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Citations sur La Symphonie du Hasard, tome 3 (61)

L’attentat m’a marquée, physiquement et mentalement, c’est vrai. Mais je me suis fait aider, et la meilleure manière d’avancer a été de me concentrer sur mon travail, de faire beaucoup de sport pour essayer de passer à autre chose. Je ne dis pas que je suis complètement guérie, non ; quant à savoir si je suis capable de vivre avec tout ça, et de m’en sortir correctement… eh bien, je pense que mes résultats aux examens de cette année sont une réponse suffisante.
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C’est le chagrin que je ressens tous les jours. Il fait des cercles autour de moi, il est de plus en plus menaçant. Et puis il passe à l’attaque, et m’arrache un morceau de chair, mais sans me tuer pour autant. Ce qui n’est pas tout à fait une bonne chose, parce qu’une grande partie de mon esprit n’a plus envie d’exister
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Ce n’est pourtant pas si difficile de mentir, comme tout le monde dans cette famille. Ou, au moins, de tenir sa langue.
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Personne ne peut vivre selon une théorie ou un dogme, même non-dogmatique. C’est quelque chose que j’ai appris au Chili, je pense : les gens qui prétendent détenir toutes les réponses, savoir où aller et connaître un système pour que tout fonctionne…
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Il n’y a pas pire endroit qu’une famille mal assortie pour se sentir seul.
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Mes angoisses, mon désespoir me donnaient envie de disparaître, de quitter le monde sans laisser de trace. Burlington était une petite ville, et je ne pouvais pas m’empêcher de me demander qui d’autre était au courant, et ce que ses habitants savaient de moi.
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Il y a des moments où on a vraiment besoin de sa famille, si dysfonctionnelle soit-elle. Ils ont réussi à sauvegarder les apparences, sans montrer une seule fois la rancœur qui subsistait entre eux, et tout dans leur attitude montrait qu’ils feraient de leur mieux pour m’aider à laisser cette horreur derrière moi. Dans mon état peu reluisant, la perspective était réconfortante, mais, au fond, je savais bien que ce ne serait jamais aussi simple.
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En d’autres termes, ils me gavaient de tranquillisants pour éviter que je me remette à hurler ; leur méthode s’est révélée très efficace : je nageais en plein brouillard. Peu à peu, ils ont réduit mon dosage de sédatifs (je suis sûre que c’est ce qu’ils me donnaient) pour que je sois en état de répondre aux questions de la police et de l’ambassade, et aussi pour que je puisse passer du temps avec mon père et mon frère.
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J’ai été de nouveau envahie par une profonde détresse, comme toujours lorsque quelqu’un me témoignait de la prévenance ; ça réveillait la certitude, tapie au fond de moi, que Ciaran avait trouvé la mort par ma faute. Je ne méritais pas de m’en être sortie vivante. C’était à moi de périr démembrée dans cette explosion. Jamais je n’avais partagé cette pensée avec quiconque.
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— Je n’ai pas besoin de me détendre.
— On en a tous besoin… La réflexologie est faite pour ça. »
Elle a commencé à malaxer la plante de mon pied droit. Sous ses doigts puissants, des sortes de décharges électriques ont parcouru tout mon corps.
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