Premièrement, l'auteur,
Daniel Mativat, a bien fait de parler de du problème de l'esclavagisme et du génocide des Amérindiens au temps des grandes explorations. En résumé, au début du livre, le village du personnage principal, Kodibio, se fait détruire et brûler par les colons espagnols. Kodibio, par contre, se fait sauver par un saint,
Bartolomé de Las Casas. Il vit comme un Espagnol depuis, mais son parcours n'est pas autant clément, les conquistadors qui ne veulent pas d'un Indien avec eux, le frère de sa bien-aimée qui ne veut pas de lui dans sa famille et la souffrance de son peuple sous ses yeux. Parlons un peu de ce charmant Kodibio.
Deuxièmement, Kodibio a toujours été aimable avec les gens, même ceux qui l'insultaient, car il était indien, il toujours su voir le bon côté des choses. Il a été gentil même avec ceux qu'ils ne connaissaient pas. Lorsqu'il dit «Sauve-toi dès que tu en auras la chance. L'Indien hocha la tête.» à un petit Indien qu'il ne connaissait aucunement. Lorsqu'on lit le livre c'est sûr que tout le monde va apprécier Kodibio.
En conclusion, je n'ai pas vraiment aimé le roman, mais je vous le conseille quand même, car il est très instructif.