Désolation

Nous sommes dans le désert du Nevada.

Peter et Mary Jackson, la famille Carver, Johnny Marinville et Tom Billingsley tous se font interpeller sur la route 50 par un policier Collie Entragian, taillé comme une armoire à glace au regard impressionnant.

Tous sont arrêtés, emmener dans une petite bourgade nommée "Désolation", et jetés en prison.

Pourquoi ? On ne sait pas.

Mais, on se doute que ces arrestations, ne sont pas le fruit du hasard dans cette ville ou les habitants ont tous disparus, excepté cet étrange policier....

J'ai adoré cette entrée en matière, l'action est immédiate. Dès les premières pages, nous sommes en empathie avec les personnages. le Hic ! de nombreuses répétions, un aspect mystique, religieux et démoniaque un peu lourd....

En conclusion le "King" de l'horreur m'a un peu déçue...



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Amérique, Nationale 50, route perdue dans le désert, Peter et Mary roulent pour rendre la voiture à la soeur de Peter. Lorsque soudain des gyrophares de la police apparaissent dans les rétroviseurs, un policier géant sort de sa voiture et leur demande de sortir de la leur. Découvrant de la drogue dans le coffre, il décide d'arrêter Peter et Mary et les emmène à Désolation, un petit village minier.
Et là l'horreur commence Peter sera abattu sous les yeux de Mary et elle, elle sera enfermée avec d'autres compagnons d'infortune.

Un livre long et pompeux.
Je me suis ennuyé lors de cette lecture.
Au final l'histoire n'est pas si mal mais c'est long pour en arriver là où on sait déjà.
Je n'ai pas pris mon pied et parfois j'ai lu pour vite avancer la lecture pour en finir. Oui car je voulais connaître la fin quand même. Fin décevante également.
Bref, j'ai perdu un peu de mon temps même si le premier tiers est plutôt sympa. Ça retombe bien vite et ça sent le navet.

Si j'étais méchante, je crois que j'intitulerais cet avis "Déception". Déception, oui, car Stephen King m'avait habitué à mieux que ce récit qui semble partir dans tous les sens. Bien sûr, c'est un livre d'horreur, effrayant à souhait, glauque et gore. L'idée de base était bonne, pourtant l'étincelle n'a pas pris. Les personnages ne sont peut-être pas assez développés, hormis David et Johnny, à l'extrême rigueur. Néanmoins, le combat dieu païen, dieu chrétien était bien trouvé, mais pas assez bien exploité. La ville déserte, aux habitants décimés, manquait de réalité, malgré les descriptions de Stephen King, qui, décidément, nous avait habitué à bien mieux.
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Mon Dieu, ce que j'ai détesté ce livre, du Stephen King comme je peux le détester: long et chiant, une bonne idée de départ mais on sent bien au fil des pages que l'auteur ne sait vraiment pas où il veut aller (et 825 pages ça fait mal...)
Il y a nettement mieux chez Stephen King, ce livre est surcoté à tort par les critiques.

Ca, pour une désolation, c'est une désolation ! Et je vais même rajouter l'adjectif : c'était désolant ! Je n'ai vraiment pas aimé ce livre. Alors que je suis une fan de Stephen King, malgré ses fins fadasses, "Désolation" ne passe pas. L'histoire n'a pas beaucoup d'intérêt, les personnages ne sont pas aussi creusés que dans les autres livres et le méchant est vraiment navrant (pour ne pas réutiliser "désolant").

Amateurs de glauque, bienvenue à Désolation, ce livre est fait pour vous. Stephen King a encore une fois frappé fort avec ce livre : de l'angoisse, du sang, de l'horreur, bref tous les ingrédients d'un bon livre réunis. Il y a quelques longueurs, et certains des héros ne sont pas forcément sympathiques. Malgré tout, le livre se laisse dévorer sans problème. Ames sensibles s'abstenir.

Un Stephen King très alambiqué, trop à mon gout. J'ai trouvé l'histoire tellement tirée par les cheveux (pour un livre de fiction c'est fort!!) que je n'ai pas réussi à profiter du fond de ce récit. Entre folie et religion, très particulier.