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3,9

sur 339 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Au coeur de l'été, j'ai plongé.... dans les eaux glacées et dépaysantes du Groenland! le nom de l'auteur fait penser qu'il est scandinave, eh bien pas du tout! C'est l'un des pseudonymes pris par Frédéric Ploton , journaliste, scénariste, auteur d'autres livres, essais, thrillers...Un vrai touche-à-tout...

Emprunté à la médiathèque, c'est le troisième d'une série consacrée aux enquêtes de Quaanaaq, chef de la police à Nuuk. On nous précise que les tomes peuvent se lire indépendamment les uns des autres, mais je pense que pour apprécier l'évolution du personnage principal, il aurait été préférable de suivre l'ordre...

J'ai aimė découvrir un pays méconnu, rattaché au Danemark, l'auteur français s'est bien documenté. On se passionne pour le monde mystérieux des légendes inuits, le pouvoir ancestral des chamanes, mais aussi le désarroi des jeunes générations, engluées dans des lieux isolés et rudes. J'ai apprécié aussi tous les personnages, intéressants , assez atypiques.

Mais...plusieurs choses m'ont gênée. D'abord, les révélations progressives sont pour moi peu crédibles, trop tordues, de même que le sauvetage miraculeux de Quaanaaq. Et ce personnage de géant maladroit ne m'a pas convaincue, lui qui préfère continuer son enquête ailleurs plutôt que de rester avec sa femme qui vient d'accoucher... Quand même! Pourtant, il semble très attaché à elle. Mais il est vrai que je ne connais pas son passé.

Une lecture plaisir, certes, mais je ne sais pas si je lirai les autres tomes, mon enthousiasme est mitigé...
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Comme dans les deux premiers volets de la saga Qaanaaq Adriensen, l'enquête policière se mêle de façon fort habile à la description d'une culture groenlandaise aussi riche que complexe. Et l'on se laisse totalement immerger dans la blancheur glaciale du Groenland, une blancheur parfois maculée de sang .

Cette fois ci, ce tome moins centré sur son inspecteur principal et plus sur les coutumes, les modes de vie et les légendes inuits.

Qaanaaq est un personnage qui ne laisse pas indifférent et ce polar au rythme soutenu et particulièrement agréable nous donne vraiment envie de poursuivre ses aventures avec lui !
Dans Nuuk, troisième tome des aventures de Qaanaaq- mot compte triple au scraable- Adriensen, cet inspecteur danois perdu en plein Groenland se retrouve au début de ce récit en pleine thérapie imposée par sa hiérarchie afin des mois de convalescence à tenter de faire le deuil de sa mère adoptive

Alors que sa nouvelle compagne est sur le point d'accoucher d'un garçon. Qaanaaq n'est pas apte à reprendre du service mais la criminalité va se rappeller à lui malgré lui.

Un jour, il reçoit un colis contenant une main humaine tatouée, et c'est alors le début d' une série de suicides de jeunes filles des foyers de différentes villes des environs.

Revenu chef de la police du Groenland mais sans avoir encore le droit d'enquêter, Quaanaaq doit ainsi doit jongler entre sa vie de famille, ces suicides et ses doutes existentiels et ses automatismes de flic qui reviennent sans qu'il ne le désire vraiment.

Comme dans les deux premiers volets de la saga Qaanaaq Adriensen, l'enquête policière se mêle de façon fort habile à la description d'une culture groenlandaise aussi riche que complexe. Et l'on se laisse totalement immerger dans la blancheur glaciale du Groenland, une blancheur parfois maculée de sang .

Cette fois ci, ce tome moins centré sur son inspecteur principal et plus sur les coutumes, les modes de vie et les légendes inuits.

Qaanaaq est un personnage qui ne laisse pas indifférent et ce polar au rythme soutenu et particulièrement agréable nous donne vraiment envie de poursuivre ses aventures avec lui !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Le Groenland, version noire, acte trois.

Mo Malø sait décidément varier les plaisirs, les ambiances. Ce troisième épisode des aventures du chef de la police locale, Qaanaaq Adriensen, est à la fois dans la lignée des précédents, tout en marquant sa réelle singularité. On ne tourne clairement pas en rond sur la glace.

Autre rythme, autre histoire. Après avoir parlé de la situation énergétique et politique du pays dans Qaanaaq, et de la dégradation de l'environnement dans diskø, ce roman-là est clairement tourné vers les traditions.

Et comme l'écrivain, aux multiples talents et visages, ne fait jamais vraiment les choses comme les autres, il développe cette thématique à travers la jeunesse. Choc des générations, dans le pays où le suicide des jeunes est le plus élevé au monde.

Il en est de même pour la manière de conter l'histoire. Là où le premier roman privilégiait l'ambiance, le deuxième mettait davantage l'accent sur le rythme, celui-ci est clairement axé sur l'humain.

La série, et surtout les personnages, deviennent des familiers, prennent toujours plus d'épaisseur. Et pas seulement l'homme titre, mais aussi ses acolytes, une mention spéciale à son adjoint et à la légiste.

Qaanaaq Adriensen n'est pas du genre facile à apprivoiser et ne se livre pas aisément. Mais, cette fois-ci, ses émotions débordent des pages.

Immersion totale dans la vie des adolescents désoeuvrés de cet immense contrée, personnage à elle-seule, d'à peine 56 000 habitants. Et dans celle des protagonistes, touchés dans leur intimité.

C'est un vrai voyage auquel nous convie Mo Malø. On en prend plein les yeux, la perte de repères est forte pour nous européens continentaux. Mais c'est aussi une errance dans ce qui fait le socle du pays, racontée de manière particulièrement moderne.

L'intrigue est noire, profondément malsaine, diablement retorse. Certaines scènes sont violentes, surtout psychologiquement, et beaucoup sont proprement ahurissantes. Il n'y a bien qu'un passage que j'ai trouvé too much et franchement dispensable, mais en dehors de celui-ci on lit ce récit les yeux grands ouverts.

Mo Malø, alias de Fred Mars, est allé sur place en 2019, pour se plonger dans le bain et toucher du doigt ce qu'il nous raconte depuis trois ans. L'immersion pour le lecteur était déjà forte par le passé, mais je ressens que son séjour sur place à donné encore davantage de corps aux coeurs qui y battent. Et cette plongée dans les traditions, y compris les plus bizarres, est étonnante, vibrante et passionnante à suivre.

Du vrai Noir sur fond blanc, des personnages attachants et malmenés, une écriture singulière et immersive. Voilà un troisième tome des aventures groenlandaises de Mo Malø qui rend cette série incontournable, pour ceux qui aiment ces ambiances-là. Nuuk, un violent coup sur la nuque, et on en redemande.
Lien : https://gruznamur.com/2020/0..
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Les circonstances d'une lecture sont parfois incroyables. En effet, j'ai entamé celui-ci en pleine période de Noël et il se passe justement pendant cette période.
Je suis fan des écrits de Mo Malo et de son personnage Quaanaaq. J'ai passé un bon moment dans la neige et le froid avec des morceaux de cadavres congelés, dans la capitale du Groenland.
Frissons garantis.
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Il faut être fou, alors que les températures extérieures sont bien hivernales, pour se plonger dans un roman qui se passe au Groenland.
J'aurais pu choisir un pays chaud.
Au contraire, j'ai préféré m'enfoncer encore un peu plus dans la glace.
Bien habillé, je vous assure (passé l'obstacle de la langue, évidemment, et ce n'est pas le plus simple) que le voyage est tout à fait supportable.
Surtout quand Mo Malø est à la barre.
Côté frissons, vous êtes servis.
Et ils ne sont pas dû qu'aux températures négatives.
Bien sûr il y a de la neige, des nuits glaciales, et il vaut mieux regarder où l'on met les pieds, au risque de plonger dans des eaux plus que froides.
Chez Malø, il n'y a pas que l'eau qui est froide.
Il y a accumulation de cadavres congelés.
Et si la région est tristement réputée pour ses suicides, notamment chez les jeunes, dans Nuuk, il y a aussi des morts beaucoup plus violentes.
En témoignent ses cadeaux que reçoit l'inspecteur Qaanaaq Adriensen, chef de la police qui, pour réintégrer son poste, doit se soumettre à une psychanalyse et une visite de différentes villes, imposées par son supérieur.
Les consignes sont claires : on obéit et surtout, on ne mène pas d'enquête.
Mais... chassez le naturel, il revient au galop.
Qaanaaq, un peu tête de mule (ou tête d'ours polaire, c'est plus approprié) va risquer sa carrière, sa vie et même sa vie privée.
En même temps, alors qu'il s'intéresse au suicide d'une jeune fille, voici qu'on le provoque avec quelques colis de chair fraîche.
Faut le comprendre.
Qui sème le blizzard récolte la tempête.
L'ours est lâché.
Un thriller addictif par le plus nordique des écrivains français.
Terriblement efficace, pour ne pas dire.... glaçant.
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Première rencontre littéraire avec le grand Mo Malo, et certainement première immersion fictionnelle au coeur du Groenland, pays glaciaire qui fascine et effraie tout à la fois. C'est donc avec beaucoup de curiosité et une joie non dissimulée que je me suis lancée dans la lecture de Nuuk, troisième tome de la saga polaire de l'auteur, qui peut néanmoins se lire indépendamment des autres.

Nuuk, c'est le nom d'une des plus grandes villes du Groenland : mais c'est aussi le lieu où officie Qaanaaq Adriensen, chef de la police. Suite à des mésaventures passées, racontées plus en détails dans les tomes précédent, le chef de la police se retrouve forcé de suivre une thérapie quotidienne ; une psychologue l'appelle chaque jour pour suivre son évolution psychologique et lui permettre de reprendre une activité professionnelle complète. C'était sans compter sur son instinct infaillible de flic, qui le pousse à suivre une nouvelle enquête très étrange. Plusieurs jeunes, en apparence sans problème, se donnent la mort, sans laisser explication. Après plusieurs jours d'investigations, secondés par son fidèle compagnon Appu, Qaanaaq se lance sur les traces d'un mystérieux chamane, qui sèmerait la discorde dans le pays.

J'ai adoré me plonger dans cet univers glaciaire, où la rudesse climatique et la misère sociale apportent un dépaysement conséquent aux occidentaux.

Le Groenland est connu comme le pays recensant le taux de suicides le plus élevé au monde. Un fléau qui s'explique en partie par le climat particulier de cette contrée isolée, mais aussi par la précarité de l'emploi, directement impactée par la mondialisation. Une situation inquiétante pointée du doigt par Mo Malo, qui entend faire prendre conscience aux lecteurs du monde entier des méfaits de la mondialisation. Les cultures et traditions des inuits (peuple d'autochtones partageant des similitudes culturelles et une origine ethnique commune) disparaissent progressivement, des villages entiers s'effacent de la carte du pays. L'auteur s'alarme de ces pertes conséquentes, mais souhaite en garder une trace tangible et les faire connaître au plus grand monde. Pour ma part, j'ai adoré me plonger dans cet univers qui m'était totalement inconnu, découvrir des populations atypiques, leurs pratiques cérémoniales et leurs diverses traditions, tout en prenant conscience de leur disparition progressive.

Pour en revenir à l'enquête policière de Nuuk, le coeur même de l'intrigue, je l'ai trouvée bien écrite, bien que manquant clairement de finesse. À l'image de l'atmosphère générale du livre, le texte était parfois trop froid, brut. le tout manquait de cohérence et de vraisemblance ; je pense notamment à une scène en particulier, celle du crash de l'hélicoptère par temps de blizzard, qui s'écrase en plein océan. le pilote meurt sur le coup, tandis que notre héros est subit des dommages physiques par des requins… mais s'en sort indemne ! Pour couronner le tout, le pilote est vite relégué aux oubliettes, Qaanaaq ne s'offusquant pas plus que cela d'avoir vu périr un ami et collègue par sa seule faute. Autant vous dire que cette scène, qui frise le ridicule, m'est vraiment restée en travers de la gorge. Autrement, j'ai trouvé l'histoire rythmée, les péripéties s'enchaînant avec fluidité et constance.

Suivez l'enquête de Qaanaaq, le chef de la police de Nuuk, et vivez une plongée glaciaire en plein coeur du Groenland. Dépaysements garantis, mais intrigue peu crédible...
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Après avoir lu récemment "Boréal", de Delzongle, j'ai apprécié d'approfondir ma connaissance du Groenland, de ses coutumes et moeurs:
- sépultures sans croix, ou inscription
- nombreux suicides de jeunes
- Les couleurs des maisons qui correspondent à un métier
- le syllabaire de Peck
- les tatouages inuits cousus
- Les barbes de morse pour les filles
- Les cérémonie des chamanes
- le thème du cannibalisme, déjà présent chez Delzongle, est repris ici...

Des points de l'histoire sont particulièrement atroces, mais ils ne sont pas gratuits; ils sont induits de la culture, et des croyances de ce pays particulièrement rude.

A noter que se trouve à la fin une liste des personnages, que je n'ai pas trouvé utile...

Malgré quelques passages invraisemblables, j'ai pris énormément de plaisir à la lecture de ce livre. A vous de voir...
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Nuuk, décembre 2019. Après les épisodes des derniers mois, le chef de Qaanaaq, la Fourmi, l'oblige à faire la tournée des commissariats du Groenland, en sa qualité de chef de la police de la capitale, ainsi qu'à suivre une thérapie quotidienne, même en visio, avec une psychologue exécrable. Très vite, il se retrouve à enquêter sur une série de suicides de jeunes filles et en parallèle il reçoit d'étranges colis portant la marque de traditions inuites rituelles...

Comme à l accoutumée, Mo Malo nous offre un très bon 3e opus des enquêtes de Qaanaaq Adriensen, plus centré sur sa famille et son passé, mais se heurtant aux besoins de l'enquête (au grand dam de Massaq...). Moins spectaculaire que Disko, que j'avais absolument adoré, on pourrait croire que l'enquête est tout ce qu'il y a de plus banal, et pourtant ce nouvel aspect de la saga, aborde un volet social très important dans le pays : le suicide des jeunes, parmi les plus forts taux d'Europe. Parfois corollaire du manque de perspectives, d'un abus ou d'un abandon, c'est une autre facette peu connue du pays qu'aborde l'auteur. de plus, on continue à en apprendre davantage sur les traditions inuites et c'est passionnant. Vivement le prochain tome!
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Ce polar venu du grand froid m'a séduit. Les Inuits, comme les Indiens d'Amérique sont de vrais nés natifs, porteurs de coutumes et de croyances ancestrales. Ils préservent leur liens avec la nature, parlent peu et disent une longue sagesse.
J'ai aimé la remontée progressive d'un grand policier à la surface de son métier : enquêter pour se sentir vivant. Je sentais les vents froids courir sur mon échine, de ces vents qui vous glacent et vous imposent de marcher posément sur le chemin complexe d'une vie, croisée par la souffrance humaine, énigmes ambulantes, silhouettes vacillantes dans le grand Nord. Une belle découverte. Pourtant, je ne ferai le voyage qu'une fois, tel un sanctuaire honoré et laissé en paix. Ce qui est beau et bien écrit peut aussi n'être foulé qu'une fois. Et c'est très glauque, même si on s'habitue à des développements tarabiscotés.
Lien : http://cinemoitheque.eklablo..
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Troisième volet des aventures de Qaanaaq Adriensen , patron de la Police groenlandaise , que l'on retrouve ici en mauvaise posture : il est en effet sommé de suivre une tournée préétablie par son patron basé à Copenhague , Arne Jacobsen , surnommé “La Fourmi'” , qui l'oblige à se rendre dans neuf villages du pays comme à un suivi psychologique rigoureux et récurrent auprès d'une psychiatre sous peine de ne pas retrouver son poste ni sa fonction d'enquêteur .
Mais les événements qui vont lui tomber dessus sans crier gare ne vont pas lui laisser d'autres choix que de suivre son instinct de flic en contournant à sa manière ces contraintes . Deux affaires qui vont se télescoper : le suicide empreint de zones d'ombres d'une jeune fille à Uummannaq , au Nord Ouest de la capitale , Nuuk , puis la réception d'un colis rempli d'un main tranchée nette .Des faits qui vont malheureusement se reproduire tout au long de son périple , comme un hasard malheureux . Des ados en difficulté , pour la plupart sans attaches familiales et vivant dans le dénuement , sont accueillis dans des foyers spécialisés où l'on tente de leur redonner goût à la vie à travers des activités ludiques , des chants , la vie en communauté . Qaanaaq a du mal à comprendre la motivation de ces jeunes poussés à ces ultimes extrémités . Si jeunes .
Après bien des péripéties , des témoignages multiples et l'aide appréciable de son adjoint Apputiku , la seule piste solide qu'il semble tenir , est la venue d'un conteur nomade ayant fréquenté ces “klubi” , et partagé avec un auditoire féminin conquis par son charme , les secrets des légendes et des coutumes séculaires qui font le charme de ce pays . Une piste encore mince alors que les drames continuent et que des colis ensanglantés continuent d'arriver .

Comme toujours totalement dépaysant , Mo Malo nous offre ce récit vivifiant où l'on pénètre encore plus avant dans une société groenlandaise qui perd ses repères et ses traditions .
Les jeunes s'intéressent plus , comme partout ailleurs , aux péripéties qui égrènent leurs réseaux sociaux sur leur téléphone portable , qu'à l'apprentissage de la pêche au phoque ou de la conception du “café des bruants” . Pendant ce temps-là les adultes s'alcoolisent rivés devant un écran de télé , même si certains d'entre eux , qui semblent peu nombreux , perpétuent la culture inuite , la langue , les croyances et des recettes pas toujours ragoûtantes pour nos palais occidentaux ..Une population qui a dû mal à se projeter dans l'avenir et dont les enfants se suicident en nombre , quitte à atteindre pour certaines villes , des niveaux records . Comment ne pas rêver d'autre chose que cette immensité immaculée au climat hostile alors que les heures de lumière se réduisent peu à peu pour laisser place à une nuit d'hiver infinie ?
L'auteur mêle avec habileté , une enquête policière palpitante avec une étude de moeurs autochtone , avec en bonus une belle galerie de personnages qui ne manquent pas de saveur et de piquant . Qaanaaq , comme toujours en première ligne , avec ses défauts , ses démons , mais une ténacité hors pair, une sacrée équipe autour de lui et sa vie de plus en osmose avec ses racines .
Du rythme , des rebondissements dans cet univers glacé et parfois glaçant .
Retour gagnant pour cette nouvelle aventure de Qaanaaq.
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