Par le fer et par le feu

Critique Littéraire « Par le fer et par le feu »

Tout d'abord, on parle des conquêtes d'Espagne sur les territoires d'Amérique. On parle plus précisément d'un certain prince autochtone : Kodibio. Au XVIème siècle, il se fait donner au peu commun homme de foi Bartholomé de Las Casas après la triste mort de sa mère, tuée par les conquistadors sanguinaires. L'humeur du roman est comme la vie des Amérindiens à cette époque : triste et sombre.

Ensuite, le personnage principale est peu profond, beaucoup dans la caricature. C'est l'Indien gentil et naïf qui devient un homme courageux et libre.Vu et revu des centaines de fois, il mériterait d'être approfondi par l'auteur. En résumé , Kodibio est une caricature d'un Indien, au temps des colonisations espagnole, un être remplie de candeur.

Survivre dans un monde inconnu

Commençons tout d'abord par un court résumé de ce livre. Kodibio était fils de la reine, mais maintenant il est esclave. Son pays se fait détruire et bruler par les Espagnols. Nous sommes au 16e siècle situé dans les environs de Cuba et la vie de Kodibio reste incertaine. Comment pensez-vous qu'il va s'adapter à ce changement? À travers cette histoire pleine d'aventure, vous allez découvrir des personnages intéressants comme par exemple Bartolomé, qui va prend soin de Kodibio.

De plus, Kodibio est très attachant, car il est gentil et a un bon coeur. Kodibio vit beaucoup de malheurs, mais il réussit à survivre au pire. «L'épidémie avait presque achevé son oeuvre de mort lorsque Kodibio fut infecté.»(p.50). Donc pour conclure, c'est une histoire très intéressante avec un personnage principal à qui l'on peut s'attacher.

Tout d'abord l'auteur Daniel Mativat a écrit ce livre émouvant et triste «Par le fer et par le feu» et en voici un petit résumé. À travers ce récit historique du 16e siècle en Espagne et un petit garçon appelé Kodibio, sa mère et toute sa ville ont été capturées par des Espagnols. Les cruels Espagnols on fait les Indiens des esclaves. Mais par chance un prêtre gentil et avec grand coeur, Bartolomé, a sauvé la vie de Kodibio et il lui a adopté comme fils. Pendant toute l'histoire, on parle de Kodibio qui veut retrouver sa terre natale et sa vie amoureuse avec une fille qui s'appelle Manuela, mais il ne va pas réussir à l'épouser. Est-ce que Kodibio va réussir à sauver son peuple? Durant cette histoire, Kodibio va rencontrer beaucoup de gens et il va voyager partout, dans des aventures inoubliables.
Enfin, Kodibio n'était pas vraiment attachant et l'histoire n'est pas vraiment intéressante, mais l'histoire a quand même beaucoup de faits de l'historique, aussi Kodibio ne faisait pas assez d'actions dans le livre. En conclusion, l'auteur a écrit ce livre n'est recommandé pas si vous aimer l'action, si vous voulez savoir plus sur les faits historiques, ça serait un bon livre.

Critiques de Babelio

Tout d'abord, voici un court résumé du livre pas mal long à lire. Les Espagnols ont envahi le village d'un Indien nommé Kodibio. Ils ont pendu sa mère. Un Père Espagnol qui s'appelait Bartolomé a pris le jeune indien, Kodibio et l'élève comme si c'était son fils. Pour le reste du livre, Père Bartolomé et Kodibio essayent d'arrêter la maltraitance envers les Indiens. Vers la fin, Kodibio se jette à la forêt qui, abîme l'histoire. Passons au personnage du livre. Passons aux personnages.
Finalement, les personnages qui laissent totalement indifférents sont le Père Bartolomé qui essaye de sauver les Indiens mais ne réussit jamais et en plus, à la fin du livre, on nous dit que la population des gens qu'ils voulaient sauver sont tous morts. Alors, en vérité, l'auteur n'a pas su stimuler la curiosité du lecteur et celui-ci est définitivement resté sur son appétit.

Critiques de Babelio

Tout d'abord, voici un court résumé du livre pas mal long à lire. Les Espagnols ont envahi le village d'un Indien nommé Kodibio. Ils ont pendu sa mère. Un Père Espagnol qui s'appelait Bartolomé a pris le jeune indien, Kodibio et l'élève comme si c'était son fils. Pour le reste du livre, Père Bartolomé et Kodibio essayent d'arrêter la maltraitance envers les Indiens. Vers la fin, Kodibio se jette à la forêt qui, abîme l'histoire. Passons au personnage du livre. Passons aux personnages.
Finalement, les personnages qui laissent totalement indifférents sont le Père Bartolomé qui essaye de sauver les Indiens mais ne réussit jamais et en plus, à la fin du livre, on nous dit que la population des gens qu'ils voulaient sauver sont tous morts. Alors, en vérité, l'auteur n'a pas su stimuler la curiosité du lecteur et celui-ci est définitivement resté sur son appétit.

Critique du roman sur Babelio.com

Consignes :
Le texte doit être à la troisième personne du singulier (neutre)
Les lecteurs de la critique doivent sentir si vous avez aimé ou non le roman.
Deux paragraphes de 50 mots chacun :
1er paragraphe
Premièrement/En premier lieu/Tout d'abord + court résumé du roman dans vos propres mots en une ou deux phrases (information personnalisée) + varier vos types de phrases (Ex. : Commençons par résumer cette histoire touchante.) + phrase de transition [phrase qui fait le lien entre le premier paragraphe (résumé) et le deuxième paragraphe (personnages)] (Ex. : L'auteure, Suzanne Martel, nous présente.
Premièrement, les Espagnols colonisent les Antilles et tuent tous les indiens sauf quelques-uns comme Kodibio, un jeune Tainos qui fut sauvé par Bartolomé de Las Casas. Il survécut pendant toute la colonisation espagnole même s'il fut un indien, il a travaillé dans une mine et ensuite est allé à Cuba.


2e paragraphe
Deuxièmement/En dernier lieu/Enfin + personnages [attachants ou non ? Prenez un personnage important (personnage principal ou les personnages importants)] + une citation pour appuyer ce que vous dites + phrase de conclusion
Deuxièmement, il a assisté à plusieurs morts d'Indiens et il a assisté à la mort de Panfilo de Narvaez. Finalement, il est retourné en forêt et est retourné à ses origines. L'histoire se termine quand il rentre en forêt avec comme seul objet une amulette. (Et cette odeur de chair brulée qui vous prend à la gorge) p.122

Je critiquerai le roman «Par le fer et par le feu» écrit par l'auteur Daniel Mativat. Premièrement, un résumé: Kodibio, sa mère Anacaona et toute sa ville a été capturé par des Espagnols. Ces monstrueux et cruels les ont transformés en esclaves. Heureusement, le prêtre Bartolomé a sauvé la vie de Kodibio et l'a adopté. Toute au long de l'histoire, Kodibio cherche des moyens pour retrouver son village et sa famille mais ne les à pas trouvé.

Malheureusement, je n'accorde pas autant d'émotion à ce livre car les personnages n'étaient pas intéressants . Finalement, je n'aurais aucune recommandation.

Premièrement, le livre est plutôt intéressant. C'était un peu ennuyant au début, mais à partir du milieu du roman, c'était de plus en plus intéressant. La dernière phrase du roman était un peu intrigante. Lorsque Kodibio rentre dans la forêt, ça met du suspense et ça nous donner envie de savoir la suite. L'auteur Daniel Mativat nous montre comment les Espagnols étaient sans pitié à cette époque.

Deuxièmement, l'auteur nous démontre que certaine personne était différente des autres. Par exemple, Bartolomé est différent des autres Espagnols, parce qu'il a épargné Kodibio au début du roman. À la page 19, ça cite : « Et, comme de fait, L'Espagnol s'apprêtait à lui couper la gorge quand un des siens intervint. L'inconnu en question était un jeune homme, tout de noir vêtu… » Donc, l'auteur nous montre bien que certaines personnes sont différente des autres. Bartolomé à un bon coeur et c'est mon personnage préféré.

Tout d'abord, ce livre met en scène un jeune autochtone, Kodibio, vivant parmi les Espagnols qui conquirent l'Amérique. Suite à la prise de son village Taïnos, il tente de faire régner la paix chez les Espagnols belligérants. Quelques autres et lui luttent contre Panfilo de Narvaez afin d'arrêter les guerres liées aux terribles massacres que les Espagnols font subir au peuple Taïnos au nom de leur religion. Dans ce livre, les personnages sont très attachants.

Enfin, on s'attache vraiment beaucoup aux personnages. Danielle Mativat a trouvé la façon pour qu'on s'attache aux personnages particulièrement Kodibio. Voici un extrait qui montre l'attachement que l'on a pour lui : «Il avait conscience que le moment d'être séparé n'était plus très loin» p.22. Avec cette phrase, on rentre vraiment dans la peau du personnage en sentant sa tristesse qu'il éprouve.

En premier lieu, les conquistadors détruisent tout sur leur passage pour récolter les richesses. le village de Kodibio est dans la majorité, la mère de celui-ci se fait exécuter et Kodibio se fait adopter par le frère Las Casas. Lorsque Las Casas par en Espagne, Kodiobio travaille dans une mine où les conditions de vie sont difficiles. Une épidémie se déclare. Kodibio survit et se trouve rapidement au dépourvu de vivre. Il eut ensuite un sermon du moine dominicain. Comme cela a ébranlé le peuple espagnol! Il eut la campagne de Cuba, tuerie, fourberie et viols étaient au rendez-vous. Pour terminer, Kodibio retourne vers sa région natale. À travers ce récit historique du 16e siècle INTERAGISSENT des personnages qui nous font vivre une panoplie d'émotions tel le capitaine Panfilo.

En dernier lieu, le personnage du capitaine Panfilo n'est pas attachant , car il blasphème le seigneur : « (…) nous les pendrons à ses deux branches par groupe de treize, afin d'honorer la mémoire de notre Seigneur Jésus-Christ et de ses douze apôtres.(…)» . (p.57) Panfilo n'est pas attachant, car il blasphème. L'auteur a bien fait vivre ce personnage fictif peu attachant.