Ce pauvre petit, (...), il arrive pas à se consoler. Il l'a toujours aussi dur de l'avoir molle !
La libération de la femme est une chose. Et la haine de l'homme en est une autre.
Et là, tout d’un coup, je comprends pourquoi dans nos films, si les rapports entre hommes sont souvent convaincants, les personnages féminins, par contre, sont si pâles et si faibles. La raison, c’est qu’on les spécialise dans leur sexe. Elles sont figées dans leur fonction coïtale, maternelle ou décorative. Elles n’existent qu’en tant que femelles de l’espèce. De ce fait, elles n’ont plus aucune possibilité de se développer, et de devenir intéressantes.
Dans la version vulgaire des faits de la vie, on dit que l’homme pénètre la femme. Mais ne pourrait-on pas dire aussi que la femme « entoure » l’homme ?
j'ai beaucoup aimé, il y a de l'humour et je le rapproche du meilleur des mondes de Huxley