Dernier tome de la trilogie le goût du bonheur, et je dois l'avouer d'entrée, je ne l'ai pas terminé, j'ai calé à la fin à 200 pages de la fin.
Au départ j'ai retrouvé avec grand plaisir les personnages que j'avais tant apprécié dans les précédents tomes, Florent, Adélaïde, Alex, Fabien ou encore Jeannine, mais au fil des pages, des longueurs, trop de romance interdites, trop de redondance dans les récits des amours passionnés et certains personnages ont finis par vraiment m'agacer.
Adélaïde, femme forte qui en devient despotique par moment, qui veut gérer la vie de tout de le monde suivant son bon désir, au nom du bonheur de tous....
Léa qui se questionne pour un oui ou pour un non, elle me donnait mal à la tête et je l'ai trouvé relativement niaise malgré le fait que l'auteur voulait la faire paraître plus mature pour son âge.
J'ai également trouvé Florent, inconsistant, il ne fait que vivre à travers et selon Adélaïde ou ses amours, je ne vois même pas pourquoi ce tome porte son nom au final.
Marie Laberge, insiste sur des situations qui pourraient être survolés, comme les rencontres entre Adélaïde et Paul dans son appartement, nous avons le droit à des paragraphes et des paragraphes à chaque fois sur leur amours fusionnels et passionnels. Mais j'ai trouvé qu'elle n'insistait pas assez sur des intrigues qui étaient plus intéressantes comme le mariage d'Alex, la fin de Jeanine et le deuil de Fabien.
En revanche, la partie sur Pierre, Reine et Béatrice m'a passionné et encore une fois je trouve que l'auteur ne s'est pas assez attardé sur l'après de l'affaire, on ne parle presque plus d'eux, sauf par intermittence quand l'auteur évoque les visites de Germaine à Pierre en une seule phrase.
Bref, déçue de finir une saga si bien débuté comme ça mais trop de romance tue la romance, trop de niaiserie tue la niaiserie et ce n'est vraiment pas un genre pour moi.
Je note quand même parce que 900 pages de lus sur 1100