Entre mes mains le bonheur se faufile

Entre mes mains le bonheur se faufile est le deuxième roman de Agnès Martin-Lugand.
Et comme le premier, il se lit très facilement et très rapidement.
Les pages s'avalent à une vitesse grand V et les 11 chapitres remplissant plus de 330 pages sont dévorés en moins de 4h.

Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce roman mais je ne peux pas non plus dire que j'ai été enthousiaste.
Il est simple à lire (il ferait parfaitement l'affaire pour un roman d'été) mais il est aussi dramatiquement prévisible. Tout est cousu de fil blanc... et on a de la peine pour Iris si naïve et aveuglée...

Et que de clichés... ça en devient assez rapidement lassant voire carrément énervant en début de roman quand Iris n'a que si peu confiance en elle (de nombreuses répétitions qui finissent par lasser).

Les points positifs, c'est que contrairement au premier, il n'y pas d'ode à la cigarette et "juste" quelques passages alcool, sexe... C'est donc plus agréable à lire.
Et les rebondissements finaux font qu'on retrouve un peu de gaiété à terminer le livre. La pour le coup, on apprécie la nouvelle Iris, combattante et sûre d'elle!

Le style est quelconque. Ni antipathique, ni enthousiasmant. Rien à reprocher mais rien non plus à faire ressortir. C'est un page turner plus que de la littérature à proprement parler.
L'écriture est très dialogué, ce qui fait qu'on avance vite.

C'est une histoire somme toute relativement banale que nous conte Agnès Martin Lugand au travers d'un sujet peu commun: les métiers de couturière et de styliste.
Je n'en garderai surement pas grand chose... mais je ne regrette pas de l'avoir lu.
Cela m'a permis de passer un moment de détente et de divertissement sans trop réfléchir.

3/5

Entre deux cahiers de révisions, je cherchais vainement une petite lecture détente, me permettant d'oublier un instant le stress accumulé durant de longues heures. Ayant déjà eu l'opportunité de découvrir Agnès Martin-Lugand l'année passée, dans son premier roman Les gens heureux lisent et boivent du café, médiatisé et en partie publié grâce à l'appui d'internet, j'avais aimé la fraîcheur de la prose, les ballades intimes et les singuliers personnages, attachants, simples mais émouvants.

C'est sans appréhension que je me suis jetée à corps perdue dans la nouvelle histoire de l'auteure. Comme son précédent roman, je ne me suis pas éternisée dans la lecture, tant l'histoire semble glisser, fluide et légère, comme un "timbre à la poste". En quelques soirées, quelques heures de lecture, le livre est vite terminé. Les pages défilent, intéressantes, comme additives ; il est dur de se séparer d'un chapitre, tant l'envie de découvrir le suivant est fort.

L'auteure raconte ici une histoire touchante, particulièrement originale, centrée autour d'une jeune femme, désireuse de réaliser son rêve. Avec une vie bien rangée, un homme, un achat immobilier, tout semble réussir pour Iris. Seulement, son envie le plus cher est de faire de sa passion son métier, le centre de son existence, sa raison de vivre. Une passion spéciale, dont elle a acquit les principales bases depuis son plus jeune âge : la couture. Bien plus qu'un hobby, les aiguilles, le fil et les modèles rythment l'existence de notre héroïne, au point de devenir essentiels à son bien-être.

Contre l'avis de son mari, qui depuis quelques temps commence à la délaisser intimement, elle s'inscrit dans une école de couture basée sur Paris. Très vite acceptée, au vu de ses travaux exceptionnels, sa vie va dès lors prendre un tournant décisif, nouveau, revigorant et indéniable. Peut-on dire que l'on travaille lorsque l'on exerce sa passion à longueur de journée ? C'est pourtant du travail que doit fournir Iris pour prouver à Martha, la vieille femme responsable de l'école d'apprentissage, qu'elle détient véritablement sa place dans les rangs.

Une nouvelle page de la vie de notre protagoniste s'ouvre alors, emplie de soleil, de bonheur, d'amours et de passion. Une renaissance, voire une naissance en bonne et due forme, où nous découvrons Iris sous un jour nouveau, épanouie et heureuse, totalement en harmonie avec elle-même, contrastée avec la Iris du début. Néanmoins des ombres noires vont venir ternir le si beau tableau, ce qui ajoutera du piquant à l'intrigue première, du dynamisme à l'histoire et du mystère teinté d'angoisse. Iris va devoir faire de terribles choix, qui auront un impact immédiat sur sa vie, qui détermineront son avenir et figeront à jamais son existence.

Agnès Martin-Lugand reste fidèle à son style initial et continue dans sa belle lancée, sa traversée vers le succès. Les jeunes protagonistes qu'elle met en scène - jusque là principalement des femmes -, peuvent être des sources d'inspirations et d'identifications, de modèles pour les lectrices assidues. La facile adaptation de l'auteure à ses lecteurs créée un lien tacite et intime qui plonge ces derniers à corps perdus dans l'histoire, comme si leurs vies en dépendaient, aspirés par l'échéance des pages et le déroulement des péripéties.

Une belle découverte, que je conseillerais de lire en plein été, bien assis sur un transat ou dans le sable, au bord de la mer, en profitant du soleil. Ce genre de livre est particulièrement plaisant et agréable, sans prise de tête et authentique, simple et réaliste. J'ai beaucoup aimé l'originalité de l'intrigue, sa profondeur et le dénouement final, qui ressemblait goutte pour goutte à une fin digne des meilleurs contes de fées.

Lien : http://addictbooks.skyrock.c..

que puis-je ajouter de plus après tous ces avis ? Peut-être que la lecture se faufile entre les heures avec bonheur. Une lecture plaisante, reposante et pleine de sourires même si il y a des ombres qui planent. Peu importe, le bonheur finit par vaincre. Une belle leçon de vie. Ne jamais renoncer à nos rêves et garder l'espoir de décrocher l'étoile qui brille tout à l'haut, elle n'est pas inaccessible si on s'en donne les moyens on parvient un jour à l'atteindre.
Un belle lecture sans prétention certes mais pleine de charme.

En choisissant cette lecture, je cherchais un livre léger pour l'été.
Lorsque je le decouvris, j'ai d'abord pensé être tombée dans une bluette tellement la trame était simpliste.
Dès le début, on devinait que l'héroïne allait réussir dans le métier qu'elle venait de choisir et qu'un nouvel amour allait combler sa vie.
L'écriture est fluide, très agréable à lire,
En conséquence, il ne me fallut que quelques heures pour le terminer.
Or, après quelques jours de réflexion, je suis revenue sur ma première impression en constatant que j'étais passée à côté de l'étude de caractères des personnages qui veulent à tout prix dominer les autres jusqu'à en faire des clones.

Je n'ai fait qu'une bouchée de ce roman, mais je reste un peu sur ma faim. L'histoire est attrayante, l'intrigue donne envie de finir le livre rapidement, mais même si l'histoire évoque des sujets lourds comme l'emprise ou le rejet j'ai trouvé que l'auteure ne rentrait pas en profondeur dans la psychologie des personnages. Il s'en ressort un sentiment de trop peu, voir peut être de trop vite écrit ?

Iris décide de chambouler sa petite vie : son couple, son emploi ne semble plus lui convenir. Passionnée de couture, elle décide de poursuivre une formation dans un grand immeuble parisien. Iris, la provinciale devra s'adapter dans ce monde de luxe et d'apparence. le personnage de Marthe, non loin de la prendre sous son aile, exercera sur elle une véritable emprise. Quel avenir se dessinera pour elle ?

Ce roman d'Agnes Martin-Lugrand un peu banal mais il se lit facilement. Elle arrive à nous entraîner dans son histoire, à suivre Iris, cette femme influençable limite ignorante. Un roman qu'on lit sans se poser de question ou se torturer les méninges.

Je vais vous faire une confidence, je n'avais jamais tenté de me plonger dans les romans de l'auteure car j'étais persuadée de m'y ennuyer, je pensais qu'Agnés Martin-Lugand écrivait des romans à l'eau de rose. Enorme erreur de ma part, car je dois à présent vous confier que j'ai passé un merveilleux et intense moment de lecture durant les quelques heures passées avec Iris et Gabriel.
J'ai trouvé qu'Iris ressemblait à tant de femmes effacées dans leur couple, leur famille, à tant de femmes qui font un travail qu'elles n'aiment pas ou qui ne les épanouit pas, je l'ai trouvé triste, éteinte et malheureuse. Cette famille justement, celle sur laquelle on compte et dont on espère le soutien inconditionnel, ne prend pas au sérieux Iris.


Lien : https://livresque78.com/2021..

Une jeune femme de trente ans décide de sortir de sa vie routinière pour réaliser son rêve : devenir couturière et créatrice de mode.
Tout quitter pour sa vie....sa passion...... et enfin rencontrer le vrai amour malgré un obstacle de taille....une mère toute puissante....

Yes, le premier.
Ma fille est fan de cette auteure que j'étais certaine de vouloir découvrir un jour. C'est fait !
Alors, je ne sais pas vous mais quand on sait que l'écriture va vous plaire, il n'y a que le thème évoqué qui peut vous séduire ou pas.
Vous avez compris que c'était le cas et je me suis retrouvée à travers Iris tout au long de cette histoire bien que professionnellement nous sommes éloignées.
Iris, frustrée dans son couple, sa vie sociale et sa vie tout court apprend malencontreusement que ses parents ont dirigé sa vie professionnelle à son insu. Elle évolue dans un milieu qu'elle déteste avec un mari qui ne la remarque pas plus qu'un meuble voire moins et qui ne trouve pas sa place dans son milieu social.
Heureusement la révolte gronde et elle va oser. Mais oui et ça n'est pas qu'une petite transformation dans laquelle elle va se lancer même si son honnêteté va la faire fléchir un moment.
N'hésitez pas avec celui-là, un vrai girly.

Au départ j'étais un peu sceptique, Iris, la petite trentaine agit comme une quinqua' blasée de la vie. Puis sortir du jouc de son mari pour se laisser manipuler par une cocotte de la mode... Mais très vite la simplicité et l'efficacité du style m'ont accrochée, à chaque page le texte m'a transportée au plus près de cette folle aventure.
Le dénouement est surprenant et apporte à l'histoire son originalité.
Belle lecture.