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3,6

sur 107 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'ai bien aimé la trame du récit, la façon de raconter l'histoire du point de vue de plusieurs personnages issus d'horizons divers ainsi que la présence du surnaturel en marge d'un univers ancrée dans une période médiévale imaginaire mais très précisément documentée.

Par contre je n'ai pas aimé les nombreuses redondances (par exemple lorsqu'on nous présente successivement un seul événement du point de vue de plusieurs personnages avec des retours en arrière répétitifs). de même les digressions avec des personnages qui ne font que passer et les envolées philosophiques, trop lyriques à mon goût, m'ont semblé alourdir le récit sans y apporter grand chose, au point que je me suis un peu ennuyée à certains passages.

Cette fresque ambitieuse (et prometteuse) est donc une petite déception pour moi...
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Encore une magnifique aventure que nous propose Guy Gavriel Kay avec « Le dernier rayon du soleil ».

Ce roman fut écrit et publié en 2005 (The Last Night of the Sun), traduit alors de l'anglais par Elisabeth Vonarburg. C'est l'édition que j'ai lu, avec une couverture que je trouve magnifique, un vaisseau-dragon masquant un coucher de soleil.

Il est prévu une nouvelle édition en 2021 chez L'Atalante, donc tout bientôt, traduit cette fois par Mikael Cabon sous le titre Les derniers feux du soleil.

Cette fois-ci, l'auteur nous promène dans les contrées nordiques de son univers historico-fantasy (je ne sais pas si cela se dit, mais je pense que vous me comprenez) où plusieurs royaumes perpétuellement ennemis, vont être amenés plus ou moins à s'entraider.
Les Erlings, mercenaires habitués à traverser les mers sur leurs vaisseaux-dragons pour effectuer des raids avant l'hiver, sont une menace récurrente sur les côtes pour les Anglcyns et les Cyngaëls, deux peuples qui ne se tolèrent guère non plus entre eux. Une vendetta tourne mal, le début d'une poursuite, des alliances vont alors émerger…

G.G. Kay s'appuie largement sur l'histoire car on reconnait bien Anglais, Gallois et Vikings dans ce roman. L'auteur indique d'ailleurs en postface sa large inspiration sur la culture et le quotidien de ces peuplades d'alors pour modeler son scénario et ses personnages dans le roman. Il s'est notamment beaucoup intéressé à Alfred le Grand pour incarner l'un de ses personnages.

J'ai beaucoup aimé la façon dont sont décrits les cyngaëls, ce lien permanent qu'ils ont avec la musique et le mystère entourant la forêt des esprits. Les erlings aussi sont passionnants par la rudesse de leur condition de vie qui en font des hommes souvent brutaux, mais aussi courageux et vaillants.
Alun le cyngaël et Bern l'erling ont ainsi été passionnants à suivre dans leurs périples. La plume de Kay n'y est pas étrangère car toujours aussi efficace et plaisante, en particulier pour le travail approfondi sur ses personnages.

Le fantastique est également très présent dans ce roman avec cette mystérieuse forêt des esprits, fantastique plus présent que dans Les lions d'Al-Rassan et La Chanson d'Arbonne… et peut-être un peu trop pour moi d'ailleurs. Je m'étonne moi-même de dire cela. le fantastique s'appuie, avec raison, sur les croyances païennes qui ont largement leur place dans cette histoire. J'ai d'ailleurs apprécié cette opposition entre ces croyances ancestrales et la nouvelle religion du Jad qui cherche à prendre la place. Mais je n'ai pas trop saisi l'intérêt et le traitement de certains éléments surnaturels dans l'histoire. ().

Mais ce dernier point n'engage que moi, un petit détail qui ne m'a d'ailleurs pas du tout empêché d'apprécier grandement ce roman.
J'en garde un super moment de lecture et le recommande sans hésitation, le voyage vaut le détour.

Challenge Duo d'auteurs SFFF : Isaac Asimov - Guy Gavriel Kay
Challenge Livre Historique 2021
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Un avis partagé pour cette fantasy nordique dont j'attendais beaucoup.

J'ai un faible pour les sagas scandinaves, même si je ne suis pas fan de la férocité guerrière des Vikings. J'aime bien aussi les romans historiques et j'admire le brio de Kay qui permet de goûter la vie des peuples anciens tout en y insérant une trame de fiction intéressante.

Ce roman raconte une histoire de Vikings, d'Anglo-Saxons et de Gallois. C'est basé sur une recherche historique minutieuse, mais j'aurais aimé avoir un peu plus d'indices pour m'y retrouver davantage et situer l'action sur une carte. J'ai eu un peu mal à entrer dans le roman avec tous ses personnages aux noms étranges, même si l'auteur nous en fournit une liste au départ.

Un roman intéressant, bien loin de notre quotidien, mais dont la lecture demande un petit effort de persévérance.
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C'est en lisant La Mosaïque Sarantine (Voile vers Sarance et le Seigneur des Empereurs) et Tigane que j'ai découvert la plume de Guy Gavriel Kay, et j'avoue ne pas avoir été déçue car les voyages m'ont beaucoup plu.

Depuis cet été, il est de retour aux éditions Atalante avec la sortie d'un nouveau roman, Les Derniers Feux du Soleil où il nous entraîne, cette fois-ci, plus au Nord, du côté des Vikings.

Dans les contrées du Nord, les terres des Anglcyns et celles des Cyngaëls sont, depuis longtemps, victimes de raids perpétrés par les Erlings du Vinmark. La rudesse du climat pousse ces hommes à prendre la mer pour piller ce qu'ils ne trouvent pas chez eux laissant derrière eux un sillage de peur et de sang. C'est donc au rythme de ses invasions que l'on rencontre Ceinion du Llywerth, grand prêtre des Cyngaëls, invité en la demeure du seigneur Brynn ap Hywll de Brynnfell. En chemin, il fait la connaissance de trois hommes, les deux frères Dai et Alun ab Owyn et leur cousin Gryffeth ap Ludh et les enjoint à le suivre en Arberth. Mais alors que les festivités battent leur plein, la demeure est attaquée par un groupe de Erlings. S'ensuit une bataille sans merci qui va se solder par de nombreuses morts, dont celle du frère d'Alun. Or, pour laver son déshonneur d'avoir failli, Alun accepté de reprendre la route en compagnie du prêtre Cyngaël pour se rendre auprès d'AEldred, le roi des Anglcyns. Au gré des rencontres et des événements, tous vont voir leur vie être malmenée au rythme du destin et de l'Histoire.

Comme à son accoutumée, Guy Gabriel Kay a adossé l'intrigue de son nouveau livre à un cadre historique fort. Il s'agit probablement ici du IXe siècle qui fut marqué par la lutte acharnée entre les Anglo-Saxons et les Vikings.

Au vu des événements relatés entre ces lignes, l'auteur s'est sans doute inspiré du roi du Wessex, AEthelred qui, en 870 a dû lever des troupes pour combattre la grande armée menée, entre autre, par le roi Halfdan Ragnarsson. Après avoir intercepté un premier détachement ennemi, ils subissent un lourd revers pour finalement remporter la victoire quelques jours plus tard. Or, ce contexte d'invasion, de pillage et de guerre de territoire a largement inspiré l'auteur pour nourrir à la fois son univers et son intrigue. En effet, il a centré son récit sur des enjeux similaires où le roi des Anglcyns doit faire face à de nouvelles intrusions erlings sur son territoire, nécessitant l'enrôlement d'hommes et l'alliance avec d'autres, afin de les bouter hors des frontières. Voilà qui donne le ton à un texte âpre et féroce où la mort rôde et s'en vient cueillir même le plus courageux des guerriers. Devant l'adversité, on suit les manoeuvres d'un roi pour défendre ses terres en scellant les bonnes alliances tout en brillant comme meneur d'hommes. Aussi, on plonge ici dans la délicate politique d'un roi en pleine consolidation de son pouvoir.

Par souci de cohérence, Guy Gavriel Kay s'est également bien documenté du côté des rites et des coutumes des Vikings et notamment du rôle des femmes dans la société. Il en ressort un roman bien immersif pour lequel on adhère complètement. de même, qu'il a imprégné son texte de la même spiritualité qui tenait à coeur les rudes habitants du Nord. Par conséquent, les ombres de Odin et de Thor planent entre ces lignes même s'ils portent ici d'autres noms. Ils demeurent les divinités protectrices de certains protagonistes tout en permettant à Guy Gavriel Kay d'orienter son récit vers une dimension ésotérique très marquée. En effet, par l'entremise de certains protagonistes, on porte notre regard sur le peuple des fées qui vit en marge des hommes mais dont l'existence est déjà menacée par l'arrivée d'une religion louant un dieu unique. On est donc à ce point de bascule où les croyances celtiques vont disparaître au profit du christianisme. Leur présence entrelace ces pages d'une aura de mystères et onirisme qui enchante et subjugue le lecteur.

Les Derniers Feux du Soleil, c'est aussi un chassé-croisé de nombreux personnages dont l'auteur nous conte les destins. Mais comme sa galerie de protagonistes est très importante, l'auteur a dû ponctuer le début de son récit par de nombreuses digressions afin d'éclairer le lecteur sur le passé de chacun d'eux pour comprendre les raisons de leur présence en ces lieux et à ce moment précis de l'action. Une étape nécessaire pour appréhender au mieux l'ensemble des enjeux de ce récit même si, pour ma part, cela a freiné ma lecture m'obligeant parfois à des rétropédalages pour m'assurer de ma pleine compréhension des éléments énoncés. C'est clairement un roman riche du point de vue de son histoire qui nécessite qu'on se laisse du temps pour l'apprécier à sa juste valeur.

En outre, parmi les multiples personnages, on s'attache très bien à ce roi des Anglcyns, AEldred, charismatique et énergique qui, malgré une santé affaiblie, se relève quand cela est nécessaire pour affronter l'ennemi. Rien d'obtus et de despote dans sa gouvernance puisqu'il sait écouter sa femme et ses filles au moment venu. Autres figures centrales de ce texte, le duo formé par Bern Thorkellson et Thorkell Einarson, père et fils qui passent leur temps à se rechercher sans jamais réussir à se trouver. A travers eux, l'auteur explore les difficiles retrouvailles entre un père et son fils lorsque celui-ci a souffert de l'abandon paternel. Enfin, Alun ab Owyn, bouleversé par la mort tragique de son frère aîné qui l'a laissé tourmenté par ses responsabilités et tiraillé par l'Entremonde féerique qui l'appelle à lui depuis qu'il l'a fortuitement découvert.

Ici, Guy Gavriel Kay met donc en scène une pléiade de héros et de héroïnes farouches et redoutables qui s'accordent parfaitement au mordant de son récit.

Entre magie et action, on succombe une nouvelle fois à la plume enjôleuse de cet amoureux de l'Histoire...Fantasy à la Carte.


Lien : https://fantasyalacarte.blog..
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Bon, c'est sûr, Guy Gavriel Kay est un auteur à part dans le monde de la fantasy. Entre uchronie (ou selon certains "fantastique historique") et réinterprétation des mythes connus - ici, la mythologie nordique - il nous livre toujours des récits passionnants, grâce à son talent de conteur. "Le Dernier Rayon du Soleil" nous plonge dans une histoire ancienne où vikings, anglo-saxons, celtes refont l'histoire.
Je reconnais ne pas être très objective au sujet de Guy Gavriel Kay. Il m'a complètement séduite dès "Les Tapisseries de Fionavar" et m'a définitivement acquise à sa prose avec ses "Lions d'Al-Rassan".
Et je ne parle même pas de Tigane!
Mais j'ai quand même abordé cette lecture avec quelques réserves à cause de certaines critiques - élogieuses mais sans plus - tendant à considérer ce livre comme oeuvre mineure de l'auteur.

Pour ma part, j'y ai retrouvé tout ce que j'aime chez Kay, à savoir : une plume talentueuse, des personnages attachants et un univers construit, cohérent et très proche d'une lointaine réalité.
Bref, tout ce qui fait la marque de fabrique de G.G.K.
La fantasy de l'auteur est très éloignée des clichés du genre. Ici point de bestiaire fabuleux, de magie (ou si peu), de quête désespérée, de héros orphelin.
Héritier de Tolkien dont il est le digne disciple de par sa capacité à engendrer l'intérêt pour "l'Histoire avant tout", avec la même aptitude à faire naitre en nous l'émotion et la poésie d'une situation d'abord, puis des personnages. Il fut en premier lieu l'auteur du "Silmarillion" avec le fils de Tolkien, puis commença à rédiger ses propres ouvrages et pour notre plus grand plaisir.

Auteur vraiment à part, et malgré ce que j'ai pu lire ici ou là, "Les derniers Rayons du Soleil" ne dérogent pas à sa ligne de conduite. Une histoire d'abord, des personnages travaillés, intéressants, une intrigue riche et captivante, une plongée dans le passé (Tigane = Italie - Les Lions = Espagne - La Tapisserie = Les légendes Arthuriennes - le Dernier Rayon = Histoire Nordique).
Chaque livre prend naissance dans le passé et l'explore, le réinvente, le magnifie parfois. Et pour ma part, "Les Derniers Rayons du Soleil" méritent autant d'éloges que tous ses autres livres. La même émotion et le même intérêt naissent de la plume talentueuse de Guy Gavriel Kay.

Me reste à lire "La Mosaïque de Sarance"....
J'en salive d'avance....
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J'ai acheté ce livre par hasard, dans un aéroport et je découvre un auteur étonnant.

Une histoire loin des schémas traditionnels de la Fantasy. Ici pas de d'orphelin se découvrant un pouvoir extraordinaire et partant sauver le monde. Pas de créatures obscures ... En fait, l'histoire ne se passe pas dans un seul monde mais dans trois mondes, trois croyances, trois magies qui vont se mélanger, se compléter, s'opposer tout au long du récit.

Le premier s'appuie sur la tradition viking, et ses dieux guerriers. le deuxième est celte avec sa magie de la terre et ses fées. Et le troisième s'inspire des débuts de la chrétienté et d'un dieu unique. Chaque monde proposera ses héros et leurs quêtes spirituelles, se croisant au fil des chapitres et finissant par se rejoindre pour une réponse commune.

Cette structure en fait un récit complexe à lire qui demande de s'y investir en tant que lecteur, mais quel plaisir! Les descriptions sont précises, détaillées. Les personnages eux même sont décrits avec minutie, tant sur le physique que sur le caractère. le rythme est rapide, très rapide.

Très bonne première expérience avec cet auteur dont j'aurais plaisir à découvrir d'autres ouvrages.
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Un livre qui m'a fait passer un fort bon moment.

Le style est fort beau, avec quelque pointes d'humour, mais aussi quelque chose teintée de mélancolie qui le rend poétique par moment.

L'intrigue n'est pas de celle qui vous prive de souffle et fait battre votre coeur comme un tambour pris de folie, et malgré cela les pages semble se tourner toutes seules.

Dans l'univers on sent fortement une inspiration du côté des celtes vikings et anglais, avec la montée du christianisme et la fin de la magie, d'où la nostalgie qui s'en dégage.

Mon principal reproche est une impression récurrente que plus que le destin des héros, l'auteur se penche sur le destin de ces trois peuples.
Un autre petit reproche est le fait que parfois d'un seul coup on va suivre un personnage complètement secondaire (une rencontre hasardeuse) jusqu'à la fin de sa vie, pour ne plus jamais en entendre parlé, ce qui m'a un peu perturbé. Un peu comme un fil secondaire de la tapisserie de ce peuple que l'on détacherait à partir du moment ou il croise les fils principaux suivrait jusqu'à sa fin, avant de retourner au fil principal. du coup cela donne une sensation de dispersion un peu troublante.

Mais c'est là mon seul reproche pour un livre avec une présence assez forte pour me satisfaire malgré cela.
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GGK nous présente des cultures. Sans jugement de valeur, il nous livre la vie rude de ces peuples avec leurs coutumes et leurs attentes. Pour autant pas de grandes scènes de batailles, ce n'est pas le genre de l'auteur. C'est à travers les yeux des personnages, leurs sentiments, leurs appréhensions que nous vivons cette épopée. J'ai cependant trouvé le roman moins fort que les précédents. Il n'y a pas cet envoûtement que j'ai ressenti en lisant La Mosaique de Sarance ou Les lions d'Al Rassan. Les personnages sont moins développés ? Le monde moins exotique ? Je ne saurai dire... Cependant je ne parlerai pas de déceptions pour autant. Je trouve que la critique du site elbakin.net a très bien illustré ma pensée par cette phrase : "Tout bien considéré, il serait très exagéré de considérer ce roman comme un coup d’épée dans l’eau [...] Depuis Tigane les romans de Kay ont pris l’habitude d’être coulés dans un moule de qualité, et celui ne présente que de mineures fêlures."

Ma critique complète : https://singesdelespace.wordpress.com/2011/10/03/le-dernier-rayon-du-soleil-de-guy-gavriel-kay/
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Un peu moins aimé que les lions d'al Rassan, mais cela reste malgré tout très bon. On devine l'histoire de l'Angleterre en butte aux Viking et aux Gallois à la fin du 1er millénaire puisque le parti pris réussi est de créer une fantasy en s'inspirant de la réalité historique. Les personnages sont complexes comme dans la réalité même si je ne les trouve pas très attachant, mais leur destin qu'ils ne maîtrisent pas toujours est très bien décrit et s'il faut s'accrocher au départ pour s'y retrouver, on finit par s'attacher à toutes les familles. La partie surnaturelle est un peu superflue mais cela reste une très bonne lecture.
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La couverture de l'édition Pocket est sublime. La quatrième de couverture est alléchante, ainsi je me suis vite jetée sur la lecture de ce roman.

Dès le début j'ai grandement apprécié de retrouver un tableau présentant les différents personnages. Cela m'a beaucoup servi puisque les noms sont tous très ressemblants et à plusieurs moments je me suis emmêlée les pinceaux dans les protagonistes. Retourner à ce tableau m'a permis d'y voir plus clair.

Alors de l'histoire je ne pense pas qu'elle soit accessible à tous. Les trop jeunes lecteurs risquent de vite abandonner ainsi que les novices en fantasy. Ce roman est avant tout là pour ceux qui recherchent autre chose qu'un roman plein de bons sentiments. Les batailles, trahisons, meurtres et autres dominent un contexte brutale et masculins.

En bref, j'ai beaucoup apprécié ce roman même si le démarrage fut assez laborieux. Je remercie donc les éditions Pocket pour ce partenariat qui m'a permis de découvrir un univers différent de ce qu'on lit habituellement et riche en rebondissement.
Lien : http://lamie.over-blog.com/a..
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