AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Madame Vigée Le Brun : Amie et portraitiste des reines (113)

Élisabeth se lie d’une véritable amitié avec la jeune duchesse de Fleury. « Son visage était enchanteur, son regard brûlant, sa taille celle qu’on donne à Vénus », et son esprit supérieur. Elle aime les arts, et, comme la portraitiste, se passionne pour les beautés de la nature ; leur attirance est réciproque. Toutefois la duchesse de Fleury a une âme exaltée qui effraye la sage Élisabeth.

Deuxième partie
Chapitre 30
Commenter  J’apprécie          30
Le 17 novembre 1796, à neuf heures du soir, après une agonie de quelques heures, Catherine II expire.
A l’annonce de cette mort, le prince de Ligne s’écrie : « Catherine Le Grand (j’espère que l’Europe confirmera ce nom que je lui ai donné) n’est plus. Ces mots sont affreux à prononcer !… L’astre le plus brillant qui éclaira notre hémisphère vient de s’éteindre ! »
C’est la consternation dans toute la Russie.

Deuxième partie
Chapitre 44
Commenter  J’apprécie          20
Tout ce qu’Élisabeth a perdu en s’enfuyant de France, elle le retrouve dans la société russe, où la magnificence des aristocrates dépasse même celle des nobles français de l’Ancien Régime.

Deuxième partie
Chapitre 43
Commenter  J’apprécie          20
C’est Marie-Thérèse, mère de Marie-Antoinette, qui en femme avisée accueillit à la Cour pour la première fois le petit Mozart. D’emblée, elle reconnut son génie. Joseph II, qui se piquait d’être mélomane, commandera à Mozart son premier opéra allemand. Ce sera l’Enlèvement au sérail (1 782).

Deuxième partie
Chapitre 39
Commenter  J’apprécie          20
L’été 1788 reste l’ultime moment avant que la France ne bascule dans l’horreur. L’été 1788 est l’époque charnière où, malgré la douleur de voir les mentalités changer, on espère encore un miracle.
Élisabeth raconte les émotions qu’elle éprouve en ce commencement de révolte. Chaque fait vécu et ainsi transcrit constitue un précieux témoignage que personne ne peut lui envier d’avoir connu.

Première partie
Chapitre 24
Commenter  J’apprécie          20
Mais trop de succès nuit et, aussitôt, l’envie déchaîne les mauvaises langues. Des confrères jaloux attaquent la jeune femme. Ne pouvant nier la valeur des œuvres, ils choisissent la calomnie. Ils font courir des bruits et sous-entendent que Mme Vigée-Le Brun s’est fait aider… que c’est le peintre Ménageot (spécialiste de sujets d’histoire et au style froid) qui retrouche ses tableaux ! Une insinuation d’autant plus aisée que le nommé Ménageot habite la maison des époux Le Brun. Il est vrai que cet artiste fréquente le couple et qu’il admire la jeune femme pour son œuvre comme pour sa beauté, mais il ne retouche pas pour autant ses portraits !

Première partie
Chapitre 14
Commenter  J’apprécie          20
Le jour de sa naissance, l’enfant est baptisée dans la chapelle du château. Elle reçoit les prénoms de Marie-Thérèse Charlotte. A la Cour, on l’appellera « Madame fille du Roi ». Sa mère lui donnera le ravissant surnom de « Mousseline ».

Première partie
Chapitre 10
Commenter  J’apprécie          20
De mémoire, cette peintre, à la Révolution, (si cela n'a pas été écrit là) ayant été reconnue et admirée à la frontière franco-italienne (par ses auto-portraits), put passer et (à l'instar de Madame Dupin) sauver sa tête !
Commenter  J’apprécie          20
Elle n'aura pas sept ans que son père s'exclamera :
- Tu seras peintre, mon enfant, ou jamais il n'en sera !
Commenter  J’apprécie          20
Caroline Murat est la troisième sœur de Napoléon. (...)
Caroline a vingt-quatre ans. Mariée depuis 1800 au mirobolant général Murat, c’est une enfant gâtée. Elle est cultivée et intelligente, mais elle a un caractère difficile, volontiers impérieux. L’artiste en fait les frais. « Il me serait impossible de décrire toutes les contrariétés, tous les tourments, qu’il me fallut endurer pendant que je faisais ce portrait. » A la première séance, elle voit arriver Caroline accompagnée de ses deux femmes de chambre, qui doivent la coiffer pendant qu’elle pose. La portraitiste fait aussitôt remarquer qu’il lui est impossible dans ces conditions de saisir ses traits ! Ensuite elle manque sans cesse aux rendez-vous, au point qu’Élisabeth doit passer une partie de l’été à Paris. De plus, Caroline change souvent de coiffure ou de robe d’une séance à l’autre. Ce n’est pas pour faciliter la tâche d’un peintre.
Dans les premiers jours elle portait des boucles, quelque temps après, cette coiffure ayant passé de mode, elle revient coiffée autrement, en sorte qu’Élisabeth est obligée de gratter les cheveux qu’elle a peints sur le visage ; de la même façon, il lui faut effacer les perles pour les remplacer par des camées, puis recommencer les broderies des robes…
Les caprices de Caroline Murat l’irritent. Les séances continuellement remises lui donnent de l’humeur au point qu’un jour, en présence de Vivant Denon, elle dit suffisamment haut pour que tout le monde l’entende :
— J’ai peint de véritables princesses, qui ne m’ont jamais tourmentée et ne m’ont jamais fait attendre !

Troisième partie
Chapitre 55
Commenter  J’apprécie          10






    Lecteurs (17) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Quelle guerre ?

    Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

    la guerre hispano américaine
    la guerre d'indépendance américaine
    la guerre de sécession
    la guerre des pâtissiers

    12 questions
    3182 lecteurs ont répondu
    Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

    {* *}