" Si dans un carré de toile bleue, on noue ses hardes de tous les jours, des bas, des chemises, un complet et quelques mouchoirs, il m'est avis qu'on ne laisse pas d'y enfermer aussi un peu de la poussière des endroits où l'on a vécu, jusqu'à l'odeur du savon dont on s'est servi, et je levai la tête, en serrant les noeuds de mon baluchon, comme si une main se fût posée ferme sur mon épaule, et je revis les lieux où je les avais portés, mes ... >Voir plus