Un livre comme une démonstration de crochets du droit.
Bien que sonnée toutes les trois pages, me coucher était exclu.
Hervé Mestron nous entraîne dans un futur possiblement proche. L'économie souterraine a changé son fusil d'épaule, la sécurité peine à recruter ses agents. Quant à la prison, elle bousille toujours autant.
Si j'ai découvert Ziz dans
Cendres de Marbella, Gardien du temple peut, sans problème, être dévoré indépendamment.
Une lecture qui continue de cogner dans ma tête…