Les cathédrales du vide

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Ce roman est arrivé dans ma PAL il y a 1 an, chouette trouvaille dans la boite à livre de ma ville. Je ne m'étais pas encore penché sur tous les livres d'Henri Loevenbruck à cette époque, j'étais ravi de découvrir celui là dont je n'avais pas entendu parler ! Bon bien évidement j'ai compris direct avec le bandeau rouge que ce livre faisait parti d'une série et je m'étais procuré le premier tome en mai. Depuis le troisième m'a été livré par le père noël !

De quoi ça parle ? « Une mystérieuse organisation internationale protectrice de l'environnement s'empare de plusieurs régions du globe, à la recherche d'un secret millénaire, qui pourrait menacer l'ordre géopolitique de la planète.

Ari Mackenzie, ancien des renseignements généraux, alerté par une série d'inexplicables disparitions, décide de mener l'enquête. Existerait-il un lien entre les étranges recherches de cette organisation et les occultes découvertes de Nicolas Flamel, célèbre alchimiste du Moyen Age ?

Le commandant Mackenzie va devoir se mesurer aux ténèbres. Une enquête dangereuse, la dernière peut-être...»
J'avais beaucoup aimé le tome 1, c'est pourtant une lecture que j'appréhendais car classé thriller ésotérique ce qui n'est pas du tout mon dada ! J'avais hâte de me plonger dans ce deuxième tome et surtout de retrouver Ari, Iris et Krysztov que j'avais beaucoup aimé dans le premier tome. J'avais aussi hâte de voir où l'auteur allait nous emmener !
J'ai une fois encore passé un excellent moment ! Je suis littéralement fan de la plume de l'auteur, je prends beaucoup de plaisir depuis 1 an à me plonger dans tous ses écrits et le découvrir dans différents genres, à des époques différentes et voir l'évolution de son écriture ! Il m'en reste plus que 2 à lire, j'avoue que j'ai un petit pincement au coeur d'arriver au bout de cette aventure littéraire !
Je n'arrive pas à savoir si j'ai trouvé ce tome 2 aussi bon que le premier, il m'a semblé plus calme, un peu moins d'action ou peut être moins de scènes explosives mais quand même très intéressent et j'ai une fois de plus eu beaucoup de mal à le lâcher ! Cette fois encore les chapitres sont assez courts ce qui permet vraiment de plonger dedans à n'importe quel moment ! J'ai été pas mal occupée ces derniers temps, mais je l'ai quand même lu en 3 jours !
J'ai trouvé certaines scènes peut être un peu grosses, surtout dans la chance qu'on Ari et Krysztov pour se sortir de situations vraiment dramatiques ! Ou peut être que ce sont des chats ! Pour moi c'est surtout dans ce genre de scènes que je vois l'évolution de l'écriture d'Henri Loevenbruck. Ce livre est sorti en 2009, ça fait quand même presque 12 ans !
L'auteur nous emmène ici jusqu'en Amazonie, tout en nous offrant un voyage à travers les époques avec un jeu de temporalité nous ramenant en 1358 jusqu'en 1417. Une fois encore toute l'intrigue est bien ficelée, l'auteur ne s'embrouille pas et nous offre une histoire carrée et très documentée. Les lieux sont toujours bien détaillés sans que ça soit lourd et pompeux, une écriture très descriptive qui nous entraîne totalement dans l'univers ! Si on ferme les yeux, on se retrouve aux côtés des personnages dans une aventures folle ! Sans les moments WTF qui m'ont fait lever les yeux 2/3 fois j'aurais sûrement eu un gros coup de coeur pour ce roman.
J'ai hâte de lire le 3ème. C'est une série moins connue de l'auteur mais que je recommande quand même fortement !

Note 8/10

J'ai préféré "Le rasoir d'Ockham", mais l'un ne va pas sans l'autre. Une fin très "mystique", mais qu'attendre d'autre finalement. J'ai appris beaucoup de choses, ma lecture fût ralentie par les recherches parallèles effectuées sur les divers sujets abordés, quoique expliqués par l'auteur, pourtant il entrouvre des portes que ma curiosité pousse à ouvrir plus encore. Je suis toujours ravie par les tribulations de ce flic décalé et de ces évènements qui ne se déroulent pas toujours comme on le voudrait. Je vais de ce pas retrouver Ari dans "Le mystère Fulcanelli".
Quelques soient les sujets traités par Henri Loevenbruck, c'est toujours un réel plaisir que de suivre ces héros extraordinaires. de "La Moïra" au "Mystère Fulcanelli" en passant par "Gallica", c'est toujours beaucoup de connaissances, de travail de l'auteur, pour atteindre un superbe équilibre entre tout ça et le suspense qui nous procure une lecture vraiment agréable. Merci Monsieur Loevenbruck.

Ce livre m'a tenu en haleine durant toute la semaine. J'ai aimé me retrouver dans une enquête hors du commun où l'alchimie rencontrait l'histoire et les sciences. J'en ai beaucoup appris et tout était très réaliste si bien qu'on ne savait plus à quel moment l'imaginaire venait se mêler de l'intrigue.
De plus, ce livre, bien que censé être thriller est empreint de philosophie sur la manière dont on gère sa vie...et je lui ai trouvé une certaine poésie. (Citations à l'appui) !
Je regrette juste un peu la fin, un peu sombre à mon goût mais qui donne à réfléchir...
A savoir que je n'ai pas lu le Rasoir d'Ockham et que cela n'a pas du tout perturbé ma lecture !

Ce livre est la suite de « le rasoir d'Ockham », je n'ai pas lu ce dernier et cela n'a pas du tout gêné ma lecture, tout ce qu'on doit savoir est succinctement relaté au cours de ce tome pour ne pas s'y perdre.

C'est le genre d'histoire que je redoute, quand il est question d'ésotérisme et d'alchimie, il en ressort souvent des romans complexes dans lequel le lecteur se perd. Là c'est tout le contraire, dès les premières pages, j'ai été emporté par cette histoire.

le personnages d'Ari que l'on découvre en arrêt maladie après les évènements qu'on devine dans le rasoir d'Ockham est attachant, les personnes qui le côtoient ont l'air de l'apprécier et du coup nous aussi...


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Bon, disons que j'ai bien aimé, mais un peu déçue tout de même.
Le livre fait trop référence au Rasoir d'Ockham, du coup on arrive à la fin avec la sensation que l'auteur ne s'est pas trop fendu pour "pondre" celui-là.
Une presque obligation de lire le rasoir d'Ockham pour se retrouver dans cette histoire et cette "obligation" est désagréable.
J'aurais préféré retrouver Ari dans une réelle nouvelle aventure...

Commencé les premières pages et déjà prise et intéressée par l'histoire... avec le plaisir de retrouver Ari et ses deux comparses du Rasoir d'Ockam...
Je vais l'aimer, sans aucun doute possible !

Les Cathédrales du Vide de l'écrivain français de thrillers policiers et ésotériques Henri Loevenbruck fait en quelque sorte suite à le Rasoir d'Okhram (2008), sans pour autant que ces deux romans ne puissent être lus indépendamment. L'auteur fait beaucoup de rappels entre les deux histoires, et le lecteur n'ayant pas lu le premier n'aura guère l'impression d'avoir raté quoique ce soit....
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Des mystères, un manuscrit caché depuis le XIVe siècle, un alchimiste, des meurtres inexplicables,... Ce livre avait tout pour me plaire.

Eh bien, je l'ai arrêté après 150 pages. Ce n'est pas que ce livre soit mal écrit ou qu'il ne m'intéresse pas ou que sais-je encore? C'est simplement qu'il est trop compliqué pour moi. J'ai fini par m'y perdre complètement et j'ai préféré abandonner ma lecture. D'autres m'attendent...

Découverte d'une mystérieuse cathédrale au milieu de la jungle équatoriale et du manuscrit d'un célèbre alchimiste du XIVe siècle : Nicolas Flamel.

Une série de disparitions étranges fait sortir l'agent Ari Mackenzie, membre des Renseignements généraux, de l'isolement dans lequel il se complait depuis sa séparation avec la femme qu'il aime toujours... le voilà confronté à une affaire dangereuse, la dernière peut-être, mais ça, je ne le saurai pas !

Dans ce roman, l'auteur fait référence à un autre roman : "Le rasoir d'Ockham", livre qu'il vaut mieux avoir lu avant de commencer celui-ci...

Je les lirai peut-être, tous les deux, plus tard...
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Contrairement au Rasoir d'Ockham, ce tome m'a surprise par sa prise de recul.
Il est davantage centré sur l'émotion, la quête de reconnaissance, le désir de se faire aimer, et comment donner du sens à notre vie. Même si ces concepts ne sont pas vraiment détaillés, ils ont eu le mérite d'être mentionnés, faisant de cet opus une agréable surprise pour son humanité, que je ne m'attendais pas à retrouver suite à ma première lecture. Ceci a révisé un peu mon jugement sur Ari, le personnage principal, auquel je m'attache de plus en plus.

J'ai par ailleurs apprécié l'apparition de nouveaux personnages avec des caractères plus forts que le premier opus, qui ont introduit davantage de rythme et d'attachement dans l'histoire.

L'ésotérisme dans ce roman passe au second plan, au point où je ne peux évoquer clairement les liens entre Flamel, Weldon, la pierre philosophale, Rubedo et les carnets de Villard. Les explications étaient plus brèves et écrites comme si on les connaissaient déjà. Ceci n'étant pas mon cas, je n'ai pas accroché à ces parties ésotériques qui m'avaient pourtant bien plu dans le premier opus…
Peut être que ces explications m'auraient davantage emportée dans l'histoire, plutôt que les nombreuses scènes d'actions très invrésemblabes que compte les Cathédrales du Vide.

Je suis également surprise de la couverture du livre de poche. On y voit la basilique de Fourvière… qui n'est jamais évoquée dans le roman. Choix d'illustration un peu bancal pour des lecteurs français…

Je vais m'engager dans le troisième volet car le format est selon moi idéal : des mystères encore cachés, des personnages en transformation, des chapitres courts porteurs de suspens. Si le troisième opus est un mélange équilibré des deux premiers, ce serait un excellent roman !

Une lecture comme je les aime : je me suis laissé dévorer par ce livre à la trame bien construite, au rythme haletant. J'ai appris, aussi : car l'auteur est cultivé et transmet ses connaissances avec agilité, c'est du partage. J'ai parsemé ma lecture de recherches sur internet : j'ai découvert la façade de la maison de Nicolas Flamel non sans émotion, j'ai découvert l'Agartha et tant d'autres choses. L'acte final est peut-être un peu excessif à mon goût mais s'intègre parfaitement à l'histoire, apothéose d'une tension qui ne cesse de croître au fil des pages. L'épilogue m'a fait de la peine mais... pour un personnage comme Ari, il n'aurait pas dû être différent.