𝚆𝚑𝚎𝚗 𝚊𝚕𝚕 𝚒𝚜 𝚋𝚕𝚘𝚘𝚍, 𝚋𝚕𝚘𝚘𝚍 𝚒𝚜 𝚊𝚕𝚕.
𝗨𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹'𝘂𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝘃𝗿𝗮𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲
La barre était placée très haute. Coup de coeurs par dizaines sur booksta,
Jay Kristoff à la barre (que je connaissais pour l'excellent Illuminae), entre la réputation du livre et ce que j'en attendais, il y avait de quoi être emballé et sceptique tout à la fois.
.
Laissez moi vous raconter l'histoire de Mia. Fille d'un royaliste pendu pour trahison quand elle avait 10 ans, elle décide à 16 ans de tenter sa chance dans une école d'assassins, l'Eglise Rouge, afin de se venger de Scaeva - l'homme à qui tout est la faute.
.
En soi, c'est un trope de vengeance basique. Mais justement, ce n'est pas tant de l'histoire que de sa construction dont je suis tombé amoureuse, et ce dès le chapitre 1. L'ouverture est une masterclass. Et il a affiché la couleur et attrapé une partie de mon coeur à ce moment là.
.
Nevernight, c'est
Jay Kristoff qui joue avec nous une partie de Mastermind.
.
Vous avez peut-être entendu parler des notes de bas de pages, que certains adorent et beaucoup détestent. Pourtant, quel coup de maître ! Penser que cette construction est la preuve que l'auteur ne sait pas introduire son univers est une ENORME erreur… Il laisse la possibilité d'une lecture fluide et concentrée à ceux qui le veulent, mais pour ceux qui comme moi aiment explorer le lore et l'univers d'une oeuvre… ces notes, pour certaines, je les ai lu et relu, en VF puis en VO. Une histoire incroyable, dont toutes les clés sont données dès le début du tome 1 pour qui veut les chercher.
.
Alors oui, pas de 10 - quelques flottements, des déceptions. Mais si je parle de coup de foudre, c'est parce que c'est vraiment l'effet que m'a fait cette lecture. Je suis impatiente de lire la suite ! (j'attends la fin du printemps de pied ferme)
Lien :
https://www.instagram.com/p/..