Citations sur Le Trône de Fer - Intégrale, tome 3 : A Storm of Swords (147)
Un preux, oui, et charmant, et d'une propreté parfaite. Il savait s'habiller, il savait sourire et savait prendre un bain. Et; du coup, il s'est figuré que cela le prédestinait à la royauté. Les Baratheon ont toujours eu de ces lubies curieuses, en fait.
C'est dans les cervelles futées que se mijotent les manigances de l'ambition.
"Grâce ! pleurnicha-t-il, pitié ! Me tuez pas ! Par la Mère de miséricorde !
- J'ai l'air d'être ta putain de mère ?"
"Les derniers des imbéciles sont souvent plus intelligents que ceux qui se rient d'eux."
Tout le monde veut quelque chose, Elayne. Et il vous suffit de savoir ce que quelqu'un veut pour savoir qui il est et comment le pousser.
Nous finissons tous par n'être que des chansons. Les chanceux, du moins.
Qyburn vint se porter à sa hauteur. "Est-ce votre main qui vous tourmente ?
- C'est son absence qui me tourmente."
Demander de l'aide ne t'en procure jamais l'ombre.
J'ai laissé ma femme à Vivesaigues. Je veux une autre résidence pour ma mère. A resserrer tous ses trésors dans une seule bourse, on ne fait que faciliter la tâche des voleurs.
"Nous autres, du peuple libre, nous savons des choses que vous autres, agenouillés, vous avez oubliées. Parfois, le chemin le plus court n'est pas le plus sûr, Jon Snow. Le seigneur des Cornes a dit un jour de la sorcellerie qu'elle était une épée dépourvue de poignée. Il n'existe pas de moyen de la saisir sans risque."