Personne ne doit voir un empereur pleurer.
Les artisans, blanchisseurs ou autres, devaient payer une redevance pour obtenir une adduction personnelle. Quant aux particuliers, ils devaient demander à l’empereur une concession gratuite, qu’il accordait ou pas, de manière arbitraire, pour récompenser un « bon citoyen » ou, au contraire, punir quelqu’un qui lui avait déplu. L’eau était devenue un instrument de domination impériale parmi d’autres
(dossier historique)
En plus, Livie essaie toujours de convaincre Auguste de marier leurs enfants. Elle ferait mieux de se tenir tranquille quelque temps.
Baah… Tu sais comment est l’empereur avec elle… Plus elle complote, plus elle l’excite. Ça lui rappelle leur jeunesse.
(Page 21)
Nous n’irons pas bien loin avec ces rapports des vigiles : ils racontent tous la même fable. Des fantômes attaquent des soldats impériaux ou des vétérans… Et on retrouve leurs corps dans le Tibre !
(page 15)
Venez, personne ne doit voir un empereur pleurer.
Toi tu es prêt à déclencher une guerre contre Jérusalem pour Salomé...
Moi, j'aurai dû tuer Auguste pour Lidia.
(P.26)
- Syllaios : Tu… Tu m’as sauvé, Titus ! Une vie pour une vie… Je ne te parlerai plus de la mort d’Alexandre… Mais je te préviens : ne reviens jamais à Pétra, ne reviens même jamais en Orient…
- Dis-toi que le grand Agrippa a navigué sur ce canal pestilentiel quand il le faisait réviser, Syllaios !
- Et si le gendre d’Auguste supportait cette odeur à vomir, je dois y arriver aussi, c’est ça ?
[Auguste] Il est hors de question que j’entre en guerre contre Jérusalem pour faire plaisir à ce Nabatéen. J’ai bien assez des opérations contre les Dalmates.
- Centurion, tu ne nous avais pas dit que nous allions attaquer des monstres infernaux ! Nous ne sommes pas payés pour ça !