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4,07

sur 1382 notes
L'île de Lewis n'avait pas livré tous ses mystères… Et cette fois, Peter May nous emmène dans un décor de lacs et de tourbières, de cours d'eau ou abondent saumons et truites, paradis des braconniers dont certains ne manqueront pas de créer des difficultés à Fin Macleod, engagé pour lutter contre le braconnage.

Un loch s'est vidé, c'est un phénomène qui arrive parfois, (voir explication dans le roman), et laisse apparaître un avion qui s'était abîmé là. L'épave renferme le corps d'un homme jusque-là porté disparu. Mais il ne s'agit pas d'un accident, cet homme a été assassiné…

Pour établir une relation entre ce crime et les éventuels meurtriers, Fin Macleod nous fait partager les moments forts de la vie des membres du groupe musical autour duquel il gravite : concerts, amours, tensions extrêmes, réconciliations, violence … Il évoque quelques moments clés de sa jeunesse et de celle de ses vieux amis parce que c'est dans leur passé que des événements dramatiques survinrent, événements gardés secrets par quelques-uns.
La police ne peut donc pas mener à bien cette enquête sans l'enfant du pays capable de décrypter le non-dit chez des personnes qu'il connaît bien.

La trilogie écossaise, c'est un roman policier bien classique qui tire son charme des fausses pistes et des rebondissements, mais c'est avant tout un exposé sur les lieux isolés peuplés d'insulaires façonnés par ce milieu parfois hostile que constituent les Hébrides.

J'ai beaucoup appris grâce à ces romans incontournables bien que ce troisième tome ne soit pas celui que j'ai préféré, les tensions, les amitiés, les différends dans un groupe de musique ne faisant pas partie de mes centres d'intérêt.

l'écriture de Peter May laisse en moi une envie d'y revenir et je ne manquerai pas de lire d'autres romans de cet auteur.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
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Fin Mcleod s'est définitivement installé sur son île natale des Hébrides, à l'ouest de l'Écosse. Il a délaissé sa carrière de policier à Edimbourg pour devenir le chef de la sécurité. Son boulot consiste alors à pourchasser les braconniers qui pillent les eaux sauvages. Travaillant pour Jamie Wooldridge, il retrouve son ami Kenny Jonh Mclean, qui avait quitté l'île en même temps que lui et qu'il n'avait pas revu depuis des années, ainsi que son copain d'enfance John Angus Macaskill alias Whistler, le plus intelligent de sa promotion mais qui, néanmoins, avait décidé de rester sur l'île de Lewis. Aujourd'hui, asocial et sauvage, il vit tel un vagabond, dans une bicoque en piteux état, privé de la garde de sa fille... et braconnier. Aussi Fin est-il chargé de le prévenir gentiment de cesser ses activités illégales. C'est alors que les deux amis se retrouvent dans les montagnes et font une bien curieuse découverte. Suite à une poussée de tourbière, un loch s'est déversé dans un autre faisant apparaître l'épave d'un avion monomoteur. À l'intérieur de celui-ci, un corps. Celui de Roddy Mackenzie, disparu il y a de cela 17 ans...

Dernière partie de cette trilogie écossaise, le braconnier du lac perdu met de nouveau en scène Fin Mcleaod, ex-flic devenu chef de la sécurité. Lui qui pensait en avoir fini avec les enquêtes policières va revenir remettre le pied à l'étrier pour tenter de découvrir ce qui s'est passé il y a 17 ans et qui a bien pu assassiner son ami Roddy. Peter May clôt brillamment cette série tant par l'ambiance, les descriptions magnifiques des paysages à la fois hostiles et majestueux, la valse des sentiments (haine, amour, amitié, rancoeur, nostalgie...), les personnages fouillés, charismatiques et attachants et un héros que l'on quitte avec regret. Alternant passé et présent, ce roman parfaitement maîtrisé et à l'intrigue captivante explore les tréfonds de l'âme humaine. Un roman riche et dense porté par une écriture poétique et contemplative.
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Troisième et dernier volume de la série écossaise de Peter May.
Fin, qui n'est plus dans la police, retourne dans ses îles natales, les Hébrides au nord de l'Ecosse.
Une brusque baisse des eaux fait apparaître un petit avion au fond d'un lac, avec le cadavre d'un ami de Fin, Roddy, disparu depuis 18 ans.
Whistler, un ami d'enfance, esprit brillant devenu braconnier et misanthrope, est avec lui pendant cette découverte.
Fin devra, là encore, reprendre le fil de son passé, quand lui et Whistler faisaient partie du groupe musical de Roddy, avec la belle Mairead dont ils étaient tous amoureux...

On se doute que ce volume va faire éclater des secrets douloureux sur le passé et sur les relations entre le groupe d'amis de Fin, et en effet, sans rien révéler, on peut dire que la noirceur domine dans ce récit, un peu trop peut-être pour être plausible...
Pour tout dire, j'ai été un peu déçue par cette trilogie qui fait partie des "classiques modernes" du polar.
Est-ce l'accumulation de trahisons, meurtres, suicides et autres vengeances ?
Est-ce la construction, avec tous les retours en arrière, que j'ai trouvé parfois lourde ?
Ou est-ce le grand nombre de personnages secondaires dans lesquels je me suis parfois perdue ?
Un peu des trois sans doute, mais on devient difficile quand on a lu beaucoup de polars...
Reste la belle évocation de ces îles écossaises battues par le vent et noircies par la tourbe que, curieusement, l'auteur donne très envie de découvrir...
Et je tenterai sa "série chinoise"...
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Ce cher Fin Macleod en finira-t-il avec les démons qui le hantent? Dans ce troisième volet de la trilogie écossaise, on le retrouve sur les terres de son enfance, bien décidé à s'y établir. On lui propose un poste de chef de la sécurité, qui consiste à traquer les braconniers. C'est ainsi qu'il retrouve Whistler, son ami de jeunesse. le plus brillant des petits gars de Lewis est devenu un clochard, solitaire, isolé de sa fille, et …braconnier. La tâche est certes délicate pour Fin, lié à tout jamais à ce drôle de zèbre qui lui a déjà sauvé deux fois la vie. Mais ce n'est pas le problème. Il se produit de temps à autre aux Nouvelles-Hébrides un phénomène étrange : l'assèchement brutal d'un lac, sous l'effet d'une poussée de tourbière. Les deux amis y assistent avec un étonnement pas seulement lié à la rareté du phénomène et à son caractère quasi-magique : au fond du lac, un avion git. Et son contenu macabre les laisse sans voix.
Avec cette découverte ressurgit tout un pan du passé de Fin, alors qu'il était le chauffeur du groupe de rock celtique Amran, dont Whistler faisait partie. L'un des musiciens avait disparu sans laisser de trace au cours d'une sortie en avion…

Avec cette enquête complexe, que Fin va piloter en sous-marin, avec la complicité du dévoué inspecteur Gunn, toutes les pièces du puzzle se mettent en place, pour comprendre les difficultés personnelles actuelles de l'ex-inspecteur.

La structure narrative est parfois un peu confuse, et l'on peut se perdre dans une chronologie fantaisiste, alors que les personnages, hormis quelques kilos en plus et quelques cheveux en moins restent fidèles à leur image.

Les femmes occupent ici encore une place centrale : Marsaili, bien sûr, avec une relation plutôt apaisée avec Fin, mais aussi Mairead, la chanteuse sulfureuse envoutante du groupe. S'y ajoutent la toute jeune fille de Whistler, une ado rebelle digne fille de son père. Quant à Catriona, l'épouse du pasteur, elle menace de quitter son Donald, en passe de subir une disgrâce en raison de son rôle dans le meurtre du truand qui menaçait la famille de fin dans L'homme de Lewis.
Par contre, on n'aura pas eu l'opportunité de rencontrer Mme Gunn, qui a une existence très similaire à celle du célèbre inspecteur Colombo et Fin n'a toujours pas dégusté son saumon sauvage …

Inutile de préciser enfin que le décor est toujours aussi magnifiquement dépeint, et que l'on sent dans ces descriptions tout l'amour que l'auteur voue à ces terres hostiles et somptueuses.

C'est avec un peu de regret que l'on tourne la dernière page, puisque l'histoire est terminée, et que l'on n'aura plus l'occasion de croiser cet attachant « flic à la ramasse » qui semble avoir coupé le lien maudit des casseroles qui lui collaient au train. L'auteur lui-même avoue dans une interview avoir verser une larme en écrivant le dernier mot...


Très belle réussite.

Challenge pavés 2015-2016
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Fin Macleod est heureux, il vient de retrouver un vieil ami.
Mort, certes, dans des circonstances plus que douteuses, certes bis, mais prétexte idéal à une ultime enquête en terre écossaise.

Quel panard de se replonger dans cette trilogie.
Outre un dépaysement garanti à peu de frais, elle offre une toile de fond aussi rude que les autochtones qui la peuplent et le climat qui y sévit.

Où nous découvrons l'adolescence contrariée d'un Fin alors totalement déconnecté des contingences matérielles qu'un taf digne de ce nom lui aurait permis d'assumer.
Roadie d'un groupe initialement obscur avec qui il nouera des amitiés solides, le garçon aura alors connu le meilleur comme le pire.

La vie étant un éternel recommencement, il semblerait que la mort n'ait rien à lui envier.
Surtout pas cette faculté à se replonger en un passé révolu qui pourrait bien, cependant, faire la nique à cet épais mystère qui court sur près de deux décennies.

J'ai éprouvé un peu plus de difficultés à entrer dans ce braconnier, en tout bien tout honneur.
L'espace de quelques dizaines de feuillets et l'envie de ressortir mon vieux kabik me reprenait déjà.

Mes amis, mes amours, mes emmerdes.
Fin, d'une dernière pirouette, nous conte par le menu ce que fut sa jeunesse tumultueuse tout en gérant un présent amoureux compliqué et une affaire sordide qui le touche de très près.

Le tout s'amalgame idéalement.
Pléonasme Mayesque.
Les pages défilent.
Le plaisir s'accroît.
Seule ombre au tableau, la certitude de ne plus jamais refouler cette île des Hébrides si riche d'enseignements et sur laquelle, comme aux galeries Lafayette, il se passe toujours quelque chose.

Trilogie incontournable pour tout amateur du genre un tant soit peu curieux d'ailleurs.
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Fin McLeod s'est définitivement installé sur son île natale où il vit avec Marsaili, son amour de jeunesse. Démissionnaire de la police d'Edimbourg, il a obtenu le poste de chef de la sécurité sur le domaine Wooldridge. Sa cible : les braconniers qui vident les rivières du précieux saumon écossais. Son premier boulot : raisonner Whistler, son ami d'enfance, un adolescent brillant devenu un homme solitaire, presque un clochard et qui braconne sur le domaine. Mais Whistler connaît ces terres comme sa poche et il ne lui est pas difficile d'échapper à la traque de Fin. Alors qu'ils sont engagés dans un jeu du chat et de la souris, ils passent la nuit dans une cavité rocheuse pour s'abriter d'un violent orage. le lendemain matin, ils assistent, incrédules, à un étrange phénomène naturel : Les eaux du loch se sont entièrement retirées pour se déverser plus bas dans un autre lac. Mais la plus grosse surprise est la découverte d'un petit avion au fond du lac. A son bord, à n'en pas douter, le corps de Roddy Mackenzie, leur ami disparu il y a 17 ans de cela, Roddy, membre du groupe de musique celtique Solas dont Whistler était le flûtiste et Fin le chauffeur. Si Whistler prend ses distances, Fin est bien décidé à faire toute la lumière sur ce qui semble bien être un assassinat. Que fait le corps de Roddy dans ce loch alors qu'il est censé avoir sombré dans les eaux de l'Atlantique ?

Où l'on retrouve, et c'est très triste, l'île de Lewis et Fin McLeod pour la dernière fois.
L'ex-flic est désormais décidé à rester sur son île natale où le passé n'en finit pas de se rappeler à lui. Cette fois, il enquête sur le meurtre d'un vieil ami que tous croyaient disparu en mer avec son petit avion. C'est l'occasion de se souvenir de ses jeunes années, quand il suivait la tournée de Solas, un groupe de musique celtique appelé à faire une brillante carrière. Au coeur du groupe, la belle Mairead, chanteuse envoûtante et femme fatale dont tous les garçons étaient fous, Fin compris et bien sûr Roddy, sûr de lui, insolent, charismatique. Ce retour dans le passé est riche en émotions pour Fin qui se remémore son amitié avec Roddy et Whistler, sa liaison avec Mairead et sa rencontre avec Mona qui deviendra sa femme et la mère de son fils.
Amours, amitiés, trahisons, coups de coeur et coups de gueule, nostalgie, regrets, chagrins...tous les thèmes de la trilogie écossaise sont ici exacerbés pour offrir aux aventures de Fin McLeod une conclusion digne de nos espérances. On en voudrait encore plus bien sûr. Il est difficile de quitter ces terres à la fois sauvages, hostiles et magnifiques, il n'est pas plus aisé de laisser Fin, encore fragile mais apaisé et peut-être enfin prêt pour une nouvelle vie...On se sent un peu orphelin après avoir partagé la vie des habitants de Lewis durant tant de pages. Que faire maintenant ? S'envoler pour les Hébrides.. ?
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Chère Gabrielle ne m'en veux pas, mais je vais devoir être vache avec le traducteur. Oh pas pour pinailler sur le sens discutable donné à un mot qui ferait dire d'un personnage
Qu'il sourit alors qu'il esquisse un sourire...
Non.
Mais sur la traduction stupide qu'il a donnée au mot « midges ».
Bon sang - c'est le cas de le dire - les midges ne sont pas des puces, mais de minuscules moustiques !
Les puces n'ont jamais volé !
Et croyez-moi lorsqu'un nuage de midges s'abat sur vous - ce qui fait partie du folklore écossais - inutile de chercher sous vos manches de pantalon, il n'y aura rien.
Cette mauvaise traduction me choque vraiment et nuit à la compréhension du roman, d'autant que dans cet ultime volume il en est souvent question.
Donc pour se résumer et pour me calmer, précisons bien que lorsque Peter May vous dit que " les midges étaient de sortie", ne vous imaginez pas un troupeau de puces, mais bien une escadrille de moustiques ! Les puces sautent, les midges volent !
Ouf, ça va mieux ! Je n'enlèverai pas une demi-étoile à ce superbe roman, mais la main le démange...

Mais comprenons nous bien: le travail du traducteur, Jean-René Dastugue, est remarquable. le style est alerte, léger, agréable. C'est juste un agacement de ma part, un peu comme celui qui vient en regardant un film doublé en français avec les mots prononcés en décalage avec le mouvement des lèvres.
Basta! Ma crise de vieuconnite est terminée, disparue même, en appréciant de lire "une Range Rover" et non "Un Range Rover".
Sans commentaire.

.
Dans cet opus - le dernier de la trilogie de Lewis - les sentiments ont la part belle : Les amours enfantines, adolescentes, adultes, partagées, solitaires, souvent contrariées et objet de souffrances, de jalousies et peut être d'un crime...
C'est en tous cas là où Peter May souhaite nous mener (en bateau).


Nous sentons une fois de plus que Peter May nourrit une rancune tenace contre l'église, contre LES églises écossaises.

Tout le monde se connait sur les iles, parfois mieux que l'on se connait soit même.
Le roman est baigné par la grande amitié unissant Fin et Donald , Fin et Whistler. La plongée dans la jeunesse du héros est riche d'émotions qui remontent et la nature tourmentée des îles nous assaille.
Tout ce qu'il faut pour faire un excellent May, un excellent policier, et un excellent roman écossais.

Tac ! je viens d'en écraser un !

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Dernier tome de la trilogie écossaise de Peter May.
Fin s'est fait engager comme directeur de la sécurité d'un domaine de plusieurs milliers d'hectares afin de lutter contre les braconniers. Alors qu'il est parti en excursion avec un ami d'enfance, Whistler, un violent orage éclate qui va les bloquer dans une grotte durant toute la nuit. Au petit matin, ils découvrent que le Loch qui s'étendait devant eux s'est entièrement vidé, laissant apparaître en son fond un avion. L'immatriculation révèle qu'il s'agit d'un appareil disparu en mer il y a dix-sept ans. Son pilote était Roddy Mackenzie, leader du groupe de musique Solas dont Fin était le chauffeur. A l'intérieur git le corps d'un homme assassiné dont le portefeuille confirme l'identité du musicien…
L'auteur conserve toujours le même type de construction, son histoire alternant souvenirs du passé et l'enquête de son personnage principal. La tension dramatique est légèrement moins intense que dans les deux premiers tomes mais cela ne nuit nullement à la qualité de l'histoire. Peter May happe ses lecteurs dans un récit à multiples rebondissements pour finir en apothéose sur un dénouement incroyable.
Traduction de Jean-René Dastugue.
Editions Acte Sud, Babel Noir, 362 pages.
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Aimer et déguster les Hébrides extérieures par tous mes sens...
Je ne m'en lasse pas. Et c'est avec un plaisir non dissimulé que je me suis plongée dans le troisième volet de cette trilogie écossaise de Peter May.

Aux côtés de Fin MacLeod, amoureux fou de ce coin de terre, j'ai suivi le braconnier du lac perdu, entre lochs et rochers, tempêtes et plages paradisiaques pour cette nouvelle enquête passionnante !
Lorsque la découverte d'un corps au fond d'un lac dont l'eau a disparu rejoint les aventures musicales d'une équipe de potes-adolescents, lorsque les émotions d'amours perdues retrouvent la pureté des sentiments d'un père pour sa fille, lorsque l'histoire de l'Iolaire rejoint les démons qui hantent Fin MacLeod depuis tant d'années, je suis sous le charme.

Peter May est maître dans la description des paysages et des traditions qui ont touché mon coeur dès mon premier contact avec ces îles écossaises. Impossible d'y rester insensible d'autant plus que ses mots ravivent, raniment et prolongent de manière lumineuse les souvenirs de mes dernières vacances estivales.

Un roman réussi, contemplatif, riche de références historiques et ancré dans une culture gaélique fascinante pour tous ceux qui ont besoin de dépaysement.

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Dernier tome de cette trilogie écossaise, ce roman m'a encore une fois emportée dans les Hébrides.
L'auteur nous sert un 3e policier, même si l'enquête reste accessoire. C'est surtout un magnifique support pour continuer à nous conter la vie de Fin. L'auteur alterne avec brio les chapitres de nos jours (écrits à la 3e personne) et les retours dans le passé (écrits à la 1ere personne du singulier). Grace à cette écriture, il est impossible de confondre ou de se perdre.
Magnifique trilogie dont la qualité ne baisse pas avec les volumes. Aucune lassitude ne s'installe. Et j'aurais bien aimé que cette série s'étire encore avec plus de tomes...
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