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3,09

sur 1866 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
La première partie m'a intrigué : un Américain paumé se réfugie à Paris. Avec ses yeux neufs, on découvre la misère, le côté sombre de la plus belle ville du monde, la ville lumière. C'est parfaitement maîtrisé et on attend un déclic. Mais rien. Puis subrepticement, on s'enferme avec cette femme du Vème dans un fantastique incongru. Je n'ai pas du tout adhéré.
"La femme du Vème" ne débouche sur absolument rien, aucune des pistes narratives n'est finalement explorée, et on en retourne à la culpabilité de l'intellectuel américain, ce qui est frustrant.
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Premier roman lu de cet écrivain américain prolifique. Citoyen français depuis des années, Douglas Kennedy se passionne pour la France où se situe une partie de ces intrigues.

Ce roman fantastique ne déroge pas à la règle. Nous suivons le narrateur, Harry Ricks, professeur de littérature de la côte Est des États Unis et écrivain raté qui trouve refuge dans un Paris romancé.

Il rencontre dans son malheur une mystérieuse expatriée qui l'emmène à la frontière du réel et de l'imaginaire, aux confins de l'intelligible.

La femme du Vème est un récit intriguant, un polar parfois et un récit psychologique également. On prend en effet pitié pour le personnage principal, victime des injustices des hommes et de leurs passions.

Le roman mêle ainsi une pléiade d'émotions qui se déroulent au fur et à mesure que le dénouement tant attendu fait jour.

Le genre fantastique est ici bien employé, genre rare dans les romans contemporains.

Je conseille cette lecture atypique et attends avec impatience dans ma boîte aux lettres le nouveau roman de l'auteur, plus politique.
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C'est mon tout premier de Douglas Kennedy et au vu des critiques c'est loin d'être le meilleur.
Cependant, j'ai bien aimé l'histoire même si elle est un peu farfelue tout de même: entre vivre dans les coins néfastes de Paris,la femme morte du v, les attestations...

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C'est mon prémier Douglas Kennedy car je me mefiais de cet auteur sans trop savoir pourquoi. Je craignais des histoires un peu trop à l'eau de rose. La femme du Ve est une histoire qui aurait pu être bien meilleure: ce professeur qui s'exile à Paris après une histoire qui a fait scandale chez lui en Ohio est un drôle de pistolet un peu mou et beaucoup trop enclin à la culpabilité est aussi un peu contre surtout après avoir trouvé de l'argent qu'il envoie à une femme qu'il ne connaît ni d'été ni d'Adam. C'est là que je me suis dit que ça allait finir en eau de boudin. Ce personnage est agaçant de mièvrerie. Et sa rencontre avec la mystérieuse femme du Ve n'arrange rien. Mais le dénouement est vraiment le bouquet.


Ce roman qui mélange les genres ( polar, amour, surnaturel) est un rendez-vous manqué. Pourtant malgré ces défauts les pages se tournent rapidement et Je l'ai trouvé distrayant.

Il paraît que l'auteur a écrit de ,meilleurs romans. Reste à savoir si je tenterai le coup.
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livre qui n'a pas de fin ou alors je n'ai pas tout compris... mais peut-être existe-il un second tome?
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J'ai acquis ce roman lors du dernier salon du livre à Paris. Les critiques autour de moi étaient loin d'être dithyrambiques mais je me suis lancée quand même. Au final, j'ai été agréablement surprise par l'intrigue développée même si c'est un roman un peu à part dans l'oeuvre de Douglas Kennedy.

On suit Harry Ricks, fraîchement débarqué à Paris. Il vient de littéralement fuir de son pays, les États-Unis, où il a tout perdu: son emploi à l'université, sa femme et sa fille. Harry est au bord du gouffre. Dépressif, malade, il se retrouve dans une chambre miteuse d'hôtel, complètement aux abois. Là, il fait la connaissance d'Adnan qui lui propose une chambre de bonne. Harry accepte et tente de remonter la pente…

On suit le schéma habituel des romans de Kennedy: un personnage qui perd tout du jour au lendemain et qui essaie de remonter la pente. Harry passe d'une situation confortable aux États-Unis à une chambre de bonne, signe de sa déchéance sociale. Il va prendre un petit boulot de veilleur de nuit pour payer ses factures. Parallèlement, le salut viendra de l'écriture et d'une femme: Margit.

Le noeud de l'intrigue va se construire autour de la figure de Margit justement. C'est une femme puissante qui envoûte littéralement le personnage. Mais qui est-elle vraiment? Comment connaît-elle parfaitement la vie de Harry? Et pourquoi lui fixe-t-elle des rendez-vous tous les trois jours?

Je comprends que ce roman ait pu déstabiliser le lectorat habituel de l'auteur car on va glisser vers une intrigue plus onirique qui joue avec les codes. On passe en effet de l'histoire d'un homme qui a tout perdu et qui tente de se reconstruire à une histoire qui flirte avec le fantastique. C'était assez déroutant à lire, je l'avoue.

Alors non, je n'ai pas été aussi captivée par le style et l'intrigue que dans les autres romans de l'auteur mais j'ai aimé suivre les aventures d'Harry (même si ces dernières sont parfois redondantes).

« La Femme du Ve » n'est résolument pas le meilleur des romans de Douglas Kennedy mais il a le mérite de flirter avec les genres et d'offrir une fiction plus onirique que les autres.
Lien : https://carolivre.wordpress...
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Sans doute l'un des Douglas Kennedy que j'ai le moins aimé. le côté fantastique était un peu déroutant.
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Que vous dire de ce roman qui m'a déçu. Une histoire qui pour moi n'est pas rationnel et qui part dans un délire onirique. Je n'ai pas reconnu le style de Douglas Kennedy. Pour moi un roman qui n'ai pas le meilleur de cet auteur.
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Il y a un bon moment que je n'avais plus lu de romans de Douglas Kennedy et j'ai profité du challenge Défi pour sortir celui-ci de ma PAL.
J'avoue avoir lu bien meilleur de cet auteur.
Si le début est intéressant et prenant, la suite m'a laissée dubitative et surtout je l'ai trouvée ennuyeuse
Harry Ricks est un ancien professeur d'université aux USA, il a quitté son pays à la suite d'un scandale dans lequel il était impliqué. Arrivé en France parce qu'il parle français, il ne connait toutefois pas le pays, de nombreuses mésaventures et rencontres vont le conduire à prendre une chambre de bonne dans un quartier "bon marché" de Paris et à travailler comme veilleur de nuit dans un local pour des gens aux activités un peu louches.
D'ennuis en problèmes il va finir par vivre un enfer jusqu'au jour où il va rencontrer Margit, une américaine dont il va devenir l'amant. Qui est-elle? Pourquoi ne peut-elle le recevoir que tous les 3 jours? Cette femme bien mystérieuse va jouer un rôle essentiel dans la vie d'Harry.

Mêlant immigration et fantastique l'auteur nous propose donc un roman qui est difficile à classifier.
Mon intérêt s'est amenuisé au fur et à mesure que le côté fantastique prenait le dessus.
C'était trop long et pas super passionnant. Certains moments par contre rachetaient l'ennui qui s'était emparé de moi pendant cette lecture.
J'ai quand même réussi à terminer le roman afin de connaitre la fin de cette histoire.

Roman en demie teinte pour moi mais comme toujours ce n'est que mon humble avis.

Lien : https://delcyfaro.blogspot.c..
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J'ai l'impression d'aller contre beaucoup d'avis, mais j'ai bien aimé ce roman de Douglas Kennedy. C'est le deuxième roman que je lis de cet auteur. le premier était "Combien?" que je n'avais pas beaucoup aimé, mais je laisse toujours une deuxième chance. Des fois ça paye, d'autres fois non.
J'ai bien aimé ce roman, j'ai trouvé qu'il ressemblais UN PEU aux premiers romans de Guillaume Musso, une petite touche de surnaturel.
J'ai beaucoup aimé découvrir Paris vu par un Américain. Les difficultés d'intégration, le racisme font aussi parti du roman.
Je viens de voir qu'il a été adapté au cinéma, je vais peut-être me laissé tenter :)
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