriver à Jennifer. Sauf qu'on n'a pas les pouvoirs de prévenir personne, on peut juste espérer qu'elle soit retrouvée à temps.
La fin m'a pas mal émue, j'en ai eu les larmes aux yeux. Même si je regrette que certains personnages soient effacés, pour lesquels j'aurais voulu en savoir plus sur leur devenir. Mais ça reste une belle fin et un bon livre.
Lien : https://jetulis.wordpress.co..
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J'ai pris ce livre un peu au hasard, plus attiré pas la première couverture que la quatrième.
On rencontre un vieil homme malade et qui perd la tête de plus en plus, Adrian. On y trouve aussi une jeune maman flic, Terry et un ancien pédophile en liberté surveillé, Mark Wolfe. 3 personnages complètements différents qui vont se serrer (plus au moins) les coudes pour découvrir où est la petite Jennyfer enlevé un soir, lors d'une fugue.
Malheureusement, 3 personnes qui ne sont pas assez approfondies. J'ai trouvé Adrian beaucoup trop tiraillé avec ses fantômes du passé, il passait trop à coté de la réalité. J'ai eu plus d'une fois, envie de lui dire de se bouger ! Quand aux 2 autres personnages, Terry était trop effacée et passive et j'ai eu du mal a être à l'aise avec le pédophile. Mais la fin de ce thriller m'as, heureusement, réconciliée avec ces 3 héros torturés. Une fin qui, part ailleurs, vaut le détour.
Mais le point fort de ce livre pour moi, reste la mise en scène de la survie de Jennyfer ou Numéro Quatre. Les sentiments de la jeune fille sont très bien traduits. On ressent sa peur, sa tristesse, son incompréhension, sa folie lente et douloureuse. Quand aux kidnappeurs, ce sont de vrais psychopathes en liberté !
Pour résumé, un début très lent, presque ennuyeux, mais une fin tonitruante et pleine de rebondissements qui ne vous laisseront pas de marbres...
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Ce livre est entré dans ma PAL un peu par hasard, mais quand j'ai lu le résumé je me suis dit : pourquoi pas... il était prometteur, et aimant les polars et thrillers la lecture me semblait logique.

J'ai beaucoup aimé les personnages, ainsi que leurs caractères, mais aussi leur psychologie qui est fortement développée.
J'ai adoré le personnage d'Adrian, qui avec l'aide des fantômes de son passé va tout faire pour retrouver Jennifer - adolescente fugueuse qui est kidnappée par Michael et Linda, un couple qui fait des snuff-movies.
Ce couple que j'ai adoré détester, et grâce auquel l'auteur exploite toute la perversion de l'homme.

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Une lecture facile à lire, on ne s'y perd pas dans l'histoire. C'est un roman qui pourrais arriver dans la vraie vie. J'ai quand même bien aimé, ca bat pas d'autre livres que j'ai lu, mais bon quand même. Si t'a envie d'une lecture relaxe et pas trop compliqué je vous le recommande moyennement.
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