Bird box

J'ai tellement vu de critique élogieuse pour ce livre et je suis vraiment déçu d'être passé mais totalement à côté, j'ai trouvé le récit terriblement long et ennuyeux.

On suit ici Malorie et ses enfants qui se nomme Fille et Garçon dans leur fuite de leur maison. le récit oscille entre deux périodes la fuite et la période ou Malorie est enceinte, c'est à cette période que des choses étranges commencent à se passer.

Des morts violentes associé au suicide des meurtriers, les gens se calfeutrent donc et se barricadent car il se pourrait que c'est suite à des choses vus que ces meurtres sont commis.

Lors de la fuite de Malorie cela fait quatre ans que celle-ci n'a pas vu la lumière du jour.

La fuite en barque est interminable et je me suis vraiment demandé si quelque chose aller venir, même la fin n'en ai pas une car aucune réponse n'est apporté.

Si toutefois vous avez aimé un film comme le Village je pense que ce livre peut vous combler, car c'est vraiment un livre d'atmosphère.

Ben oui c est un abandon..comme un petit échec mais j ai appris à arrêter un livre..(un long apprentissage..)
Pourquoi?
Même si l histoire (l idée de départ) est très alléchante, je trouve Malheureusement que c est mal écrit ou trop écrit ou pas écrit..
J ai poussé pourtant, mais ça bloque..le "style" me paraît froid, raide, comme une énumération de faits..pas de liant, des phrases comme un rapport mal rédigé..
Les personnages peuvent être attachants, le suspense présent, il n en reste pas moins que cet écrivain ne me convient vraiment pas..face a autant de critiques dithyrambiques, je passe pour le grincheux de service, mais cet mon humble avis..

Malorie et Shannon sa soeur, vivent ensemble. Mais déjà dehors le monde a commencé à changer... des faits inexplicables se produisent ! Les êtres humains voient quelque chose ou quelqu'un, et se suicident ? Les manifestations sont au début éloignées les unes des autres, tant par la distance que par la fréquence. Et soudain les premiers cas aux Etats-Unis apparaissent.

Il est déjà trop tard, il faut se calfeutrer chez soi, occulter toute lumière extérieure, condamner portes et fenêtres avec des couvertures, des couettes, des planches de bois et surtout ne plus jamais ouvrir les yeux à l'extérieur.

Quatre ans ont passé, les conditions ont empiré bien sûr, plus d'internet, plus de télévision, plus de radio, seules l'électricité et les bonnes vieilles liaisons téléphoniques fonctionnent, mais pour combien de temps encore ?

Ce matin Malorie quitte la maison pour descendre la rivière en bateau, les yeux bandés, avec seule l'ouïe pour tout repère pour tenter de rejoindre une autre communauté !

Cette idée de scénario est très originale, susciter la peur sans jamais décrire ce qui fait peur.

Le rythme d'écriture basé sur des phrases très courtes accélère la tension et fait vraiment monter la pression. On aimerait bien savoir ce qu'il se passe dehors malheureusement personne n'est jamais venu pour raconter. Mais en même temps on n'est pas trop pressé d'affronter cette horreur.

Puis petit à petit, on commence à trouver le temps un peu long, bon ok il y a peut-être réellement un truc dehors... ou pas ! Malorie raconte sa vie dans la maison qu'elle a quittée et on suit son périple sur la rivière sur laquelle elle entend des bruits, des choses ou des bêtes la frôlent.

Puis on se surprend à penser que cette histoire est un peu tirée par les cheveux, que les agissements de Malorie ne sont pas cohérents voire impossibles et on commence à perdre un peu de l'intérêt.

Mais malgré tout, on continue de vouloir savoir ce qui peut bien se passer dehors, on échafaude différentes hypothèses, mais la magie du début a déjà fini d'opérer, on veux juste finir pour savoir. Et c'est très décevant de juste vouloir terminer un roman, non pas parce qu'il vous tient en haleine, mais par pure curiosité.

Une première moitié de lecture très prometteuse, mais le soufflé n'aura pas tenu jusqu'à la fin.

Lien : http://www.onirik.net/Bird-b..

C'est aujourd'hui. C'est le grand jour. Depuis qu'ils sont nés (il y a quatre ans), Mallorie et ses enfants n'ont jamais quitté la maison. Aujourd'hui ils vont rejoindre, par la rivière, une colonie de rescapés. Si l'un d'entre eux ouvre les yeux, il mourra. le voyage sera long et difficile.

Difficile de ne pas faire l'amalgame entre Bird Box et La Route de Cormac McCarthy. Un évènement inconnu qui dévaste l'humanité, une "quête" à accomplir, des personnages qu'on désigne mais qu'on ne nomme pas, etc.
Le livre de Josh Malerman n'est pas inintéressant. le concept est plutôt prometteur : si on ouvre les yeux sur l'extérieur, quelque chose/quelqu'un nous rend fous. Les survivants décident de se calfeutrer chez eux et de porter des protections ophtalmiques (bandeaux, lunettes, etc) dès qu'elles sortent.
Alternant flash-back et présent, le lecteur suivra Mallorie. D'un côté, jeune femme enceinte, de l'autre, maman rigoriste. Elle cherchera un refuge pour sa progéniture. le récit au présent décrit les difficultés de la famille à se diriger dans une barque, avec les yeux fermés. Ils s'orientent à l'odorat et à l'ouïe. Si elle est un peu longue, cette partie ne manque pas d'intérêt : Où aller, quels sont les obstacles, comment se diriger, etc. La partie racontant l'origine commençait bien : un mal inconnu, l'humanité est obligée de se refermer sur elle-même, l'héroïne trouve un groupe de survivants, etc. Nous sommes bien dans un récit post-apocalyptique, avec ses règles : survie de la société, l'exploration du territoire… Malheureusement, en voulant agrandir le groupe, le rythme de narration ralentit mais l'action se divise, voire se dilue en plusieurs problématiques. On sent que l'auteur a voulu donner une personnalité à chaque personnage, mais en fait, il ne s'attardera que sur la moitié d'entre eux. La psychologie affichée n'est pas des plus fines.
L'élément de peur est présent et bien exploité. On ne sait pas ce qui a dévasté l'humanité, on ne sait pas comment le mal opère. La seule chose à savoir, c'est qu'il ne faut pas regarder à l'extérieur. Seule entorse à ce "règlement", les chiens. D'un côté, ils semblent immunisés, de l'autre non…

Le concept de Bird Box est sympathique, mais l'ensemble est trop long et trop maladroit pour qu'on puisse réellement s'y intéresser. Une gestion plus rigoureuse des personnages aurait été meilleure. L'univers, calqué sur La Route, aurait pu être évité. On espère que le second roman de Josh Malerman sera meilleur.
Lien : http://tempsdelivresdotcom.w..

Un amateur de romans post-apocalyptiques tel que moi ne pouvait pas passer à côté de ce livre extrêmement plébiscité par de nombreux lecteurs de Babelio mais aussi par des lecteurs de pays très divers sur Youtube.

Un pitch de départ assez intrigant et excitant mais qui - malgré la brièveté du livre - s'essouffle après une petite centaine de pages, l'auteur n'ayant par ailleurs pas de talent littéraire particulier qui serait susceptible de venir au secours de cette histoire qui finit par patiner.
Une longue séquence de double accouchement dans des circonstances dantesques se voudrait - je pense - l'apogée de cette intrigue, mais je l'ai trouvée pour ma part confuse et surfaite.
Le dénouement m'a fortement laissé l'impression de recopier honteusement le final déjà bien calamiteux du film "Je suis une légende" avec Will Smith... D'où grosse déception générale en ce qui me concerne, alors que l'histoire a pour elle un point de départ très original (même si déjà exploité par José Saramago dans son roman "L'aveuglement").

Notons toutefois un certain courage dans le fait qu'aucune explication satisfaisante ne soit apportée au lecteur une fois le livre terminé, sur l'origine et le pourquoi du "Problème".

Ce roman a pour lui l'extrême simplicité d'une écriture fluide et accrocheuse comme le sont grand nombre d'oeuvres commerciales, mais ne restera pour ma part pas gravé dans ma mémoire.

L'idée de départ est excellente mais elle s'arrête là. Beaucoup de répétitions et de longueurs pour une fin passable. Et, n'est pas Stephen King qui veut, je n'ai quasiment pas ressenti d'émotions pendant « ce roman post apocalyptique à la tension insoutenable ». Dommage pour moi.

Suivre Malorie et ses deux enfants de 4ans au fil de ces nombreuses pages et des kilomètres parcourus dans ce monde apocalyptique où un mal inconnu sévit a été une toute une aventure. D'abord très intriguée par ce livre et par son intrigue, j'ai été très déçue par ma lecture. On m'avait promis un bon thriller, une histoire palpitante. Je n'ai trouvé cela que sur les 60 dernières pages. le reste n'a été que longueur, flash-backs surreprésentés, présent absent.
L'idée, cependant, est bonne, mais elle aurait gagné à être écrite de façon plus concise, plus efficace, pour en faire un roman plus palpitant et moins lourd qu'on peine à terminer.

une jeune femme yeux bandés avec ses deux enfants à fuir quelque chose.
alors , comment dire que je n'ai pas du tout aimé , on ne sait pas ce qu'il fuit de quoi ils ont peur... pour moi je pense que c'est un livre bâcler un bout par ci par là et hop on en fait un livre (après ceci n'est que mon avis) après , l'écriture et la plume de l'auteur est bien écrit c'est dommage que je n'ai pas été prise dedans , mais malheureusement ce ne l'a pas fait avec moi , comme le film que j'ai pas aimé non plus

L'idée de départ est géniale mais elle est desservie par des personnages trop plats. Ajoutez à cela un point essentiel du "grand final" qui s'avère ultra artificiel, un style et une traduction franchement faibles (les répétitions, bon sang !) et on a là une belle déception. Un des rares romans pour lesquels je peux dire : j'ai préféré le film.

C'est, malgré une idée originelle excellente, très mauvais.
Le style est assez simple, voir parfois pauvre, avec des problèmes de redites : l'auteur peine à dramatiser certaines actions et manipule ses personnages chichement pour les amener à faire ressentir qu'ils vivent des situations effrayantes. Plus grave, il y a de vrais problèmes de relecture avec des données contradictoires ; certaines pistes intéressantes sont esquissées mais l'auteur n'y répond jamais vraiment. Cela ne constitue pas un problème en soi, mais ici, plus qu'un choix de style, cela est ressenti comme un manque de réflexion globale sur les enjeux du livre.
Enfin le livre souffre réellement de la pauvreté psychologique des interactions entre les personnages, avec un énorme déséquilibre : les personnages masculins sont actifs, (que ce soit en bien ou en mal), les personnages féminins sont présentés comme des fardeaux, amenant des problèmes qu'il faudra résoudre. L'auteur ne semble pas très bien connaître la psyché et l'anatomie féminine, et a tendance à abuser de la grossesse comme source de péripéties (stéréotype en post-apocalyptique). Bref une grosse déception pour moi.