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J'avance petit à petit et la tour sombre se réduit. Il m'en reste deux, et je n'ai pas pu m'empêcher de lire les premières lignes du suivant…

Mais elles attendront…

Ce prochain roman de plus de 900 pages posé sur ma table de chevet, me laissera un goût de tourment, de souffrance (comme la fin du tome 6) et me donnera envie de tendre mon bras de m'en saisir et de le lire.

J'ai moins apprécié celui-ci, je l'ai trouvé long… tout ce chemin, tous ses tourments pour …. attendre la suite...
Le seul point positif c'est que l'on retrouve Mister King comme personnage au cours de ce récit, il y a même un extrait de son journal intime à la fin (un faux romancé, bien évidemment)…
J'ai aimé l'idée que Stephen King se retrouve en face de Roland… une belle rencontre.

Tout ce jouera enfin au prochain tome… je suis impatiente de connaître la suite…

Bonne lecture !
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On s'approche de la fin et ça fait drôle ! J'ai commencé cette série ado et je me sens triste à l'idée de la terminer . J'ai donc savouré ce tome , qui reprend après la bataille de la Calla, alors que Suzannah a disparu vers notre monde pour y accomplir sa tâche (sans rien dévoiler pour ceux qui n'y sont pas encore). le Ka-tet va se séparer dans ce tome et on va suivre les personnages tour à tour (mais pas sombrement). Il faut le dire la tension monte car on se rapproche de la tour ! C'est toujours aussi bien, bourré de références et l'apparition de Stephen King comme personnage est juste la petite cerise sur le gâteau ! Et ça donne aussi envie de relire ses anciens romans !
J'ai quand même hâte de lire la conclusion tout en espérant qu'elle sera à la hauteur !

Challenge Mauvais genre 2019
Multi-défis 2019
Challenge séries 2019
Challenge pavé 2019
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Ce sixième tome nous rapproche que légèrement de la Tour Sombre. J'ai encore (et encore, …) apprécié le déroulement de l'histoire sortant de l'imaginaire de Stephen King.

L'intrigue est principalement consacrée à Susannah/Mia ce qui est plaisant car je trouve qu'elle a été laissée trop en arrière-plan dans le tome précédent (un Filou le King). Quel personnage fort et pourtant si fragile à la fois. Je me suis beaucoup attaché à elle au fil des tomes.

Le mélange des époques et des points de vue des personnages est habilement réalisé. J'ai aimé la mise en scène dans le chapitre où Roland et Eddie rencontre le mystérieux écrivain. le journal de fin est intéressant à lire. Quelle est la part de faux et de vrai dans celui-ci ?

Le chant de Susannah m'a (enfin) apporté les réponses à certaines questions que je me trimballe depuis le troisième tome.

La conclusion du sixième tome ne m'a donné qu'une seule envie, de poursuivre tout de suite la lecture. Je veux savoir le dénouement mais, une fois la dernière page tournée, j'appréhende de ressentir un vide, un manque…
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Le tome précédent, « Les loups de la Calla », se terminait par le triomphe sanglant de nos pistoleros, mais cette victoire a rapidement pris un goût de cendres. Outre les morts à enterrer, la belle Susannah Dean a disparu, enfuie dans notre monde pour y accoucher de la créature qu'elle porte dans son ventre. Nul ne sait d'où vient et ce qu'est exactement le monstrueux nourrisson, mais sa naissance entraînera sans aucun doute la mort de Susannah. Ses compagnons sont donc forcés de se diviser en deux groupes, chacun avec sa mission spécifique. Jack et le Père Callahan franchiront le portail de la Grotte des Murmures pour poursuivre Susannah dans le New York de 1999 et la débarrasser de son embarrassant fardeau avant qu'il ne soit trop tard, tandis que Roland et Eddy emprunteront le même chemin pour se rendre dans le Maine des années 70. Là, ils devront convaincre un petit libraire de leur vendre un terrain newyorkais abritant, contrairement à toutes les apparences, un fabuleux et trop fragile trésor.

Le problème, c'est que Roland et Eddy ignorent un petit détail, un tout tout petit détail mais pourtant d'une importance cruciale… Leur libraire a un voisin et ce voisin est écrivain. Pas un écrivain très connu, remarquez. Il n'a écrit que deux romans et pas même de la vraie littérature, des romans d'horreur, pensez-vous ! Vous le connaissez peut-être ? Faut reconnaître qu'il a un nom que l'on oublie difficilement : il s'appelle Stephen King.

Un romancier doit savoir se faire plaisir et pour cet avant-dernier tome de « La Tour Sombre », Stephen King s'offre le trip absolu (ou cauchemar absolu, au choix) de tout écrivain qui se respecte, à savoir, voir frapper ses personnages à sa porte pour lui demander d'écrire la suite et fissa ou ça va chier des bulles. Un poil narcissique, le King ? Bah, probablement, mais on aurait bien du mal à lui en vouloir tant ce nouvel opus est habilement mené et ce petit tour de passe-passe littéraire, loin d'être artificiel ou grotesque, ne fait que rehausser l'excitation du lecteur et son désir de savoir la suite. On en bave littéralement d'impatience. Et puis King nous sort tout de même l'excuse la plus désopilante que j'ai jamais lue pour justifier des années de stagnation entre la sortie de chacun de ses tomes : « C'est pas ma faute, c'est les forces du Mal qui voulaient m'en empêcher ! » Prends-en de la graine, GRR Martin !

Prochaine à droite, la Tour Sombre…
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Ce sixième volume s'ouvre immédiatement après la victoire des pistoleros sur les Loups. La Calla a retrouvé sa sérénité sans perdre ses enfants. Mais Susannah/Mia a disparu pour mettre au monde le monstre qu'elle porte depuis des mois. En traversant la porte, elle a emporté la Treizième Noire. Alors que ce qui reste du ka-tet se prépare à partir à sa poursuite, un des Rayons qui soutient la Tour sombre lâche sous l'effet du sinistre travail des Briseurs. Si l'urgence est de retrouver Susannah et de la sauver de l'emprise de Mia, Roland sait également qu'il ne doit plus tarder s'il veut rejoindre la Tour avant qu'elle ne s'effondre.

Susannah/Mia se retrouve à New York en 1999, soit plus de 30 ans après que Susannah en ait été arrachée par Roland. La femme d'Eddie sait lutter contre l'emprise de Detta Walker, mais difficilement contre celle de Mia. La femme est avant tout une mère et elle fera tout pour sauver et garder son p'tit gars. « L'usurpation de Mia avait gagné toutes les facettes de la personnalité de Susannah, semblait-il, et si Detta Walker était de retour, tellement remontée et prête à en découvre, c'était en grande partie dû à l'intervention de cette inconnue indésirable. » (p. 107) Mais d'où vient cet enfant ? Qui en est le père ? Pourquoi Susannah abrite-t-elle à la fois la mère et l'enfant ? Et qui est Mia ?

Pendant ce temps, croyant suivre Susannah, Roland et Eddie retournent en juillet 1977. « Chacun doit suivre la voie sur laquelle l'engage le ka. » (p. 299) Leur voyage leur permet de retrouver Clavin Tower et de préserver enfin la rose, lumineux pendant de la Tour sombre. Et dans la suite de leur périple vers Susannah, ils rencontrent un étrange écrivain du nom de Stephen King. « Stephen King est-il le Roi Cramoisi de ce monde ? » (p. 212) Roland reconnaît celui qui a écrit son histoire, mais l'auteur démiurge dit n'avoir jamais écrit après le premier volume. C'est donc toute une intrigue qui semble sortie de nulle part puisque l'auteur avoue son impuissance face à la rédaction du roman. « Ça devait être mon ‘Seigneur des anneaux' à moi, ma grande saga, mon ce-que-vous-voudrez. Un des avantages quand on a vingt-deux ans, c'est qu'on ne manque pas d'ambition. Mais il ne m'a pas fallu longtemps pour voir que c'était tout simplement trop gros pour mon petit cerveau. Trop… je ne sais pas… outrancier ? On peut dire ça, oui. Et puis, […], j'ai perdu le plan. » (p. 351) Et si Stephen King, comme toute chose, servait le Rayon ? Voire s'il était manipulé par le Roi Cramoisi ?

Quant à Jake, le père Callahan (lui-même sorti du roman Salem de Stephen King) et Ote, ils sont sur les traces de Susannah/Mia et espèrent la retrouver avant qu'elle n'accouche de sa monstrueuse progéniture.

Le volume s'achève sur le journal de l'auteur. Réel ou non, il montre comment, entre 1977 et 1999, Stephen King a rechigné, puis s'est investi à plume perdue dans l'écriture de la Tour sombre. Peu à peu, on comprend pourquoi il a laissé tant de temps entre chaque volume. Pour ma part, je suis ravie d'avoir commencé la lecture de ce cycle alors qu'il est achevé, ou presque. Attendre 15 ans entre deux volumes, voilà qui m'aurait rendue folle, d'autant plus que je n'arrive pas à laisser passer 3 jours entre deux tomes… Avec brio, l'auteur interroge le lecteur sur la consistance des personnages : les héros sont-ils des êtres fictifs ou des êtres réels ? Et il se garde bien de donner une réponse.

J'ai beaucoup apprécié ce sixième volume. La délivrance de Susannah/Mia est pleine de rebondissements à venir. Et j'aime voir le personnage de Roland s'assombrir : le pistolero est un héros au sens classique du terme, mais il chevauche en laissant derrière lui des cadavres et en écartant ce qui le détourne de sa voie vers le Rayon. « Il porte autour du cou la culpabilité des mondes comme un cadavre en putréfaction. » (p. 136) Contrairement aux autres volumes, le chant de Susannah est découpé en couplets. Et la longue mélopée qui entraîne le lecteur a les accents ancestraux des complaintes des femmes en travail. Au terme du volume, comme Susannah/Mia, l'auteur donne le jour à son monstre. Advienne que pourra dans le volume 7 !
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Ce sixième tome du cycle de la Tour Sombre est un ovni dans la saga. En général, on avait pour habitude de suivre tout le ka-tet dans une aventure qui se situer dans un lieu précis. Ici, l'auteur a complétement dénaturé cette équipe et nous offre un voyage vers d'autres où et d'autres quand. Un voyage qui d'ailleurs ne se termine pas vraiment, on reste sur notre faim (fin) et c'est peut-être là la seule faiblesse de ce roman !

Comme toujours, ce livre peine à rester fermé. Au bout de quelques minutes à ne rien faire, celui-ci apparait devant nous, comme par magie, comme si le ka nous obligeait à approcher de cette Tour qui nous menace au milieu de ce champ de rose. Ca ne s'arrête jamais, surtout dans ce livre qui est de loin le plus agité des tomes de la saga.

On reprend l'histoire exactement après la bataille de la Calla, exactement dans le même flou dimensionnel vis-à-vis de la fiction et de la réalité. Ce roman nous en apprendra plus jusqu'à rencontrer même l'auteur de toute cette folie qui nous emporte !

Si fait, c'est avec un grand bonheur que l'on suit d'un côté Roland et Eddie et de l'autre Susannah/Mia, Jake et Callahan. Deux endroits différents, deux buts différents, deux actions différentes pour deux fois plus de plaisir. Tout cela nous mène à une scène finale, une scène cauchemardesque au-delà même de toute imagination qui malheureusement, ne se terminera pas vraiment.

Au-delà même du récit, j'apprécie ces illustrations offertes dans le livre. Illustrations d'une grande qualité bien que cette fois-ci, je les ai trouvées plus abstraites que dans les autres romans.

Je vais attendre avant de me lancer dans le dernier tome. Je vais attendre de le rencontrer enfin, rencontrer dieu ce 16 novembre, peut être croiser des « Entrants » au Grand Rex qui sait ? Me rapprocher dans la réalité de la tour avant de l'atteindre en tournant les quelques 900 pages qui me reste.
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Dernier virage avant la grande ligne droite, ce sixième opus est celui qui m'a le plus surpris. Susannah est à nouveau divisée et a une fois de plus prit la poudre d'escampette . Sa fuite est aussi très psychologique...Décidément le Ka s'acharne sur la Dame d'Ombre, mais ses compagnons ne la laisseront pas tomber...Pas même Ote !
Au cours des précédents volumes, S.King nous avait habitué à faire la rencontre de personnages ou d'objets venant d'autres de ses romans, mais ici ça prend une autre ampleur... C'était murmuré dans Terres perdus lorsque sur le livre de Jake, le nom de l'auteur change; et c'est clairement révélé à la fin des Loups de la Calla : La fiction et la réalité se mélangent ! Un pur bonheur !
Quant à ce qu'il advient de la Treizième Noire...
Je m'arrête là, de peur de saborder le plaisir des futurs lecteurs qui passent par là. Juste pour finir, je dois dire que lire le chant de Susannah, c'est vivre une expérience unique, mille fois mieux qu'un tour de manège...Car La Tour Sombre est définitivement un cycle à sensations fortes !
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Dans la continuité du 5ème tome, style fluide, moins de bla bla et de descriptions pour laisser place à plus d'actions et surtout plus de réponses. Il se divise pour moi en 3 parties distinctes:
- Susannah s'est enfuit par la porte de la grotte grâce à la maléfique boule de cristal noire en compagnie de "Mia "sa nouvelle personnalité. Elle atterrit à New York en 1999 enceinte et pas loin d'accoucher. On apprendra par la suite de qui elle attends son bébé ( impossible à deviner croyez moi ! ) et de l'importance de sa futur progéniture.
- Eddie et Roland arrivent dans le Maine par la magie des " manni " de la Calla en 1977 et vont essayer de retrouver cet étrange écrivain qui serait leur créateur et donc dans un sens leur " Dieu ". Evidemment ce n'est autre que S.King lui-même ( Bachman )comme on le devine déjà à moitié dans le 5ème. La rencontre est très sympathique et cocasse.
- Jake, Callahan et Ote ont eux atterrit à New York en 1999 et se retrouvent donc à la poursuite de Susannah-Mia afin de la sauver des griffes de la " Sombra corporation " dirigé par le " Roi Cramoisi ".
De nombreuses réponses apparaissent dans ce récit comme, de qui est l'enfant de Susannah et quel est son but, le fonctionnement de l'équilibre qui maintient la Vie et donc de l'importance de la Tour Sombre, la Rose, les Rayons, le Roi Cramoisi etc...
Cet avant dernier opus se dévore littérallement parlant et enfin pourrait-on dire, on perçoit de plus en plus ou S.king veut nous emmener. On prends toujours autant de plaisir à suivre les aventures de ce " ka-têt " même si cette fois ils devront affronter les dangers séparemment.
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Je poursuis ma lecture de la saga La Tour Sombre de Stephen King et j'ai donc lu le tome 6, le chant de Susannah.

Ce tome 6 s'inscrit directement dans la suite du tome précédent, sans ellipse temporelle, mais il est à ce stade difficile de vous en parler sans spoiler ce qui s'est passé dans les tomes précédents.

Je ne vais donc pas vous en dire trop sur l'intrigue. Roland et ses compagnons poursuivent leur quête vers la Tour Sombre et doivent faire face à des événements et des obstacles qui se dressent en travers de leur route.

Ils ont des renforts inattendus au fur et à mesure des rencontres qu'ils font et c'est là que les liens entre cette saga et d'autres romans de Stephen King prennent tout leur sens !

Outre le fait que, après les tomes 4 et 4,5 qui m'ont moins passionnée, je suis à nouveau totalement à fond dans cette lecture, dans ce tome, la Maître a introduit quelque chose qui m'a hallucinée et complètement séduite !

Ne pas pouvoir vous en parler pour ne pas vous spoiler me frustre d'une force, vous ne pouvez pas imaginer ! Je vous donnerai juste un petit indice : métafiction ! Libre à vous d'aller creuser le sujet...

Mais j'ai tout simplement adoré cette orientation narrative qu'a pris l'auteur et que je n'avais jamais rencontrée dans mes lectures. J'ai trouvé ça tellement génial !

Vous dire que je suis attachée à ces personnages que je suis maintenant depuis 6 tomes serait beaucoup trop faible pour exprimer la crainte que j'ai à devoir les quitter à la fin du tome suivant qui sera le dernier...

Certes j'attends des réponses… Pourquoi Roland est-il si obsédé par La Tour Sombre ? Qu'est-elle vraiment ? Il ne me reste plus qu'un seul tome (de presque 1.000 pages) et j'espère vraiment les obtenir mais quoiqu'il en soit, je peux déjà vous dire que cette saga aura marqué ma vie de lectrice !
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Un sacré pavé ! Par moment passionnant, et très prenant… Certains passages sont , par contre à mon goût , un peu longs… j'ai aussi été un peu dérouté par des vas être vient, entre le réel, le dogan , vanaash etc… tout cet univers « onirique «  se complexifie (un peu trop…).
Pour finir la rencontre avec Stephen King est géniale !
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