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4,13

sur 6725 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Encore un bouquin après "il était 2 fois trouvé chez un bouquiniste " lui aussi , très heureusement à petit prix . Un énorme pavé de 725 pages comme beaucoup dans le genre , les auteurs seraient t - ils payés à la ligne comme les feuilletonistes du XIX° ( bonjour M. Ponson du Terrail et votre Rocambole ) Bref j 'ai lâché prise à la 198° page de mise en place ,car à part le découpage en steak d ' un pur sang ( original me semblait -il mais bof ) .Il ne se passe pas grand chose HAAA pardon si ! L'étalage des émotions et de la vie intimes de 3 ou 4 personnages car il en est inexorablement ainsi depuis un temps certain et au delà dans le futur ,impossible d'éviter la visite chez le ou les psy le moindre assassin est un tueur en série, pervers obsédé un vrai délice du genre humain , les héros perclus de complexes sont astreints à déposer sur le coin du bureau de tonton Sigmund leur cerveau sclérosés et leur appareil reproductif ,peu importe la marque mâle ou femelle , plus ou moins fonctionnels et pensants .Le cerveaux bien sûr pas leur sexe .......quoique pour certains .Bref adieu les fines dentelles de mamie Agatha .les déductions surréalistes de mon pote Sherlock Adieu aussi les Marlow, les Lemmy Cautions ainsi va le crime littéraire Je suis un vieux croûton passéiste , boomer , toussah toussah mais je préfère un bon scénario a un scanner cérébral ou une description baveuse d'autopsie .Sur la 4° de couverture un journaliste critique d un quotidien à doctement énoncé "Retenez bien ce nom Bernard Minier " Je vais même le noter pour ne plus acheter sa production et comme dans une pub pour un site de livraison de produits ( plus ou moins ) alimentaires " ne surtout pas partager .
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Minier Bernard, - "glacé" - XO-éditions, 2011 (ISBN 978-2266219976) – Prix Polar du festival de Cognac en 2011.

Je l'avais acheté d'une part en raison d'une thématique autre que parisienne (ce qui n'est pas si fréquent dans la doulce France étroitement germanopratine), d'autre part au vu du «Prix du meilleur roman français ou francophone» attribué au Festival Polar de Cognac en 2011.

Las ! C'est vraiment mauvais : une intrigue invraisemblable, une écriture calamiteuse, un suspense inexistant en raison des clichés à répétition, des personnages sans caractère…
Mais ce n'est qu'un premier roman, il est permis d'espérer que l'auteur s'améliore.
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Est-ce bien utile aujourd'hui d'ajouter une critique, en octobre 2015 pour un roman publié en 2012... Je l'avais acheté il y a 6 mois sur la base de quelques critiques dithyrambiques, et me le gardais pour une période de détente.

J'ai été accroché dans les premières pages par la situation très intrigante, par le décor plutôt bien planté, par les personnages qui dignes d'intérêt. Et puis patatras, l'histoire s'englue dans une totale invraisemblance et l'auteur fait appel à toutes les grosses ficelles du polar de base pour "faire genre" comme disent les jeunes. Et puis le style n'a rien de remarquable, les descriptions répétitives, certaines digressions inutiles, le roman pourrait être dégraissé de 100 pages.

Bref, je suis allé jusqu'au bout malgré tout, mais avec un désintérêt croissant.

Pourquoi faire de la surenchère dans les situations abracadabrantes, dans les coïncidences, dans les ratages au mauvais moments, alors que la tension de l'histoire et l'attention du lecteur peuvent être obtenues avec des situations plus simples, cohérentes donc crédibles, des situations dans lesquelles le lecteur peut imaginer se trouver ? On pourrait la très longue liste des comportements illogiques ou irréalistes des personnages.

Si on veut faire un polar réaliste, il faut être extrêmement sérieux et rigoureux sur tous les plans : techniques, physiques, psychologiques, documentaires, temporels, spatiaux... Pour donner un seul exemple, ici le comportement du coupable est absurde, et du coup tout l'édifice se retrouve par terre. Finalement les promesses du début ne sont pas tenues, ce polar satisfera les lecteurs très peu exigeants. Comme certains l'ont remarqué, on peut se demander parfois comment sont attribués les prix... le polar n'est pas un genre mineur, et les jurys devraient être plus perspicaces.

L'expression qui m'est venue en cours de lecture, c'est un polar de montagne qui accouche d'une souris !
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Le livre ne tient pas ses promesses. Je le trouve même incohérent. Il cherche à accrocher le lecteur de façon très vulgaire et racoleuse. Les fans de polars sont très faciles à berner.

On nous décrit tout d'abord l'institut comme un endroit sordide dans lequel séjournent des cas monstrueux. L'auteur insiste beaucoup là dessus dans les premières pages pour créer le malaise et donner une dimension " terrible " à l'institut et aux patients de la Zone A.
On se rend compte au final qu'il sert juste de décor, il n'a aucun intérêt. Les patients qui y séjournent? Ils sont inexistants. On n'en parle jamais.
Ce lieu a pour seul utilité d'introduire le personnage de la psychologue qui, elle aussi, ne sert à rien. J'ai rarement vu un personnage central aussi mal exploité.

Les ficelles sont trop grosses pour des lecteurs avertis ; la fausse piste qui mène sur le faux coupable, la psychologue qui trouve l'identité du coupable de son cul, la caricature des flics beaufs, le faux ami qui retourne sa veste et montre son vrai visage, etc.

Même les coupables des viols, à aucun moment l'auteur ne les exploite. On ne sait rien sur leurs motivations ni sur leurs relations.

L'auteur fait l'impasse sur ça et accouche sur des rebondissement ridicules.

C'est un condensé de clichés. La fin est ridicule.
J'ai mis une étoile pour Samira Chung habillée comme si c'était Halloween tous les jours.
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C'est un libraire qui m'avait conseillé de lire ce livre lorsque j'étais à la recherche d'un bon voir très bon Thriller.

Par après je me demande si lui même avait lu ce livre.

Pour être honnête je me suis ennuyé lors de la lecture. Un scénario tiré par les cheveux, des personnages remplis de cliché... bref pas du tout un livre pour moi.
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Si l'histoire de "Glacé" est tirée par les cheveux, l'intrigue aurait pu, quant à elle, être résolue bien plus tôt si l'enquête n'avait pas été si bâclée. Les personnages sont sinon stéréotypés (la femme-flic courageuse, le héros tourmenté par son passé, l'homme d'affaire sans scrupules), surtout peu crédibles (les agents des forces de l'ordre portent des piercings et s'habillent comme des adolescents en chaleur), les flics écoutent Mahler et causent latin, les psychopathes font "baisser les yeux" des gentils tellement leur regard est noir et pénétrant). L'auteur est coupable de remplissage : ainsi, de lourdes répétitions (chaque personnage est décrit par le nouveau personnage qu'il rencontre) émaillent son oeuvre, à tel point qu'elle aurait pu être amputée des 3/4. Enfin, le ton grandiloquent (on ne compte plus les formules telles que "bienvenue en enfer" dès que le quartier des psychopathes les plus dangereux est évoqué) - dont l'auteur a lui-même conscience mais qu'il impute maladroitement à ses personnages - achève de gâcher la lecture. Une question se pose: sur quels critères sont donc attribués les prix décernés à ce roman?
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Je suis déçue par ce roman, je l'ai trouvé trop lent. Il me manquait un "je ne sais quoi" pour être emballé par l'histoire. L'écriture ne me gênait pas mais je la trouvais un peu trop lente. Je pense que c'est un manque de fluidité qui m'a perturbé dans cette lecture.
J'essaierai un autre roman de l'auteur. C'est peut être le moment qui ne me convenait pas.
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Personnellement, je dois avouer que je n'ai pas lu ce livre jusqu'à la fin, donc ma critique ne portera que sur les 100 premières pages.
Vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout aimé ce livre. Je l'ai trouvé mal écrit, bourré de clichés, sans aucune originalité, et, le comble pour un thriller, ennuyeux à mourir. Une histoire de flic qui enquête sur un cheval mort... Quel intérêt ? J'ai un peu de mal à comprendre le succès de ce roman. En tout cas, je ne lirai pas les autres titres de cet auteur...
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pas pu dépasser la moitié tellement je m'ennuyais ! trop, c'est trop et bizarrement cela ne fait même pas peur...ni ne provoque d'ailleurs aucune autre émotion !
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malheureusement je me suis perdue avec ce livre.Je n ai pu le finir dommage ,trop fouillis peut etre
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