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Autofiction nerveuse, ce roman parle d'amour impossible d'un esprit "cartésien" face à un esprit "borderline".
J'ai fait cette lecture en quelques jours. le roman se lit bien, je pense qu'il y a eu un gros travail de "nettoyage" afin de faire ressortir l'essentiel. La nervosité se ressent à travers les lignes. le roman est régulièrement ponctué de références culturelle, populaires ou non, et c'est heureux, cela détend l'atmosphère...
Il reste le sujet, difficile. Comment comprendre cette amour ? Comment accorder, sinon la confiance, du moins les circonstances atténuantes, au protagoniste masculin.
Comment comprendre ?
Pourquoi tant et tant de souffrance. le plaisir en valait-il la peine ?
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Un livre dévidoir, au rythme rapide et soutenu, tout aussi nerveux que la romance. Il prend, il vidange, il tarit. Il s'accroche aux tripes, telle une sangsue mordante, inquiétante, asséchante. Pas de répit pour le lecteur, devant une histoire d'amour affolante et angoissante.
Histoire d'amour… pas si sûr ! Cette autofiction semble avoir été écrite d'une traite, étouffante par son manque de paragraphes et de pauses, mais suffisamment bien menée pour tenir en haleine. Je pense qu'il ne faut pas chercher à comprendre – sous peine de migraines insolubles – juste à vivre à la cadence du récit.
J'ai été curieuse, puis contrariée et enfin soulagée. Certainement pas indifférente.
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C'est tout à fait par hasard que j'ai lu ce roman... Quelqu'un m'a entraîner à la médiathèque de la Roche sur Yon, où l'auteure, ayant déjà eu le pris Femina pour un autre livre (Phillipe, sur le deuil d'une mère qui perd son enfant), j'ai été tellement frappé par la personnalité de cette femme, que j'ai acheté cette romance vraiment hors normes : une femme auteure se laisse séduire par un paparazzi borderline plus jeune, et n'arrive pas à comprendre pourquoi elle s'est mise dans un tel pétrin, parce que décidemment, même le côté attendrissant de ce personnage n'explique certainement pas tout... Cette histoire ne rimerai à rien s'il n'y avait pas les confidences de la narratrice, ainsi que le style de l'auteure qui nous parle sincèrement avec son coeur... J'ai dévoré le livre sur un fait que oui, j'avais observé à cause des aléas de ma vie... Je ne sais si ce livre parlera à ceux qui ne connaissent pas une telle situation, mais quand vous avez observé cela autour de vous, et c'est de plus en plus fréquent, la justesse des mots vous frappe de plein fouet...
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J'ai beaucoup, beaucoup aimé ce livre au ton vif et nerveux, en pleine adéquation avec son sujet, qui révèle une fois de plus le talent de l'auteur. le personnage de l'amant paparazzo mis en scène avec humour par Camille Laurens est extraordinaire. Un très beau roman sur le malentendu fondamental entre les hommes et les femmes. Camille Laurens n'a pas froid à la plume. Dans la veine de Serge Doubrovsky, elle décrit avec une précision chirurgicale les relations entre les hommes et les femmes, éprise seulement de vérité.
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J'ai beaucoup de mal avec la violence dans le couple et même si Camille Laurens a un style qui m'a toujours plu et me plait encore, j'avoue avoir eu beaucoup de difficultés à finir ce bouquin, duquel j'ai sauté de nombreux passages !
Je ne rentre pas dans la logique du personnage de la romancière, qui après avoir été maltraitée par son éditeur, se fait torturer par son nouvel amant et y trouve apparemment son compte !
Non ! A mon grand regret, je ne parviendrai pas, même avec du recul, a trouver quelque chose de positif à ce récit !
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Difficile de comprendre qu'une femme puisse s'attacher à un homme aussi immature, scatologique, peu fiable mais, plus étonnant encore, qu'une femme de lettres en fasse un roman.

Peut-être suis-je lassé des autofictions?

De plus, trop de mots anglais. Ça en devient insupportable.

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Premier livre de Camille Laurens et, abandon ! le style est nerveux effectivement comme le titre nous l'indique mais un peu fouillis, pas toujours ėvident de savoir qui parle de qui. Je me suis rapidement dėsintėressėe de cette relation avec ce photographe imprėvisible, son côté enfant irresponsable. Je suis passée à autre chose sans regret.
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