La Danseuse d'Izu

Il semblerait que j'ai des difficultés à apprécier la littérature Japonaise.
Ce livre de Kawabata en serait la confirmation.Il s'agit d'un petit recueil de nouvelles, dont aucune n'a véritablement retenue mon attention ( à part peu être la première).Bien sur il y a dans ce livre de la poésie, comme souvent chez les Japonais. Mais personnellement je suis plus sensible à l'histoire, et là, je n'ai pas été séduit par celles-ci.
Des histoires sans véritables conclusions, cela peut-être original...Enfin bref, j'ai trouvé ces nouvelles un peut trop courtes, sans approfondissement.

Ce fut une lecture assez difficile. Bien que je ne nie pas le talent d'écriture de Yasunari Kawabata, je n'ai pu que rester à la surface de ses mots, ne comprenant pas toutes les intentions de l'auteur dans ces 5 nouvelles.

L'amour, le temps qui passe et la mort sont encore très présent, mais j'ai trouvé ces textes assez hermétiques, n'arrivant pas à me toucher. Peut-être n'ai-je pas encore le recul nécessaire pour appréhender Kawabata comme il se doit.

A relire donc... Plus tard.

Je ne lis que très rarement de la littérature Japonaise ou asiatique en général, je n'ai peut-être pas eu beaucoup de chance car ces quelques lectures n'ont pas été concluantes. Je n'ai pas été réceptive au genre, un peu alangui, centré sur la contemplation du beau.
Ce recueil de nouvelles n'aura pas été une révélation. Une fois de plus je suis passée complètement à côté de la poésie de l'auteur,  j'ai eu beaucoup de mal à me concentrer sur ma lecture, spectatrice un peu larguée, laissée sur le côté.