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Quand une blogueuse que je suis depuis de nombreuses années écrit un livre ....j'appréhende un peu de donner mon avis mais aussi de ne pas aimer le roman.

Ici ce n'est pas le cas car sans être un coup de coeur j'ai apprécié ce premier roman.
Beaucoup de références littéraires ou sur la mythologie parsèment les pages de ce livre (beaucoup trop pour moi je l'avoue) sans surprise puisque Alexandra est professeur de français, latin et grec ancien, cela ne me parle pas trop mais ce n'est pas grave. En tous cas j'ai bien senti qu'elle est très cultivée et qu'elle a sûrement effectué beaucoup de recherches.
J'ai également ressenti que certaines phrases ont dû être travaillé et retravaillé pour donner un effet qui pour moi n'est pas naturel ou auquel je ne suis pas sensible.

Ce roman nous parle de la catastrophe de Tchernobyl mais surtout d'exil pour Léna et sa famille. Léna qui a dû, à 13 ans, quitter Ivan son ami/amoureux.
On suit surtout Léna dans sa reconstruction et dans sa nouvelle vie.
Et on en sait peu sur la vie d'Ivan.

Certains passages avec sa grand mère sont très beaux.

Curieuse coïncidence : alors que j'étais presque à la fin du roman j'ai vu un reportage sur Tchernobyl et des personnes qui n'ont jamais quitté la région.
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On n'en finit plus avec les premiers romans de cette rentrée littéraire 2019 sur Lettres it be ! Cette fois, on s'est penché sur À crier dans les ruines, le tout premier livre d'Alexandra Koszelyk publié Aux forges de Vulcain. Deux coeurs, un nuage radioactif. Ça donne quoi tout ça dans un roman ?

# La bande-annonce

Tchernobyl, 1986. Lena et Ivan sont deux adolescents qui s'aiment. Ils vivent dans un pays merveilleux, entre une modernité triomphante et une nature bienveillante. C'est alors qu'un incendie, dans la centrale nucléaire, bouleverse leur destin. Les deux amoureux sont sépares. Lena part avec sa famille en France, convaincue qu'Ivan est mort. Ivan, de son côté, ne peut s'éloigner de la zone, de sa terre qui, même sacrifiée, reste le pays de ses ancêtres. Il attend le retour de sa bien-aimée. Lena grandit dans un pays qui n'est pas le sien. Elle s'efforce d'oublier. Un jour, tout ce qui est enfoui remonte, revient, et elle part retrouver ce qu'elle a quitté vingt ans plus tôt.

# L'avis de Lettres it be

26 avril 1986. Tchernobyl. Un bruit sourd. Un nuage assassin. Des vies décimées. Des murs invisibles autour de la France. Vous connaissez la suite…

Tout le monde connaît la suite, pourtant, c'est bien le cadre qu'a choisi Alexandra Koszelyk pour y poser son tout premier roman. À crier dans les ruines, c'est l'histoire d'un petit couple, un tout petit couple parmi tant d'autres. Histoire d'amour somme toute classique ? Feel-good nucléaire qui ne s'assume pas ? On est loin du compte !

Il aura fallu un poème d'Aragon et une jolie plume pour faire parvenir jusqu'à nous ce premier roman d'Alexandra Koszelyk. Un roman aux doux atomes où la question du nucléaire dans ce bas-monde est, de toute évidence, omniprésente. En témoigne cet « ingénieur de Flamanville » que l'on rencontre à la page 79… Pour autant, Alexandra Koszelyk n'évite pas les petites faiblesses dans son roman, des faiblesses qui ne s'alanguissent jamais trop. On craignait l'amourette fragile sur fond de Guerre froide avec le jeune Gordon débarquant fraîchement dans la classe d'une Léna éloignée mais rien de cela. C'est juste, c'est toujours bien équilibré. Des clins d'oeil, des forces et des faiblesses, tout cela pour un joli coup de coeur. Et que dire de cette fin, voluptueuse et terriblement bien amenée. Un petit bijou.

Tchernobyl c'est là-bas, mais c'est aussi ici quand les coeurs se sont éloignés et que l'amour irradie partout autour. Roman de l'amour qui brise les murs et y succombe dans un dernier souffle, roman de l'oubli, roman de l'Histoire qui avance à l'aveugle… À crier dans les ruines fait mouche, discrètement, humblement. le genre de romans que l'on aime tout particulièrement.

Retrouvez la chronique en intégralité sur Lettres it be
Lien : https://www.lettres-it-be.fr..
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chronique de Flingueuse : Les pépites d'Isabelle
Les romans qui tournent autour de Tchernobyl sont rares. Comme si, depuis le 26 avril 1986, plus rien ne poussait sur le terreau irradié d'Ukraine et que cette supposée stérilité s'étendait à la littérature. Mais là-bas les herbes n'ont jamais cessé de croître, la sève circule en abondance. Ça pourrait être le paradis ou l'enfer… Eagles aurait adoré. Alexandra Koszelyk a choisi d'y faire germer un amour de conte de fée. Léna et Ivan sont inséparables. Ils ont grandi main dans la main et leur destin est tout tracé. Lorsque la Centrale explose, ils ont 13 ans. Pour Léna ce sera l'exil dans un pays inconnu. Ivan ne quittera pas l'Ukraine. Parviendront-ils à se retrouver ?
L'intrigue se résume en quelques phrases et pourtant, le cheminement de ces deux personnages est long et douloureux. La famille de la jeune fille veut effacer toute trace de sa culture. Pour ses parents, tourner le dos à son pays revient à s'éloigner le plus possible de la Centrale. Mais la fuite, le reniement, l'oubli n'effacent pas les traumatismes anciens que portent en elles, à leur insu, les nouvelles générations. C'est ce que va lui enseigner mamie Zenka. Alexandra Koszelyk est d'origine ukrainienne. Elle partage avec son héroïne Léna un lien fort avec ses origines, tissé par les récits de sa grand-mère. A ce sujet, le chapitre consacré à la famine qui a frappé l'Ukraine dans les années 30 est remarquable.
Ivan vit une expérience fort différente. Après quelques errances il renoue avec la nature auquel son père l'avait initié. Cette nature, si puissante et en même temps si affectée par la catastrophe, dont on ne sait pas vraiment s'il faut y puiser sa résilience ou la fuir comme la peste, si le salut des hommes (physique et mental) passera par elle ou loin d'elle.
La trame de ce premier roman se rapproche de celle d'un conte, les allusions aux mythes se multiplient, ce n'est pas un hasard. Alexandra, qui enseigne le grec et le latin, est fascinée par les mythes. Beaucoup de symboles autour de la catastrophe de Tchernobyl renvoient d'ailleurs aux mythes et à la religion : les enceintes de confinement ne portent-elles pas les noms de sarcophage et d'arche ?
Un dernier mot sur le titre : A crier dans les ruines, poème d'Aragon, lui a été soufflé par un autre écrivain passionnant, Gilles Marchand
Lien : https://collectifpolar.wordp..
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Léna et Ivan grandissent ensemble dans la ville ukrainienne de Pripiat. Une ville confortable qui loge principalement les employés de la centrale de Tchernobyl.

En 1986, les deux enfants ont treize ans. Ils sont depuis toujours inséparables, unis par un lien fort et des sentiments naissants. Mais la journée tragique du 26 avril va brusquement les séparer .

En effet, la famille de Léna part précipitamment en France, laissant tout derrière elle. Et celle d'Ivan, qui ne cesse d'avoir foi en la nature malgré la catastrophe, reste en Ukraine, s'exilant dans une ville voisine de la zone désormais interdite.

Rongée par ce déracinement douloureux, par l'absence d'Ivan qu'elle finit par croire mort, Léna tente de se construire dans ce pays si différent du sien. En dépit de la volonté de ses parents, elle refuse d'oublier sa terre natale.

Vingt ans plus tard, la jeune femme foulera à nouveau le sol ukrainien à la rencontre de ce passé qui n'a jamais cessé de la hanter.

Alexandra Koszelyk nous offre une histoire poignante avec pour toile de fond la tragédie de Tchernobyl. Mais, en dépit de la catastrophe nucléaire qui entoure Léna et Ivan, le récit demeure remarquablement lumineux.

La plume est magnifique, gracieuse. Les émotions affleurent et j'ai été envoûtée par les mythes et légendes qui s'égrènent au fil des pages. 

Si Tchernobyl est le fil conducteur de ce livre, c'est avant tout une histoire d'exil forcé, de séparation, de résilience mais également une quête d'identité. Comment se construire privé de ses racines?

Un superbe premier roman qui nous conte l'histoire d'un pays maudit, d'un territoire ravagé par l'Homme. Mais ce sont aussi des mots vibrants d'amour. Cet amour inaltérable qui nous relit à la terre, celle qui nous a vu grandir et qui fait partie de nous.
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Le coquelicot est le symbole du repos, de la quiétude et de la consolation. C'est le fil rouge de ce roman et il figure en bonne place sur sa couverture.

L'histoire ? Deux adolescents qui s'aiment mais que la catastrophe nucléaire de Tchernobyl va séparer ; s'en suivent de nombreuses années d'exil, de mensonges et puis un jour vient le retour.

Le déracinement : un thème universel et actuel pour un roman assez classique et scolaire qui plaira au plus grand nombre : les références littéraires et mythologiques y foisonnent, mais c'est un peu normal puisque l'auteur est professeur de français, latin, grec (… et aussi blogueuse et animatrice d'un atelier d'écriture que je fréquente…).
La bonne idée est d'avoir mis côte à côte deux façons de vivre l'appartenance : l'un est resté et l'autre est parti, mais ils restent tous les deux accrochés à leur ville de Pripiat.

Ce premier roman est une réussite et une entrée en matière pour une suite prometteuse…
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Tchernobyl, 1986. Deux adolescents, Léna et Ivan s'aiment puis sont séparés par une catastrophe qui bouleverse leur destin. Ils sont amoureux, depuis le premier jour, dans leur monde, celui de Pripiat, ce petit cosmos construit pour les employés de la centrale. Deux familles totalement opposées mais deux amoureux qui rendent les adultes admiratifs jusqu'au drame !

Deux adolescents qui ne comprennent pas. Léna part à Paris, Ivan ne peut s'éloigner de sa terre, cette terre qui est le pays de ses ancêtres. Léna grandit dans un pays qui n'est pas le sien, Léna qui se battra pour connaitre la vérité sur ce départ. Ivan, de son côté, qui ne cesse de croire en cet amour et d'écrire à Léna chaque année. le retour aux sources est indispensable.

Alexandra Koszelyk examine avec une élégance extreme le thème de l'identité et du déracinement à travers des morts d'une incroyable poésie, tout en douceur avec des métaphores littéraires et des symboles mythologiques.

Un premier roman qui se lit d'une seule traite du fait de chapitres courts, efficaces et enivrants. Avec une plume d'une grande fluidité qui nous harponne dès les premières pages.

Au-delà d'une histoire d'amitiés, d'amour, l'auteur nous montre les causes et conséquences de ce drame mondial : des vies brisées aux destinées anéanties, à la mémoire collective..

Que j'ai aimé ce premier roman, tellement magnétique et puissant aux références antiques. Chaque phrase est d'une justesse pour nous parler de l'exil, de l'attache à nos racines. D'une grande justesse, Alexandra Koszelyk touche au coeur et à la mémoire.
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En avril 1986, je n'avais pas tout à fait 5 ans. Je ne pense donc pas avoir de réel souvenir de ce qui s'est passé à ce moment-là (ou de ce qui a pu en être dit en France en tout cas).
Pourtant j'ai l'impression que cela fait partie des événements d'actualité qui ont marqué mon enfance.
Et les rares fois où je suis tombée par hasard sur un documentaire évoquant le sujet j'étais comme hypnotisée. Non pas par la catastrophe elle-même mais plutôt par l'évolution de la zone d'exclusion. Cette zone contaminée que les hommes ont dû déserter en urgence, puis où il a fallu revenir pour prendre des mesures de protection, et que l'on peut aujourd'hui visiter. Cette zone hors du temps où la nature (faune et flore) a repris ses droits, même si elle a été profondément altérée par la catastrophe.
Quand j'ai entendu parler de ce livre d'Alexandra Koszelyk, je me suis empressée de l'emprunter à la bibliothèque. Et j'ai été complètement emportée par ce roman, l'histoire de deux adolescents de Tchernobyl : cette jeune fille que ses parents vont emmener tout de suite en France pour mener une nouvelle vie et ce jeune garçon qui lui va rester sur les lieux ou à proximité.
Ils sont tous deux liés par une histoire d'amitié devenue histoire d'amour avec le temps et voudront absolument se retrouver mais ont perdu la trace l'un de l'autre.
On suit leurs parcours respectifs, si différents mais pourtant tous deux marqués au fer rouge par ce qu'ils ont vécu.
Une très belle lecture !! A découvrir !!

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C'est l'histoire de Léna et Iva, deux ados amoureux que la vie sépare.
C'est l'histoire de la catastrophe majeure du vingtième siècle.
C'est l'histoire d'un drame humanitaire.
C'est l'histoire d'une tragédie.
Tellement de morts, de chagrins, de peurs dans un pays et au-delà que c'est « A crier dans les ruines ».
Malgré tout ça, le roman d'Alexandra Koszelyk est lumineux, elle réussit à nous prendre à témoin de l'importance et de la force de la nature, de la folie des hommes qui la détruisent et fuient.
Elle nous conte aussi une belle histoire d'amour, qui prend racine au plus jeune âge pour embellir tout au long d'une vie.
En prenant pour toile de fond, la catastrophe de Tchernobyl, elle traite de l'amour mais aussi de l'exil, de l'effondrement de l'ouest avec la chute du mur de Berlin et l'indépendance de l'Ukraine, et bien-sûr de la nature outragée.
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Les romans qui tournent autour de Tchernobyl sont rares. Comme si, depuis le 26 avril 1986, plus rien ne poussait sur le terreau irradié d'Ukraine et que cette supposée stérilité s'étendait à la littérature. Mais là-bas les herbes n'ont jamais cessé de croître, la sève circule en abondance. Ça pourrait être le paradis ou l'enfer… Eagles aurait adoré. Alexandra Koszelyk a choisi d'y faire germer un amour de conte de fée. Léna et Ivan sont inséparables. Ils ont grandi main dans la main et leur destin est tout tracé. Lorsque la Centrale explose, ils ont 13 ans. Pour Léna ce sera l'exil dans un pays inconnu. Ivan ne quittera pas l'Ukraine. Parviendront-ils à se retrouver ?
L'intrigue se résume en quelques phrases et pourtant, le cheminement de ces deux personnages est long et douloureux. La famille de la jeune fille veut effacer toute trace de sa culture. Pour ses parents, tourner le dos à son pays revient à s'éloigner le plus possible de la Centrale. Mais la fuite, le reniement, l'oubli n'effacent pas les traumatismes anciens que portent en elles, à leur insu, les nouvelles générations. C'est ce que va lui enseigner mamie Zenka. Alexandra Koszelyk est d'origine ukrainienne. Elle partage avec son héroïne Léna un lien fort avec ses origines, tissé par les récits de sa grand-mère. A ce sujet, le chapitre consacré à la famine qui a frappé l'Ukraine dans les années 30 est remarquable.
Ivan vit une expérience fort différente. Après quelques errances il renoue avec la nature auquel son père l'avait initié. Cette nature, si puissante et en même temps si affectée par la catastrophe, dont on ne sait pas vraiment s'il faut y puiser sa résilience ou la fuir comme la peste, si le salut des hommes (physique et mental) passera par elle ou loin d'elle.
La trame de ce premier roman se rapproche de celle d'un conte, les allusions aux mythes se multiplient, ce n'est pas un hasard. Alexandra, qui enseigne le grec et le latin, est fascinée par les mythes. Beaucoup de symboles autour de la catastrophe de Tchernobyl renvoient d'ailleurs aux mythes et à la religion : les enceintes de confinement ne portent-elles pas les noms de sarcophage et d'arche ?
Un dernier mot sur le titre : A crier dans les ruines, poème d'Aragon, lui a été soufflé par un autre écrivain passionnant, Gilles Marchand
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Nous sommes au printemps en Ukraine , Léna et Ivan , deux adolescents , passent beaucoup de temps ensemble , ils sont destinés à s'aimer et à vivre dans ce pays qu'ils aiment
Seulement , nous sommes à Tchernobyl , près d'une centrale nucléaire , et , le 26 avril 1986 , un accident majeur se produit , la fusion du coeur du réacteur numéro quatre plonge toute la région dans l'effroi et l'hébétude .
Il faut échapper à tout prix aux radiations , c'est la fuite , une noria de bus emmène toute la population loin de la centrale , sous la surveillance des militaires .
C'est l'exil forcé , Léna part en France avec sa famille , elle ne pourra plus communiquer avec Ivan pendant de trop nombreuses années , leurs nouvelles adresses respectives leur sont inconnues .
Sous la trame de cette romance interrompue brutalement , Alexandra Koszelyk traite subtilement différentes thématiques , de nombreuses références mythologiques émaillent le récit . Pour ma part , j'ai pensé par moments à Ulysse , qui cherche par tous les moyens à regagner son Ithaque natal et à retrouver sa fidèle Pénélope , sauf que c'est Ivan qui attend le retour de son aimée , les rôles sont inversés .
Dans ce roman , il est question avant tout de l'exil , du déracinement , de la perte des repères , l'éloignement de la terre des ancêtres et de leurs tombes n'est pas chose facile à vivre .
L'exil amène également à l'oubli de la langue maternelle et au fait d'en adopter une nouvelle . Pour surmonter la douleur de l'exil , Léna se plonge dans la lecture des classiques , la littérature est un baume à apposer sur les plaies .
Mais Léna n'a pas oublié , malgré le temps passé et l'éloignement , elle n'a jamais renoncé à retourner à Pripiat , elle veut retrouver sa terre et son ami .
Ce qui est réjouissant , c'est de voir la nature exulter après l'accident de criticité qui a tout bouleversé . Et aussi de constater que les animaux sauvages se portent bien et peuvent se reproduire .
Le revers de la médaille , c'est que l'humanité ne semble rien avoir appris de cette catastrophe écologique et humaine (combien de "liquidateurs" sont morts , on ne le saura jamais ) . On n'en a pas fini avec les dérives du lobby nucléaire .
Bref , ce roman soulève de nombreuses interrogations et nous amène à nous interroger sur notre acceptation de ce monde vers lequel des irresponsables veulent nous entraîner .
Pour un premier roman , c'est un coup de maître , Alexandra Koszelyk nous emmène vers la beauté , une autrice est née .
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