Autofiction nerveuse, ce roman parle d'amour impossible d'un esprit "cartésien" face à un esprit "borderline".
J'ai fait cette lecture en quelques jours. le roman se lit bien, je pense qu'il y a eu un gros travail de "nettoyage" afin de faire ressortir l'essentiel. La nervosité se ressent à travers les lignes. le roman est régulièrement ponctué de références culturelle, populaires ou non, et c'est heureux, cela détend l'atmosphère...
Il reste le sujet, difficile. Comment comprendre cette amour ? Comment accorder, sinon la confiance, du moins les circonstances atténuantes, au protagoniste masculin.
Comment comprendre ?
Pourquoi tant et tant de souffrance. le plaisir en valait-il la peine ?
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Difficile de comprendre qu'une femme puisse s'attacher à un homme aussi immature, scatologique, peu fiable mais, plus étonnant encore, qu'une femme de lettres en fasse un roman.
Peut-être suis-je lassé des autofictions?
De plus, trop de mots anglais. Ça en devient insupportable.
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