Durant l'année 1984, de nombreuses manifestations ont ramené dans les mémoires non conformistes, mais aussi snobinardes ou catéchisées, un nom diabolique (nos amis communistes ou catholiques - et nous en avons beaucoup - diraient : "sulfureux") : celui d'un vagabond de génie, grand écrivain roumain d'expression française _ Panaït Istrati qui, fait rarissime, écrivit d'abord presque toute son œuvre dans notre langue après l'avoir apprise, dès 1916, dans Rousseau et V... >Voir plus
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.