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Je rejoins volontiers les analyses très positives de ce beau roman qui avance à son rythme, tranquille, à l'image des grands espaces, de cette nature sauvage, de ses hommes et femmes qui l'habitent, en connaissent ses mystères et ne peuvent finalement s'en éloigner.

Certains ont vu des longueurs, peut-être des choses inutiles, donc ce n'est pas à proprement parler un roman policier, même s'il y a intrigue, meurtre et suspense, non, ces moments qui peuvent paraître hors histoire découlent de la passion de l'auteur pour une terre, pour ses rivières et ses truites.

D'abord, il y a un titre on ne peut plus séduisant : une Vénus de Botticelli au coeur des Rocheuses. Mais pas de coquille géante pour sa naissance, l'histoire consistant à la rechercher tout au long du livre avec un dénouement préparé par toute la structure du roman.

Et puis des personnages, hauts en couleur, Sean Stranahan, le pêcheur détective, capable de concilier ses recherches avec l'appel absolu des belles mouchetées, farios et arcs-en-ciel, dont la vivacité vient donner du mouvement à sa réflexion personnelle. L'autre figure, c'est la femme shérif, intransigeante sur le respect de la loi, mais capable de nuancer ses positions. le charme de la Vénus de Botticelli Creek, c'est précisément qu'on ne la voit guère et c'est bien l'art du romancier de lui donner une place aussi importante et quasiment invisible.

Et enfin, les autres acteurs de la nature, loups, ours avec toutes les terribles histoires qui les entourent, les légendes aussi, le sang qui coule, les suppositions les plus terribles et pourtant plausibles.

J'ai bien aimé aussi le parallèle avec la France et le beau département des Hautes-Alpes où certains paysages du Queyras peuvent faire penser aux étendues du parc de Yellowstone, aux prairies du Montana, et où les loups posent les mêmes problématiques aux bergers.

Aller chercher la Vénus de Botticelli Creek, c'est plonger dans tout un univers naturel, dans ce wild qu'un seul mot anglais hélas peut évoquer, où la sauvagerie humaine est bien plus terrible que celle des animaux, c'est un magnifique voyage présenté par une première de couverture qui en fait presque la synthèse.
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Nanika Martinelli, une jeune femme de 25 ans, a mystérieusement disparu dans la vallée de la Madison. Naturaliste et guide de pêche d'un ranch-hôtel, elle a quitté le groupe qu'elle menait pour emprunter un sentier différent. Ce n'est qu'au bout de quelques heures qu'un de ses collègues a remarqué sa monture dans l'enclos, mais sans sa cavalière. Aussitôt, ce cow-boy, sans attendre l'aide de l'équipe d'urgence, est parti à sa recherche. le shérif du comté de Hyalite, Martha Ettinger, réunit plusieurs de ses hommes pour tenter de retrouver la jeune femme. Malheureusement, elle retrouve le jeune cow-boy empalé sur les bois d'un cerf, visiblement tué par un loup. S'agit-il d'un meurtre ou d'un terrible accident ? Pour l'aider dans cette double enquête, le shérif fait appel à Sean Stranahan, pêcheur à la mouche, peintre à ses heures perdues mais surtout ancien détective privé...

La Vénus de Botticelli Creek, c'est ainsi qu'est surnommée Nanika, eu égard à sa splendide chevelure rousse qui a fait craquer bon nombre d'hommes. Et si sa disparition inquiète le shérif Ettinger, la mort d'un cow-boy empalé sur un cerf soulève de nombreuses questions. Les deux affaires ont-elle un point commun ? C'est ce que devra résoudre le shérif, épaulée une fois encore par son ami, Sean Stranahan. Où l'on retrouve avec grand plaisir toute la galerie de personnages rencontrée dans les précédents romans, aussi bien le shérif, Sean ou encore l'Indien, Harold Little Feather. Dans ce roman, Keith McCafferty soulève la problématique de la réintroduction des loups dans le parc de Yellowstone, une réintroduction qui inquiète les habitants puisque, semble-t-il, ces animaux semblent liés à cette enquête. Si celle-ci s'avère captivante, mettant en scène des personnages secondaires tantôt inquiétants tantôt touchants, la description de la nature et des paysages du Montana est magnifique. À la plume poétique et ciselée, ce roman, habilement troussé, se révèle une belle surprise. L'on espère ainsi recroiser Ettinger et Stranahan dans un nouvel opus...
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Comme toujours dans ce Montana de pêche à la mouche et de chasse , j'ai pris un grand bol d'air frais ! Merci à Keith McCafferty de nous rendre ces grands espaces, ces personnages typiquement sincères et ce mode de vie de cowboy accessibles. La Vénus de Botticelli Creek c'est la disparition de Nickie, jeune guide de pêche en rivière dans la vallée de la Madison lors d'une sortie de groupe et c'est aussi une histoire de loups. Chaperon rouge à la sauce montanienne. Et l'auteur en profite pour souligner la complexe problématique de la réintroduction des loups dans les Rocheuses et dans les réserves naturelles telles le Parc Yellowstone et des implications pour ceux qui vivent avec ces prédateurs. Écolos, chasseurs, éleveurs de bétails, gardien de la faune, chacun sa position et chacun ses raisons d'aimer ou pas les loups.
Ha mais outre la disparition de cette guide aux cheveux d'un roux flamboyants, cette Vénus, la forêt réserve aussi d'autres macabres surprises. Martha Ettinger, notre shériff sera appelée sur les lieux où l'on a retrouvé un homme empalé sur les bois d'un cerf. Elle se posera bien des questions et rassemblera ses hommes , Harold Little Feather, Sean Stranahan et toute la galerie de personnages introduits dans les opus précédents que nous retrouvons avec grand plaisir. Ces affaires sont-elles liés? Ces affaires se rapportent-elles aux loups? Qui est cette espèce de gourou à moto et aux yeux rouges qui crie aux loups ? Un récit captivant, une plume poétique pour nous décrire cette grandiose nature du Montana, toujours ces mouches, cette soie et ces truites qui nous donne envie de se mettre à la pêche, et des personnages plus qu'attachants et authentiques. de très bons polars que cette série séduisante. Je m'y abonne de bon coeur !
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Tome 3 des aventures de la shérif Martha Ettinger flanquée du détective privé, (peintre amateur et guide de pêche ) Sean Stranaham, dans le Montana...

Une jeune femme a disparu.
Et , alors qu'on recherchait "La Vénus de Botticelli Creek", guide de pêche, grande défenseuse des loups, Nanika Martinelli dans la montagne, , l'équipe de Martha va tomber sur un cowboy empalé sur une carcasse de cerf, parti à sa recherche parce qu'il était amoureux.
Comme tous les hommes qui ont approché Nanika...
Très vite, on la croit dévorée par les loups, sauf sa soeur arrivée sur place qui a aussitôt engagé Sean.
Mais les plus dangereux ne sont pas forcément les animaux, c'est ce que va comprendre notre ami Sean, tout en nous promenant dans des paysages somptueux...

Car , c'est ce qu'on vient chercher dans ces pages, un peu d"'exotisme", de dépaysement... Et pour le coup , on est servi ! Des lacs, des geysers, de la neige, des loups, des ours.. Saviez-vous qu'on compte 850 loups qui se baladent en paix dans le Montana ? Et comme chez nous en France , une partie de la population est contre leur présence car ils menacent les troupeaux. de loups, il sera beaucoup question dans ce roman, pas tellement de pêche, et ça me va très bien !
L'enquête , comme souvent dans les romans de style Nature Writing, s'efface devant le paysage, et même si elle est intéressante, elle est basée au départ sur une faute , une incompétance de la police, qui n'est même pas relevée à la fin. Rien qu'un petit ordinateur ne sache résoudre...
Mais on est dans un roman où la technologie n'a pas de prise . Sean n'a pas de téléphone portable, pas d'ordinateur... il n'a même pas de flingue !
Un polar, donc, un peu à l'ancienne, qu'on vient visiter uniquement pour ses descriptions de paysages, et pour une ambiance un peu western ( Sean habite dans un tipi, ies enquêteurs parcourent la montagne à cheval... ) . le temps s'y écoule lentement, les bruits et l'agitation de la ville sont loin, la vie y est simple, on se satisfait de peu... La nature est partout autour de vous...
Une chouette ballade...
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Livre après livre, à la manière d'un Craig Johnson du Montana, Keith McCafferty construit une série, un univers et des personnages récurrents qui font mouche à chaque coup. Après les délicieux Meurtres sur la Madison et Les morts de Bear Creek, La Vénus de Botticelli Creek - 3e opus traduit par Janique Jouin-de Laurens, des 7 déjà parus aux USA – le confirme.

Un peu moins de pêche cette fois-ci pour plus de chasse et de traque : quand le corps d'un homme est retrouvé empalé sur les bois d'un cerf dans les pentes enneigées des montagnes qui surplombent la Madison, qu'une jeune et jolie activiste environnementale manque à l'appel et que les loups n'en finissent pas de hurler le soir venu, tout est réuni pour que chacun y aille de son interprétation.

Implication d'un grand propriétaire local ? Attaques mortelles de loups dont la réintroduction divise la population ? Ou bien vengeance resurgie du passé ambigu de cette jeune femme dont le happening nue au milieu des poissons lui valut le surnom de Vénus de Botticelli Creek ? Autant de pistes à démêler pour Sean Stranahan, guide de pêche, peintre et enquêteur du shérif Martha Ettinger à ses heures perdues.

À leur ancienneté près, les similitudes sont grandes entre les sagas Longmire et Stranahan : polars nature writing d'atmosphères, leurs personnages principaux fédèrent autour d'eux toute une tribu de proximité qu'on voit évoluer au fil des tomes, s'y attachant forcément chaque fois un peu plus : on retrouve ici avec plaisir Sam, l'ami-pêcheur-un brin poivrot de Sean, Katie l'indispensable adjointe et Harold Little Feather qui « sent » la forêt mieux que quiconque. Quant à la vie amoureuse de Sean marquée par une nouvelle rupture qui l'empêche de se projeter dans l'étape suivante, elle pourrait bien évoluer à la manière de celle du grand Walt dans les opus à venir…

Si l'intrigue est ici un brin en dessous des deux romans précédents, générant parfois quelques longueurs, elles sont vite oubliées face au plaisir de retrouver une série attachante, qui prend corps au point d'en espérer la traduction rapide par Gallmeister du prochain opus !
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Ce roman est le troisième d'une série, mais on peut tout à fait commencer par celui-ci et le lire seul, cela ne gêne en rien la compréhension de l'histoire.
Tout commence par la disparition d'une jeune femme, partie faire une balade et dont le cheval est revenu seul au ranch. Cette jeune femme est surnommée « La Venus de Botticelli creek » à cause de sa superbe chevelure auburn.

L'histoire se passe dans le Montana où la nature est primordiale, l'auteur décrit les rivières, les forêts et tous les animaux qu'on y trouve : les loups, les lynx, les troupeaux de cerfs ou de bisons, les ours...
L'intrigue se déroule tout prêt du parc du Yellowstone et on sent que l'auteur aime les grands espaces et les décrit avec un immense plaisir.
La pêche est une activité importante dans cette région mais dans ce volume, l'auteur y fait un peu moins référence que dans le premier volume « Meurtres sur la Madison ».
On retrouve les personnages déjà rencontrés précédemment, notamment une femme shérif, son adjoint, Sean le peintre-détective privé, l'indien qui l'aide à découvrir des pistes…
J'ai beaucoup aimé l'ambiance de ce roman, les grands espaces, les problématiques liées à la réintroduction de certains animaux dans la nature, et l'intrigue m'a tenue en haleine du début à la fin.
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Montana, dans la vallée de la Madison (et non de Dana ♫), une jeune fille disparaît et l'homme parti à sa recherche est retrouvé mort, empalé sur les bois d'un cerf, mort.

Le cerf est donc innocent. Est-ce un crime ou un accident ? Si c'est un accident, l'homme entrera dans la catégorie des morts bêtes…

Les enquêtes de la shérif Martha Ettinger et du pêcheur à la mouche (et ancien détective privé), Sean Stranahan sont toujours aussi agréables à lire.

Voilà encore un couple d'enquêteur que j'apprécie beaucoup. Ils sont différents, mais se complètent très bien et leurs dialogues sont souvent savoureux et rempli d'humour ou de petites piques.

Martha, de par sa fonction de shérif, est souvent considérée comme non féminine et les autres oublient souvent que sous son uniforme, c'est une femme qui apprécie afficher sa féminité une fois qu'elle quitte son boulot de shérif. Elle a un caractère bien trempé, elle sait ce qu'elle veut et c'est un personnage qui possède de la profondeur, qui a été travaillé.

Sean Stranahan, égal à lui-même, prendra son temps pour résoudre cette double enquête qui risque de leur réserver quelques surprises et autres chausse-trappes.

Ceci n'est pas un roman policier trépident, l'enquête va à son rythme, l'auteur nous parle de pêche à la mouche, de nature, de chevaux, des loups que l'on a réintroduits dans le Montana et qui ne plaisent pas à tout le monde, surtout aux éleveurs qui crient au loup à chaque bête morte, même c'est de soif et pour cause de non-entretien. Il est des boucs émissaires bien pratiques, dans la vie.

Dans les romans de l'auteur, les personnages secondaires ne sont jamais oubliés et tous sont bien campés travaillés. Certains sont récurrents et c'est toujours plaisant de les recroiser, de suivre leurs histoires de coeur ou de cul (celles de Sam, notamment)…

Ce roman est aussi l'occasion d'en apprendre un peu plus sur le canis lupus, dont on pense toujours qu'il a dévoré un jour un petit chaperon rouge, la chèvre de monsieur Seguin, les trois petits cochons et j'en passe.

Non, non, nous n'avons pas de preuve, mais ce sont les jugements de cour qui vous rendent blanc ou noir. le loup a été jugé noir et ont crié haro qui lui (et non sur le baudet qui tondis le champ d'herbe).

Ce polar se lit les doigts de pieds en éventail, c'est une enquête qui semble pépère, pourtant l'auteur aborde des sujets qui sont d'actualités, notamment avec les loups ou les ours réintroduits à certains endroits, avec les chasses non autorisées, avec ces fous de la gâchette qui sont prêts à massacrer des centaines de loups pour être sûr d'abattre le coupable… Tuez-les tous, comme il fut dit un jour.

Sans vouloir me prendre pour Sherlock Holmes, j'ai venu venir le twist (et non le Twix©) de très loin, grâce à quelques indices disséminés dans des détails anodins (le diable se cache toujours dans les détails) et je me demandais comment tout cela allait se terminer.

Il est amusant aussi de remarquer que les plus grands défenseurs de la cause du canis lupus peuvent être aussi ceux qui leur font le plus de mal de par leur comportement imbécile et psychopathe… Comme quoi, c'est parfois ceux qui vous veulent du bien qui vous cause le plus de tort.

Après avoir lu les trois premières enquêtes de Sean Stranahan, je peux confirmer que le plaisir est toujours de la partie (de pêche) et que l'on peut apprécier le roman même si on est un nul dans le lancer de la mouche.

Comme dans les romans de Craig Johnson, on est face à un polar nature writing et la plume de l'auteur est toujours aussi bien troussée. Sa galerie de personnages qui gravite autour de nos deux enquêteurs principaux sont comme des vieux amis que l'on retrouve au fil des livres.

Dans une ambiance de grands espaces où la nature fait sa loi, où les hivers sont rudes (et pas les Ibères), où la pêche est reine et où les endroits sont dépeuplés, il vaut mieux savoir où l'on va, car ici, tout est sauvage et certaines âmes sont plus que tourmentées.

Un polar à lire tranquillement, bien qu'il soulève des problèmes sociétaux qui nous sont contemporains et qu'il mette en scène des tordus de chez tordus.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Le cheval de Nickie Martinelli est rentré seul au ranch où travaille la jeune femme , guide de pêche dans cet endroit proche de Yellowstone dans le Montana.

C'est elle ,Nickie ,qui est surnommée la Venus de Botticelli Creek à cause de sa magnifique chevelure rousse , elle, qui fait tourner la tête de beaucoup d'hommes ...

Rapidement les secours pour retrouver la jeune femme s'organisent et le shériff Martha Ettinger , accompagnée de son ami Sean Stranahan trouvent, lors de leur recherche , le corps d'un cow-boy du même ranch empalé sur les bois d'un cerf alors qu'il était parti le premier sur la piste de Nickie .

Si, avant que le roman commence ,il y a un lexique sur les termes employés dans le milieu de la pêche à la mouche , ce qui m'a fait un peu hésiter sur le bien fondé de ma lecture , il est beaucoup plus question de loups que de truites ...

Et quand ce n'est pas un loup ou plutôt une meute qui hurle, ce sont les ours et les pumas qui rodent dans cette sublime mais dangereuse nature ...

Les loups, comme en France et comme les ours , ont subi extermination , réintroduction, prolifération puis "prélèvements ", tout cela entre Pro et Anti, éleveurs tolérants et éleveurs ripoux, bande de fanatiques etc...

McCafferty ne prend pas partie , il montre simplement toutes nos incohérences, nos conduites irréfléchies.

Ce roman est le troisième avec les mêmes personnages , je n'ai pas lu les précédents, cela est moyennement gênant, quoique j'ai eu parfois du mal à me repérer mais une fois de plus les histoires personnelles prennent un peu trop le pas sur la véritable intrigue et parasitent un peu la réflexion de fond à mon avis !
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Promenons-nous dans les bois pendant que le loup n'y est pas... le problème est justement que, dans la vallée de la Madison, le loup y est, tout comme ses adeptes d'ailleurs, et on se demande bien qui est le plus dangereux. Ce qui est sûr en revanche, c'est qu'une femme, surnommée "la Vénus de Botticelli Creek" y a disparu, et qu'un cow-boy y est mort, empalé sur les bois d'un cerf. du travail en perspective pour le shérif Ettinger et son assistant ponctuel, Sean Stranahan...

Voici une série qui se bonifie au fil des aventures. J'avais été un tout petit peu réservé sur le premier tome ("Meurtres sur la Madison"),mais beaucoup plus convaincu en revanche par la suite ("Les morts de Bear Creek"). Dans ce nouvel opus, on monte encore d'un cran dans la qualité. L'histoire est hyper carrée, un brin inquiétante, j'ai été vraiment happé par l'intrigue. Les personnages évoluent, nous deviennent familiers, on s'attache à eux. J'ai franchement hâte de lire la suite !
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Me voilà à nouveau de retour du Montana.

J'ai encore plus apprécié cette histoire que la précédente. Une femme a disparu et Sean et Martha partent à sa recherche.
A-t-elle été tuée par un loup ? Cela apporterait de l'eau au moulin de tous ces manifestants anti-loups et pro-chasse du secteur (pas mes copains du tout).
Ou par un cinglé qui se prend pour le mâle alpha et qui prend sous sa coupe la première paumée qui passe (pas mon copain non plus d'ailleurs).
L' intrigue est bien ficelée, les personnages toujours aussi sympas et le décor est somptueux.
Dans ce volume pas trop de fabrication de mouches ce qui m'avait un peu rebuté dans le précédent.
Je n'ai pas pu m'empêcher de faire le parallèle avec Craig Johnson mon chouchou du Wyoming. Si vous appréciez l'un, vous aimerez l'autre.

A bientôt pour le tome 4.
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