Nous voilà partis dans une petite ville, en compagnie d'une jeune femme qui a décidé de quitter la capitale pour retourner dans la ville où elle a grandis, dans la grande maison familiale.
Elle décide d'y ouvrir une maison d'hôte tout en faisant des recherches sur la terrible histoire de la bête du Gévaudan et ses horribles crimes.
Tout le long du livre, nous voyageons entre le présent (2018), nous permettant de suivre les recherches de Faustine (notre personnage principal), et les crimes et autres faits divers concernant la bête.
Très simple à suivre, je n'ai pas eu du mal à situé le récit que ce soit le présent ou le passé.
Les crimes de la bête sont détaillées à souhait, rien a redire.
Pas mal de retournements de situation ne nous laisse pas le temps de faire notre propre avis ce qui nous procure une immense surprise à la fin !
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Ce roman revisite la mystérieuse et fascinante affaire de la bête du Gévaudan en lui donnant une version moderne et contemporaine.
La bête du Gévaudan est considérée parfois comme une légende ou un mythe. Les nombreux auteurs qui se sont intéressés à cette histoire lui ont conféré un côté fantastique ou extraordinaire. Pourtant, cette créature était bien réelle. Les nombreux documents d'époque tels que les registres paroissiaux et les correspondances ainsi que les témoignages des personnes l'ayant vue attestent que la bête du Gévaudan a bien existé. de 1764 à 1767, elle tua une centaine de femmes et d'enfants dans la province du Gévaudan qui correspond à peu près à la Lozère actuelle. La terreur de la population obligea les autorités locales et régionales à prendre des mesures pour se débarrasser de ce fléau : pièges, battues, prières… D'un simple fait divers, la bête devint rapidement une affaire d'État. Ridiculisé par la presse, le roi Louis XV finit par envoyer ses hommes.
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