Nevernight, tome 2 : Les grands jeux

Une nouvelle claque !

Ce deuxième tome est incroyable. Nous retrouvons tous les éléments du premier : de l'humour, de la romance, des retournements de situation, les intrigues politiques, des combats, du sang et des meurtres !

Nous retrouvons Mia, qui poursuit sa mission : se venger. Elle est devenue une Lame et effectue ses premiers assassinats au nom de la Sainte Mère. Afin de concrétiser sa mission personnelle, Mia se lance un défi : devenir une gladiatrice renommée d'un des plus grands collegium.

Comme vous avez pu le lire sur la quatrième de couverture, tout ne va pas passer comme prévu.

Jay Kritoff nous propose une aventure qui nous tient en haleine du début à la fin. Ce deuxième tome remet tout en question. Cette fin est à couper le souffle et c'est ce qui fait la force de cette trilogie. L'auteur continue de surprendre page après page.

Vivement la sortie de ce troisième tome en format poche.
Bonne lecture à vous.

En ce qui me concerne, Nevernight est bien parti pour collectionner les notes de cinq étoiles... Coup de coeur pour le premier tome, et coup de coeur pour le second ! Autant dire que j'attendais fermement la sortie du second tome en poche après avoir lu le premier, mais là... je me demande sincèrement comment je vais faire pour tenir jusqu'à la sortie poche du troisième tome d'ici quelques mois...

J'ai constaté que ce tome n'a pas fait l'unanimité auprès des lecteurs Babelio, mais la déception n'a clairement pas été au rendez-vous pour moi. Effectivement, le langage devient parfois trop familier (que Mia parle comme une charretière, aucun souci, mais l'utilisation d'un langage grossier dans la narration était-il essentiel ?), et le plan de Mia peut sembler tarabiscoté pour arriver à ses fins... Mais bon sang, j'ai savouré mon plaisir de lecture d'un bout à l'autre du roman. Autant dire que mon avis sera clairement influencé par cela.

Pour commencer, notre héroïne vengeresse se retrouve esclave et vendue comme gladiatii afin de prendre part aux tournois de gladiateurs et pouvoir ainsi approcher ses cibles restantes, le cardinal Duomo et le consul Scaeva, qui doivent grâcier le gladiatii qui gagnera la compétition finale, le magni. D'emblée, c'est une approche qui m'a plu. Je n'ai rien contre les histoires qui se passent sur le sable d'une arène, ou qui tournent autour de l'univers des gladiateurs. Nous avons là une vision sombre et presque hollywoodienne de ce monde, car on se retrouve avec des combats à mort devant des foules ivres de violence, ce que le cinéma nous a largement vendu comme image sur les gladiateurs romains. J'en profite pour placer un petit disclaimer souvent méconnu : dans la réalité, les gladiateurs romains étaient bien plus proches de nos catcheurs actuels, où ils se battaient contre des équipiers de la même école pour donner du spectacle, et où les matchs à mort n'étaient que rarissimes. Pour en revenir à notre roman, ces affrontements sombres et violents donnent des scènes bourrées d'action très agréables à suivre pour qui n'a pas peur du sang... Mais j'imagine que pour lire Nevernight, c'est un pré-requis essentiel ! Pour ma part, j'ai aimé ces scènes d'affrontements (lues en écoutant la bande originale de Gladiator en arrière-plan le rendu était parfait pour se mettre dans l'ambiance).

Les notes de bas de page étaient encore présentes, quoique en moins grande quantité que dans le premier tome, pour étoffer l'univers. On peut clairement s'en passer, mais cela n'a pas gêné ma lecture. Seule remarque négative, était-il bien nécessaire de traiter les lecteurs de connards dans l'une d'elle, relativement au début ? J'ai un peu de mal à comprendre ce que cela apporte, car ça sort vraiment de nulle part...

L'auteur nous propose de retrouver un certain nombre de personnages déjà connus, mais surtout d'en rencontrer bien d'autres dans ce nouveau monde jusque là inconnu, celui des gladiatii. S'il ne mâche pas ses mots pour nous décrire la cruauté de ce milieu, et le côté très immoral de tout le système, l'auteur nous présente cependant des personnages souvent durs, que l'on apprend à apprécier. On s'y attache clairement au fur et à mesure des pages, tout comme Mia qui se débat pour ne pas créer de lien avec ses frères et soeurs sur le sable. de fait, un certain nombre d'événements vont être propres à éprouver le coeur du lecteur, et cela n'aurait pas été possible sans cet attachement, d'autant plus vif que l'on apprend à connaître les motivations et le parcours des personnages, et qu'ils nous apparaissent tous dans des nuances de gris.

Au bout du compte, l'auteur joue avec nos émotions tout au long du roman. On s'attache aux uns, on déteste les autres. On prend parti pour ou contre les décisions de Mia, et on assiste impuissant à ses choix, pour le pire... et parfois le meilleur ! Je dois dire que j'ai eu quelques surprises, et l'émotion était toujours présente. Pour moi, cela caractérise aussi une lecture coup de coeur : une histoire qui arrive à nous procurer de vraies émotions.

Et la fin... Seigneur, la fin ! Une torture ! le cliffhanger final est tellement propre à nous retourner le coeur et l'estomac que l'auteur lui-même nous annonce en épilogue que l'on doit hurler de frustration pour ça... Et ça a clairement été mon cas ! L'attente va être insupportable...

À ce stade, je veux bien vendre mon âme à Jay Kristoff. J'achèterai tous ses livres (bon, sauf Aurora Squad parce que c'est techniquement un 4 mains et que le space opera, j'ai vraiment du mal 😅)
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Nevernight, c'est vraiment une leçon de narration. de mise en scène. de personnages. D'intrigues, de rythme. de tout, en fait.
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Ce tome 2 nous emmène dans un milieu d'esclaves et de gladiateurs, avec une nouvelle galerie de personnages soignés, mémorables et attachants (mention spéciale à Sid). C'est brutal, c'est puissant, c'est vibrant. Et on en redemande.
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Comme pour le tome 1, la première partie alterne entre flashback et présent. C'est un vrai plus qui apporte dynamisme et mystère à un démarrage, et l'autrice en moi en prend bien note ! La lectrice, quant à elle, a savouré.
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Je ne sais plus quoi dire, à part "lisez-le !" ...

Impossible de décrocher de ce deuxième tome !
Jay Kristoff réussi le pari de faire un second tome à la hauteur du premier, voire encore meilleur !
On replonge avec délice dans l'univers de Mia Corvere, ici fortement influencé par les jeux Romains, puisque nous allons suivre l'entrainement et l'acceptation de Mia, la Corneille, dans une des écoles de gladiatii... pour poursuivre son désir de vengeance... sans se perdre en chemin.

L'univers est toujours aussi bien construit, le ton, l'écriture ( et la traduction) ont vraiment cette particularité d'apostropher le lecteur ( avec ces notes de bas de page devant lesquelles on rigole franchement ! ) et l'action ne semble jamais s'arrêter.

Le livre n'est pas tendre avec ses personnages, combats, trahisons, complots, sang et manigances, mais je pense que c'est ce qui fait aussi l'attrait de ce titre !
et la fin de ce tome 2 laisse juste une question : vite, à quand la suite ?!

Un roman dans la continuité du premier tome :
• Un style et un vocabulaire modernes
• Des dialogues rythmés et souvent tranchants
• Des scènes d'action, de combats, parfaitement mises en scène, prenantes et même haletantes
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Deux livres dans ce tome deux‌,
I- le premier mariant le présent et un passé, vieux de quatre mois cette fois, et à nouveau agrémenté des commentaires croustillants ou simplement historiques de notre mystérieux conteur.
• le passé reste un chouïa plus lent, sans doute par le besoin de poser le nouveau décor
• La machine met tout de même 200 pages avant de passer la seconde et même à la limite de s'emballer !
• Thèmes : les dérives d'une république autoritaire, autocratie pour les riches
II-Le second, cette fois pur présent, un présent souvent haletant où le plan mis en place par notre héroïne prend forme.
• En parallèle, la relation avec son ennemie-amie se tisse, s'enflamme !
• Tout cela en intercalant des actions vives et des transitions plus moles...
• Et puis, grande question : la fin justifie-t-elle les moyens ? Trahison 🆚 trahison !

Au final,
- Un ton, un rythme d'écriture et un humour tout trois agréables
- Des actions et des dialogues ciselés et bien entrainants
- Mais un scénario moins riche (pour les 800 pages en tout cas) et plutôt lent au global
- Et quand même une fin, elle, riche, spectaculaire, coup de théâtralisée et avec un bon gros cliffhanger des chaumières !

J'ai bien aimé, presque un coup de coeur. Nous avons un peu de longueur malgré des rebondissements à des questions, je trouve qu'on avance un peu doucement sur ce sujet, nous avons toujours des secrets. Pour notre héroïne principale Mia, elle ne change pas forcément, qu'on montre encore un peu plus de sa vengeance et de son courage. Mais nous avons un peu plus de personnages. Mais nous avons toujours la plume d'auteurs. Malgré ce monde un plus sombre du gladiateur qui bien écrit avec un détail énorme qui plonge dedans.

Ce second tome fut un vrai régal, encore plus que le premier.

Bon, j'ai mis pas mal de temps à le finir parce que c'est compliqué de se plonger dans une lecture aussi complexe tout en enchaînant les journées de cours. C'est aussi pour cela que j'ai eu un peu de mal à me remettre dedans au début. Je ne trouvais le temps de vraiment m'imprégner de l'univers. Mais j'ai été surprise que ce soit aussi simple de suivre. J'avais peur qu'en ayant attendu plus d'un mois j'eusse oublié une partie des événements du tome 1, mais pas du tout, en plus l'auteur nous propose un récapitulatif de tous les personnages ce qui est fort utile.

J'ai vraiment beaucoup aimé le fait qu'on change complètement de registre. Dans le tome 1 nous étions vraiment dans la formation des lames dans l'église rouge, alors qu'ici nous découvrons l'univers des gladiatii. Sur des tomes de plus de 800 pages, c'est appréciable de ne pas avoir l'impression qu'on parle à chaque fois de la même chose.

Il y a beaucoup d'action, des retournement de situation, des combats, des morts... Notre Mia est toujours aussi badasse et déterminée par son envie de vengeance. Mais on sent un grand changement dans sa manière de penser. Elle remet de plus en plus en question ce qu'elle pensait savoir et ceux sur qui elle avait confiance jusque là. le tome 3 promet d'être explosif, j'ai hâte de voir ce que l'auteur a concocté.
Nevernight est un roman complet, totalement imprévisible et addictif.

Alors oui on peut se dire que de la "fantasy de gladiateur", on en a déjà vu et lu. Et de nombreuses fois en plus. Une fois encore, au début de ma lecture, je me suis dit que Jay Kristoff ne faisait que réutiliser les vieux pots pour faire du neuf à sa sauce et ça a même failli m'agacer tout comme pour le tome 1. Sauf que petit à petit on comprend l'ampleur de la qualité de son écriture ...

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Je dois dire que ce deuxième tome de la trilogie Nevernight, Les grands jeux, a été à la hauteur de mes attentes. Mia Corvere, l'héroïne du récit, est plus déterminée que jamais à accomplir sa vengeance, et l'auteur, Jay Kristoff, nous plonge dans un univers sombre et violent où les retournements de situation et les révélations sont nombreux.


Dans ce deuxième tome, Mia a réussi à intégrer les Lames de Notre-Dame du Saint Meurtre au sein de l'Église rouge. Cependant, certains remettent en question sa légitimité et estiment qu'elle n'a pas mérité ce titre. Mia poursuit néanmoins ses assassinats au nom de l'organisation, tout en gardant en tête son objectif ultime : se venger des responsables de l'assassinat de sa famille. Mais suite à une confrontation avec un mystérieux ennemi, elle commence à douter des véritables motivations de l'Église rouge.


Lorsque l'annonce est faite que Scaeva et Duomo, les assassins de sa famille, vont participer aux Grands Jeux de Sépulcra, Mia prend une décision radicale. Elle défie ouvertement l'Église rouge et se fait enlever volontairement afin d'être vendue à une troupe de gladiateurs. Son plan est de gagner les Grands Jeux pour s'approcher au plus près des assassins de sa famille et enfin accomplir sa vengeance. Mais les choses ne se déroulent pas comme prévu...


L'intrigue de ce tome est palpitante, et les rebondissements sont nombreux. Jay Kristoff maîtrise parfaitement son récit, alternant les périodes et les points de vue pour maintenir un rythme soutenu du début à la fin. L'auteur assume pleinement son choix stylistique, avec un langage cru et parfois trash, ce qui peut déconcerter certains lecteurs. Cependant, cette trilogie n'est pas destinée aux âmes sensibles. Elle raconte l'histoire d'une jeune fille déterminée, ayant tout perdu et prête à tout pour se venger. Nulle place pour les mots fins et délicats.


L'univers dans lequel évolue Mia est fortement inspiré de l'Antiquité gréco-romaine, et cela se confirme davantage avec les Grands Jeux. On assiste à des affrontements entre esclaves, gladiateurs et bêtes féroces, où la survie est le principal enjeu. Cette esthétique sombre et violente m'a d'ailleurs quelque peu rappelé la série Spartacus de Steven S. DeKnight, tant dans son côté trash que dans la personnalité de certains personnages.


Conclusion
Ce deuxième tome de Nevernight est une lecture captivante et intense. Jay Kristoff nous offre un récit maîtrisé, plein de rebondissements, et son choix stylistique cru et trash contribue à l'atmosphère sombre de l'histoire. Les amateurs d'univers inspirés de l'Antiquité et de récits vengeurs trouveront leur compte dans cette trilogie. Pour ma part, j'ai hâte de plonger dans le dernier tome pour connaître le dénouement de l'épopée de Mia Corvere.

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