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EAN : 978B01NBATZ60
71 pages
(21/11/2016)
3/5   1 notes
Résumé :
Jeune et jolie hôtesse de la Nippon Sun Airways, Akiko a quelque mal à maîtriser son angoisse à l'approche de son premier vol long-courrier. Promue sur le prestigieux Tokyo-Los Angeles, c'est merveilleux, oui, mais qu'adviendra-t-il si elle ne parvient à retrouver calme et sérénité ?Pour chasser tout ce stress malvenu, Akiko aimerait bien recevoir quelques câlins bienvenus, mais seulement, voilà, Akiko vit seule. Certes, il y a Himeko, sa colocataire. Mais si Akiko ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Une novella (moins de 100 pages) gentiment érotique, qui raconte les émois d'une jeune hôtesse de l'air japonaise, ses envies et fantasmes. C'est joliment troussé, on se voit bien à la place de l'officier qui lui rend service ! Agréable lecture.
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
De beaux enfants, bien obéissants. Les jumeaux, comme disaient certaines. Jubbies, comme disaient les anglo-saxons, en langage argotique, pour désigner les seins, en particulier ceux de taille très appréciable. Le terme l’avait fort amusée lorsqu’elle l’avait découvert. C’était kawai, mignon. Elle l’avait encore plus apprécié lorsqu’elle avait appris que le mot provenait d’une déformation du « jujube », un fruit aussi surnommé « datte de chine », et pas plus gros que son pouce. Le jujube était néanmoins un fruit délicieux, juteux et bien en chair. Mais pouvait-elle continuer à appeler ses deux superbes mamelons « Jubbies » ? Ou « Jubbi-Jubbisu » à la japonaise,  comme il lui arrivait parfois. N’était-il pas plus approprié de designer ainsi ses tétons – à savoir les pointes de ses seins – à dire vrai tout aussi magnifiques et kawai que ses mamelons dans leur ensemble ?
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Son costume d’hôtesse lui seyait à ravir, semblant avoir été coupé sur mesure. Il mettait en exergue sa taille fine, ne lui comprimait pas la poitrine, dégageait ses jambes juste ce qui convenait pour être sexy, mais sans trop, et se mariait harmonieusement avec le teint d’ivoire de son visage, dont elle tirait une fierté tout aussi méritée, bien qu’un poil trop exagérée à la vérité.
Néanmoins, il ne suffit pas d’être jolie pour faire une bonne hôtesse, et ce n’était pas son apparence physique qui la préoccupait. Non. Mais bien la crainte de ne point se montrer à la hauteur.
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Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses magnifiques seins bien fermes et développés ne le requéraient point, jugeait-elle. À raison.
Elle éprouvait à leur égard une fierté presque maternelle, comme si elle les avait enfantés et pouvait exiger du monde entier les félicitations pour l’excellente tenue de ses enfants. Par certains aspects, il est vrai, ce sentiment n’était pas dénué de fondement. Elle les avait vus pousser, grandir, croître, s’épanouir. Elle leur avait donné de l’amour et de l’attention. Et ils le lui avaient rendu au centuple.
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Fujiwara Akiko, hôtesse de première catégorie, récemment promue sur les longs courriers, et dont le premier vol devait s’effectuer sur le prestigieux Tokyo-Los Angeles, Fujiwara Akiko, donc, de Satoyama, avait besoin d’amour. De beaucoup d’amour... D’amour tendre et flamboyant. D’amour intense et passionné. En vérité, et pour le dire en un mot comme en cent, Akiko Fujiwara de Satoyama ressentait un intense et soudain immodéré désir de sexe.
Car il n’y avait que le plaisir charnel pour la calmer en de telles circonstances.
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Presque partout ailleurs dans le monde, les hôtesses et stewards étaient identifiés par leurs prénoms. Au Japon, qui pourtant s’occidentalisait, cela demeurait inconcevable. Le prénom était réservé aux proches. L’employer entre collègues, une intrusion malvenue dans l’intimité. Étrange les familiarités que les gaijin se permettaient entre eux. Certains trouvaient cela « cool », d’autres « kawai », mais tout de même, quelle impolitesse !
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