Au menu des (ré)jouissances proposées par ce roman: baise et pâtisserie, saupoudrées de références au banquet de Platon !
Mon appétit, déjà pas trop bien aiguisé par la lecture du résumé, a vite été coupé par trop de bites, de trous de cul et de recettes…
Je n'ai lu ce roman que parce que j'apprécie tout particulièrement les éditions de l'antilope et j'étais fort curieuse de découvrir la dernière trouvaille de Gilles Rozier mais je n'ai vraiment pas été séduite par ces douceurs. Loin s'en faut ! Peut-être s'adressent-elles plutôt à un lectorat gay probablement plus à même d'en goûter les charmes. Moi je n'ai malheureusement pas la sensibilité requise pour les apprécier à leur juste valeur ☺
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Anne-Laure Brisac, éditrice de Signes et Balises, au micro de la radio RCJ, évoque Shaun Levin et surtout Le garçon en polaroïds.