Assassination Classroom, tome 2

Se faisant passer comme enseignante de langues étrangères, une tueuse à gage de renom, aussi sculpturale que venimeuse, est affectée à la classe 3-E. Usant de son charme ravageur, elle espère bien piéger Koro-sensei dans sa toile.

A mesure que les leçons avancent et que de nouveaux défis se profilent, une relation privilégiée se tisse entre Koro-sensei et ses élèves. Une dynamique singulière prof-élève se développe pour offrir un aspect touchant à une intrigue pourtant bien barrée. Sans être un manga exceptionnel, il faut bien avouer que l'histoire se laisse lire, et l'on se prend au jeu des diverses leçons qu'enseigne cet Alien assez loufoque.

Un tome 2 que continue sur le même humour déjanté et scénarios improbables que le premier. La mission est toujours la même : essayer de tuer leur professeur-poulpe avant avril et surtout avant que celui-ci détruise la planète. Une nouvelle prof arrive : une jolie blonde pulpeuse que va user de ses charmes pour arriver à tuer Koro-sensei.
La mission d'assassinat reste en toile de fond et contribue à l'humour de cette série-comédie mais Koro-sensei est devenu une sorte de personnage à part entière, un peu particulier, certes, mais un personnage. Exemple : la classe E fait comme le reste des troisièmes un voyage de classe et le poulpe extraterrestre est tout excité par cette sortie. L'auteur-dessinateur en profite pour montrer la discrimination dont sont victimes les cancres de la classe : la société japonaise ne pardonne pas l'échec.
Je vais continuer cette série, je me suis attachée aux élèves et aussi à ce drôle de poulpe…

Résumé : Une professeur d'anglais arrive dans la classe de 3°E pour enseigner un mois après la rentrée. Il s'agit en fait d'une tueuse professionnelle qui use de ses charmes pour approcher sa cible et l'éliminer. Mais elle échoue avec M. Koro. Pendant ce temps, M. Koro fait tout, comme multiplier les clones, pour faire progresser les élèves dans chaque matière, pour que les élèves réussissent les examens de mi-trimestre. Mais les élèves échouent car le directeur a changé le programme de révision au dernier moment. Il ne souhaite pas que les élèves de 3°E réussissent. Après les résultats des examens, toutes les classes vont en voyage scolaire à Tokyo, lieu idéal pour tenter d'assassiner M. Koro, mais des jeunes filles se font enlever…

Mon avis : Un deuxième tome enlevé où se multiplient les tentatives d'assassinat ratées et où M. Koro offre à ses élèves de belles leçons de vie : l'assassiner pour toucher de l'argent ne peut pas être le seul but de leur vie, il faut aussi qu'ils s'appliquent à étudier pour réussir leur vie. L'élève Nagisa observe bien le professeur et continue de toujours noter ses points faibles. L'arrivée de la professeur d'anglais redynamise un peu l'action et fait entrer un côté un plus vulgaire, occasion de jeux de mots un peu lourds. Mais le suspense des tentatives d'assassinat se retrouve au second plan, derrière l'objectif de M. Koro : faire progresser ses élèves coûte que coûte. Et l'action est relancée avec l'enlèvement de deux jeunes filles…
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Un tome 2 qui reproduit les mêmes schémas que le tome 1, en bien ou en mal. Professeur Koro, un extra-terrestre ressemblant à un poulpe, promet de détruire la terre dans un an. Entre-temps, il émet le souhait de devenir professeur d'une classe de cancres. Ces élèves sont donc chargés de tuer leur professeur... le gouvernement décide aussi d'embaucher une tueuse professionnelle, blonde à forte poitrine (non, ce n'est pas Elie Seymoun). Mais elle loupe son coup et vu qu'elle s'appelle Poufanovitch, toute la classe l'appelle Mademoiselle Pouffe...

Le reste du tome est une charge contre le système éducatif japonais qui maintient des classes défavorisées pour faire peur au reste des élèves. C'est cynique, mais bien réel.

Assassination Classroom est un mélange de clichés traditionnels manga (émotions, croquis rapides, violence et un peu de sensualité orientée "ado") et d'humour teinté de critique du système.

On ne renouvelle pas le genre, mais il semble que le Syndrome de Stockholm qui rapproche les victimes de leur bourreau (et qui joue à fond dans la classe E au centre du manga) joue entre le lecteur et le manga...

Après la déception du premier tome, je n'étais vraiment pas motivée pour lire celui-ci. Heureusement, il est un peu mieux… pas beaucoup, mais c'est déjà mieux passé.

Un nouveau personnage fait son apparition : Irina Poufanovitch. C'est une nouvelle prof que les élèves surnomment, avec beaucoup de lucidité, madame Pouffe. On découvre assez vite que c'est une tueuse professionnelle… je n'ai qu'un conseil à lui donner et c'est de changer de métier, elle est vraiment nulle.
Le deuxième événement marquant est l'arrivée des examens et leur préparation. C'était intéressant de voir les autres élèves se confronter à la classe E que tous appellent la classe des Épaves.
Enfin, on termine avec le voyage scolaire à Kyoto où les élèves n'ont pas le temps de se reposer puisqu'ils doivent organiser l'assassinat de M. Koro.

À part Irina qui m'exaspère, les autres personnages m'ont laissée indifférente. J'apprécie mieux M. Koro, dommage que ses intentions soient mauvaises, mais je commence à me demander si c'est vraiment le cas. Il fait bien son travail et a à coeur de voir ses élèves réussir. D'ailleurs, les raisons qu'il donne pour tellement vouloir ce succès sont cohérentes.

Les dessins passent. Rien de transcendant et je n'ai pas grand-chose de plus à dire.
Le scénario est sympathique, mais là encore rien de vraiment captivant. Il semblerait que les élèves aient décidé de s'entraîner et de réfléchir à une stratégie avant d'attaquer à nouveau leur professeur.
Bref, terminons. Ça s'est laissé lire, sans plus.
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Ma fille a commencé à regarder la série animée et m'a donc dit : "M. Koro est d'humeur malicieuse sur la couverture !" En effet, il est vert avec des rayures jaunes. Qu'on aime ou qu'on n'aime pas "Assassination Classroom", le personnage principal n'est pas banal - c'est le moins qu'on puisse dire. Dans ce deuxième tome, une tueuse professionnelle, Irina Poufanovitch intègre le casting en tant que professeur d'anglais : Mademoiselle Pouf apporte une dose d'humour ecchi pas forcément raffiné et plutôt pour les adolescents que pour les enfants. Mais après les deux chapitres dont elle est l'héroïne, on s'intéresse aux discriminations subies par la classe E à l'intérieur de son établissement scolaire et c'est sans doute l'aspect le plus intéressant de ce shonen : derrière l'humour est abordé un sujet assez grave, celui des élèves qu'on considère comme des "épaves" et qu'on met dans un coin, dans une classe de niveau bien isolée, parce qu'ils nuisent au prestige de l'établissement. Est-ce qu'un établissement scolaire qui améliore ses performances globales en punissant ainsi ses élèves les moins méritants peut fonctionner ?
M. Koro, c'est une bonne dose d'optimisme contre le déterminisme et le culte de la performance. Là où un établissement ne montre que ses chiffres et ses statistiques, M. Koro se gausse.

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La classe de 3 E est une classe d'assassins.Dans ce deuxième tome, une nouvelle personnage vient au collège est devient prof :Mme Irina Poufanovitch. Qui au début n'est pas apprécier par tout le monde. En tant que tueuse professionnele elle essayé de tuer M. Koro en vain. Les élève l'apprécie plus au fur et à mesure de l'histoire. Les examens sont passer et les autres classe se moquent toujours autant de la classe E:la classe des épaves. Puis arrivent le voyage scolaire a Kyoto ou à la fin du livre le groupe de Nagisa rencontre des lycéens et qui enlevent Kanzaki et Kayano. Comment vont ils faire pour sauver les filles des lycéens et leur plan pour tuer M. Koro fonctionnera t-il?

on apprend à connaître Monsieur Koro en même temps que l'histoire des élèves. On est captivé autant par ses techniques d'apprentissages que par son histoire . je conseille fortement.

Dans cette tome, une nouvelle professeure débarque dans la classe E: Irina Pouffanovitch. Nommée Mme Pouff par les élèves, elle est bien décidée à tuer Mr Koro, en utilisant ses talents de séductrices, car en réalité c'est une tueuse professionnelle. Réussiront -t-il à tuer Mr Koro cette fois çi?

Une nouvelle venue rejoint la classe E dans ce second tome d'Assassination Classroom, Irina Poufanovitch, une tueuse professionnelle sous couverture de professeur de langue. La mission de l'arrivante est toutefois compliquée par les élèves qui la prennent vite en grippe…

Autant dire que ce second tome ne partait pas gagnant avec sa « Mam'zelle Pouffe » et son humour assez salace, mais finalement, je me suis laissé prendre au jeu et je dois dire que j'ai beaucoup ri des frasques de cette experte tournée en ridicule à la fois par M. Koro et par les étudiants.

J'ai beaucoup plus apprécié ce tome que le premier, il est nettement moins répétitif, et encore plus loufoque et déjanté. le contraste est accentué par l'affection que les élèves portent à M. Koro, tout en poursuivant leur objectif qui est de le tuer.

J'aime aussi l'ambiguïté ambiante qui impose de se demander où est vraiment le mal, dans ce manga. S'agit-il effectivement de M. Koro, qui prend grand soin de ses élèves malgré sa promesse de détruire la Terre, ou du système mis en avant, qui consiste à dénigrer volontairement une poignée d'élèves pour pousser les autres vers le haut ?

En dépit de la fin qui m'a un peu rebutée (autant j'ai fini par m'habituer aux « gros nichons » d'Irina, autant je me serais volontiers passée de l'aspect malsain et auto-proclamé débauché des dernières pages), je suis très emballée par ce manga, et il me tarde de découvrir les véritables motivations de Koro-sensei.
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