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Citations sur Madame Vigée Le Brun : Amie et portraitiste des reines (113)

Ainsi Bologne, quoique d’aspect assez laid avec ses sombres rues à arcades et sa cathédrale inachevée, est une ville prospère. Réputée pour son université, pour son Institut et son grand théâtre, elle compte parmi les mieux équipées et les plus luxueuses d’Europe. L’académie philharmonique est le point de mire de tous les compositeurs. Mozart, Haydn et bien d’autres en ont fait partie.

Deuxième partie
Chapitre 29
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Enfin, cette artiste se passionnera pour les voyages. Ses souvenirs bourrés d’anecdotes et de remarques pertinentes nous montrent une femme curieuse de tout et sensible aux autres. A l’égal du prince de Ligne, elle deviendra une Européenne avant la lettre.

Deuxième partie
Chapitre 29
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Comme la plupart des artistes de son temps, Élisabeth espère depuis toujours connaître l’Italie et découvrir ses richesses artistiques. Bien avant elle ses maîtres, comme Doyen ou Vernet, sont venus étudier à Rome. Ils ont apporté à la fillette éblouie, puis à la jeune fille, leur expérience, leur savoir.

Deuxième partie
Chapitre 29
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— Eh bien, qui suis-je donc ? questionne-t-elle tout étonnée.
— Vous êtes Madame Le Brun qui peint dans la perfection, et nous sommes tous très contents de vous savoir loin des méchants.

Première partie
Chapitre 28
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Une femme a marqué les dernières belles années d’Élisabeth en France. Une femme que le peintre rencontre par curiosité et qui, contre toute attente, gagnera non seulement son estime mais aussi son cœur. Cette femme c’est Mme du Barry, ancienne favorite de Louis XV ; elle est installée à Louveciennes où, plus tard, Élisabeth achètera une maison et se fera enterrer.

Première partie
Chapitre 25
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Une femme a marqué les dernières belles années d’Élisabeth en France. Une femme que le peintre rencontre par curiosité et qui, contre toute attente, gagnera non seulement son estime mais aussi son cœur. Cette femme c’est Mme du Barry, ancienne favorite de Louis XV ; elle est installée à Louveciennes où, plus tard, Élisabeth achètera une maison et se fera enterrer.

Première partie
Chapitre 25
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En 1773 a été créé le Grand Orient. Le duc de Chartres, devenu d’Orléans à la mort de son père, est un des plus zélés propagandistes de cette doctrine nouvelle. Le propre frère du roi, le comte d’Artois, se laisse entraîner. A plusieurs reprises, Louis XVI semonce affectueusement son frère. Le roi est un être raisonnable, il s’inquiète de ce mouvement qui s’instaure dans son propre État et dont les idées dressent contre l’Église et la monarchie.

Première partie
Chapitre 23
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Dans ces années pré-révolutionnaires se moquer du gouvernement est devenu un jeu, une seconde nature. Alors que l’Europe jalouse la France, les Français se laissent aveugler ; ils ne voient pas que le roi a su préserver la paix avec les pays étrangers, retrouver le premier rang en politique extérieure, renforcer la marine, développer l’industrie (même si les Anglais nous dépassent encore). La France est à la pointe du progrès scientifique et Paris reste le centre intellectuel incontesté de l’Europe… Mais la manie du dénigrement est la plus forte. Elle fausse le jugement en attisant les inquiétudes d’un peuple déstabilisé. Les critiques intoxiquent l’opinion et politisent toutes les couches de la société.
Les idées dites « philosophiques » ont gagné la haute société. Pour être à la page, il est de bon ton de se disputer les ignobles brochures qui insultent Dieu, qui insultent le roi et les nobles eux-mêmes.

Première partie
Chapitre 23
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Élisabeth a trop souffert de ses années passées en pension dans l’austère couvent pour l’infliger à Julie. En quelque vingt-cinq ans, les mœurs ont évolué. Dans cette deuxième moitié du siècle, les nourrices sont condamnées. « Les bonnes mères, suivant un tout récent idéal, gardent leurs filles avec elles (…). Et l’allaitement maternel devient, au milieu du siècle, une sorte de dogme1. » Rousseau en proclame l’idée dans l’Émile et dès 1760 il est recommandé avec insistance par les médecins. Marie-Antoinette donne l’exemple, elle est une mère attentive qui se veut très présente dans l’éducation de ses enfants.

Première partie
Chapitre 21
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Le Brun, grand libertin épris de luxe autant que de luxure, aime paraître et, pour cela, il a besoin des revenus de sa femme. Sans doute Élisabeth a-t-elle compris que sa liberté est à ce prix, car elle ne se plaint pas.

Première partie
Chapitre 21
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