One shot sorti en 2019, dans un univers navigant entre science fiction, thriller psychologique, fantastique.
126 pages pour ce huis clos où le rythme est inégal et principalement intéressant durant les 2/3 de l'album. .
La fin est ouverte, là n'est pas le problème, mais elle est assez expéditive comparativement au reste de l'album. Dommage
Le dessin est sobre, assez anguleux, froid et totalement adapté au scénario.
Je ne rentrerai pas dans l'histoire, les commentaires précédents l'ont fait d'une façon très complète.
Donc avis mitigé mais envie de découvrir un peu plus le « légendaire scénariste et réalisateur américain »
Walter Hill associé avec Matz