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sur 1322 notes
SpoilersRien ne va. le bingo du thriller de mauvaise qualité. On tourne en rond. Quand les écrivains évolueront ? Jamais- Trope hôpital psychiatrique- La psychophobie habituelle- le mystere du gars disparu d'une pièce sans aucune trace- Les meurtres décrits comme 'j'ai jamais vu un truc pareil' par les flics & cie- le thème des films d'horreurs en surfant sur l'idée que ils sont pas bien nets ceux qui produisent ça- Les méchants vraiement méchants avec tete de vampire, c'est gratuit- le cliché sur le diable - le flic qui ne dort pas et ne mange pas, qui refuse de se faire soigner meme sil vient de se faire couper un doigt et qu'il a 112 côtes cassées, et qui préfère aller seul chez le tueur présumé, parce que je suis un bonhomme moi- Enquêter seul sans aucun respect des regles et des lois parce que flemme, on est dans un livre et il faut du suspens les gars- le cliché des cochons pour faire disparaître les corps : vu et revu- Les remarques mysogines: "fliquette", elle est moche mais magnétique, le cliché de la meuf gothique qu'on veut baiser même si elle est moche juste parce qu'elle est bizarre- La fausse fin où le serial killer enfermé depuis 91 tomes avant parvient à s'évader : on va donc tourner en rond longtemps comme ça ? C'est vrai que tout n'était déjà pas du réchauffé... manque d'imagination intergalactique- le coup de 'on fait passer quelqu'un pour le méchant avec des sabots tellement gros que même hagrid pourrait y mettre 50 fois c'est pieds, et qu'à la fin on nous révèle que c'est sa meuf la méchante- le mobile ésotérique qui sort du chapeau, c'est gratuit- Tout se mélange tellement qu'on a l'impression que l'auteur n'a pas su quoi écrire ni quels thèmes aborder. C'est déconstruit, inintéressant, irréaliste. - Faire 42 allers retours en avions, conduire la bagnole à fond à l'heure parce que l'écologie, c'est pour les faibles- le cliché du flic obsédé par son travail et jaloux de sa meuf mais qui se gene pas de laisser son morveux chez les voisins pendant 1 semaine- le meme vocabulaire cliché qui revient sans arret : cuisiner, baveux, vous allez passer ça au peigne fin etc- le secret médical du psychiatre ? Connait pas. On y va et il déblatère 120pages de diagnostics et d'historique d'une patiente- Consulter un psychologue apres avoir eu son collègue retrouvé dans une fosse à cochons ? Hors de questions. Parce que... c'est un trope livresque voyons, j'aime souffrir et je suis un vrai bonhomme, vous avez oublié ?On prend sans cesse les memes ingrédients et on met ça dans le shaker = ça donne un roman par année. Fade. Réchauffé. J'ai rien contre les plats préparés mais tout le monde sait que oui cest rapide à préparer mais c'est mauvais pour la santé.
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Huitième et ultime roman, pour le moment, de la série Martin Servaz que j'ai refermé 24h après l'avoir commencé.

Une magnifique édition collector avec couverture changeante en fonction de la luminosité et cet oeil… 😨

J'avais hâte de le lire mais j'étais tout autant dans l'appréhension de le terminer et de ne plus avoir de suite sous la main. Eh oui parce que @bernardminier a prévu la suite en 2025.
J'envie ceux qui n'ont pas encore rencontré ces personnages !

Bon, assez parlé !
Ce roman nous plonge dans l'univers du cinéma d'horreur avec dès le départ les confessions d'un malade et un meurtre atroce.

Des histoires se succèdent, toutes liées à ce monde et progressivement le puzzle commence à prendre forme.

Bien sûr Servaz est de la partie et même si j'ai déploré une présence peu importante pendant le premier tiers du roman - un peu comme s'il faisait partie d'une des histoires - l'auteur lui a rendu sa place. Dès lors ce ne fut plus qu'une succession de découvertes, de questionnements et d'urgences !

Encore une fois j'ai stressé pour Servaz qui n'a pas été ménagé. Loin de là dans ce roman. Et puis il y a eu ce chapitre qui a agi comme un mur alors que j'arrivais à pleine vitesse. Choc frontal.
J'ai été sonnée pendant dix bonnes minutes avant de pouvoir reprendre ma lecture. Ce passage me marquera, c'est certain.

À travers ce roman nous entrons dans un milieu très particulier avec des histoires chargées de mystère. Même si certaines images sont explicites parce que la situation l'exige, le reste est si bien écrit que le mystère est distillé. L'auteur suggère et notre cerveau fait le reste.
Quelle fin ! À très vite cher Martin ! ♥️
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J'avoue, la couverture est tellement réussie, que j'ai lu cette dernière enquête de Servaz alors que deux autres sont encore dans ma PAL.
Ce livre est un très bel objet.

Pour ce qu'il est de l'histoire, disons que la première moitié du livre m'a semblée vraiment très longue. Ce que j'aime ce sont les enquêtes et cette formidable équipe d'enquêteurs. Or c'est tout juste si on les aperçoit.

Donc très longue et très documentée mise en place. Bon, selon moi, qui n'éprouve aucune curiosité pour les films d'horreur, cela ne m'a fait aucun effet sauf de l'ennui. Mais comme toujours, c'est très bien réalisé. Était-ce nécessaire d'étaler cela sur 250 pages...? Certains fans du genre trouveront toujours matière à critiquer. Pour les autres, cela donne des dialogues "savants", ok, mais pfft...

Je me suis demandé si l'auteur n'en avait pas marre de ses enquêteurs.

Heureusement la dernière moitié est formidable ! de l'horreur certes, mais de la vraie, réaliste. du grand art.

On apprend des choses très intéressantes sur une pathologie proche de la schizophrénie.
Les fans de l'équipe d'enquêteurs, ceux qui les aiment d'amour, vont souffrir.

J'ai donc du rattrapage à faire, avec Nuit et Une putain d'histoire.
Lucia, je n'avais pas accroché et j'avais abandonné. Faudrait que je retente. Mais moi je suis de la team Servaz.

RÉSUMÉ @babelio_

Dans les montagnes, retiré du monde, un réalisateur de films d'horreur, Morbus Delacroix. Culte, misanthrope, fou. Parmi ses fans, une étudiante en cinéma. Fascinée, intrépide, inconsciente.
À Toulouse, un as des effets spéciaux est retrouvé mort, ligoté sur un lit d'hôpital. Et si ce meurtre trouvait sa source dans un film maudit ?
Pour le commandant Martin Servaz, peut-être la plus grande énigme de sa carrière...
CET OeIL DANS LA NUIT N'A PAS FINI DE VOUS FIXER
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Ouvrir un livre de Bernard Minier, c'est une lecture contre-la-montre, impossible pour moi de le lâcher !
En un week-end c'était bouclée tant elle a été addictive, à chaque fin de chapitre, il fallait que je commence le suivant…

Nous retrouvons avec plaisir notre Commandant Martin Servaz, 53 ans dans cette nouvelle enquête.
Une enquête peu ordinaire puisque cette fois-ci nous allons dans les recoins obscurs de l'horreur cinématographique.
Nous suivons bien sûr le Commandant avec son équipe de toujours, Vincent Espérandieu et Samira Cheung, mais nous suivons aussi une jeune étudiante, Judith, voulant faire une thèse sur le grand réalisateur de film d'horreur, Morbus Delacroix, complètement obnubilée par lui.

C'est un roman bouleversant, ce tome est clairement saisissant.
Ce que j'adore avec Minier, c'est qu'il fait toujours des recherches incroyables pour ses romans, il ne laisse aucuns détails de côté, ce qui fait que ses récits sont si réalistes et prenants.

Par contre je n'ai pu m'empêcher de ressentir un petit pincement au coeur concernant le petit Gustav, si seul, en colère forcément, et pourtant personne ne le comprend, personne ne lui vient en aide… Déjà dans les autres tomes, j'étais en colère contre Martin. Décidément, l'éducation paternelle est vraiment à revoir !

La fin est drôlement frustrante, ce qui va nous obliger à nous jeter sur les étalages des librairies à la sortie du Tome 9 !!

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Dans les montagnes, retiré du monde, un réalisateur de films d'horreur, Morbus Delacroix. Culte, misanthrope, fou. Parmi ses fans, une étudiante en cinéma. Fascinée, intrépide, inconsciente. À Toulouse, un as des effets spéciaux est retrouvé mort, ligoté sur un lit d'hôpital. Et si ce meurtre trouvait sa source dans un film maudit ?

Cela va faire la huitième fois que je continue de poursuivre les aventures du commandant Servaz, j'ai un attachement particulier pour ce personnage, et c'est toujours un plaisir de le retrouver.

Un récit qui tourne autour du cinéma, et j'avoue que généralement, j'ai rarement peur dans mes lectures, mais là parfois, il m'a fait flipper, il y a des scènes qui sont bourrées d'angoisse. Ce n'est pas pour me déplaire, c'est agréable d'avoir peur surtout dans un thriller.

Cela se lit très bien, en plus j'ai adoré le clin d'oeil qui a fait à un autre personnage d'une saga célèbre, qui fait une apparition, c'était vraiment fin, et j'ai trouvé cela excellent.

L'investigation est prenante et on ne s'en lasse pas, et pour une fin incroyable qu'on a envie d'avoir le suivant entre les mains, malheureusement va falloir attendre deux ans, car l'auteur a l'habitude de publier un one shot après un volet de la saga de Servaz. Et ça va être long.

Je trouve que ce volet est réellement excellent, extrêmement addictif, mais notamment une intrigue qui va à cent à l'heure avec des soupçons d'angoisse, alors envie juste de dire une chose : vive le suivant.

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Lu durant l'été 2023

LE RETOUR DE MARTIN SERVAZ

Je n'osais pas l'espérer, je pensais vraiment que Bernard Minier en avait fini avec lui, donc j'étais joie bonheur quand j'ai appris son retour. J'ai même réussi à attendre le début de l'été pour le savourer tranquillement…en vrai non, je n'en ai fait qu'une bouchée !!!

Il faut me comprendre aussi : le retour de Martin + sur le thème des films d'horreur, pouvait-on rêver d'un meilleur retour ?

J'ai déjà écrit beaucoup sur le style de Bernard Minier, je l'adore depuis plus d'une décennie, j'adore son style, son univers, ses personnages, je suis conquise à chaque fois et à chaque fois j'y retourne avec le plus grands des plaisirs.

Dans ce roman, Minier ne va pas ménager son lecteur ( l'a-t-il déjà fait ?)…vous êtes prévenus, vous n'en ressortirez pas indemne !! Ses lecteurs ont voulu le retour de Martin Servaz…ok mais vous allez souffrir en retour. J'avoue que j'ai vécu ma lecture un peu comme ça .

Mais il y a aussi plusieurs clin d'oeil, à tous les tomes de la saga, et pleins de référence au monde du thriller français qui vont ravir les fans.

BREF…UN RETOUR QUI N'EST PAS SANS CONSÉQUENCES NI POUR MARTIN NI POUR LES LECTEURS #traumatisme
Lien : https://lireetcourir.com/202..
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Offert par une grande amie (elle me connait par coeur...), le dernier thriller de Bernard Minier nous embarque cette fois dans l'univers très glauque du cinéma et des films d'horreur. Que dire, quand on est une grande fan de son écriture? Quand on s'est attaché au commandant Servaz et à son équipe? L'auteur ne fait jamais dans la dentelle et ne nous ménagera pas dans cette enquête sinon la plus grande, en tout cas, émotionnellement, très dure pour lui ( et pour nous...)

Étant du Gers, le nom d'un certain hôpital psychiatrique m'a arraché un sourire ainsi que le clin d'oeil à un autre de mes auteurs favoris...

L'écrivain a accompli un grand travail de recherche dans le milieu horrifique du cinéma et cela se ressent tout au long de ce livre.

Et pour terminer ce retour de lecture, les derniers mots de ce thriller sans aucun temps mort m'ont laissée pantoise, et tellement impatiente de retrouver Martin Servaz et ses enquêteurs!
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L'auteur nous propulse dans l'univers du cinéma. Vous pensez strass et paillettes ? Détrompez-vous puisqu'il s'agit cette fois-ci du cinéma d'horreur ! Toute l'intrigue va pivoter autour de Morbus Delacroix, réalisateur de cinq films d'horreur qui ont défrayé la chronique à leur sortie mais qui sont devenus cultes pour les fans. Depuis, sa femme Artemisia et lui vivent loin du monde du cinéma, retirés à la montagne dans leur somptueuse propriété. Une jeune étudiante en cinéma va réussir miraculeusement à obtenir une interview tout en étant hébergée quelques jours chez eux. Ne croyez pas que le piège se referme ici... Ce n'est en fait qu'une pièce d'un engrenage à grande échelle ! Quel est donc le lien avec la mort à Toulouse d'un spécialiste des effets spéciaux alors qu'il était ligoté sur son lit d'hôpital ? le commandant Martin Servaz ne sait plus où donner de la tête. Il risque de ne pas ressortir indemne de cette enquête.

Je ne connaissais pas spécialement Bernard Minier et ce livre a été l'occasion de faire connaissance. Je n'ai pas été embarqué par cette ambiance particulière, surtout au début du roman, même si la qualité de la plume et la maîtrise du thriller ne sont plus à démontrer. L'intrigue est dense et je n'ai jamais pu deviner où l'auteur allait m'emmener. En revanche, j'ai particulièrement apprécié la seconde partie du livre que j'ai trouvé moins centrée sur Delacroix et plus tournée vers l'enquête et les autres personnages. Les forces de l'ordre y sont malmenées et devront en payer le prix fort. Mais attention, âmes sensibles s'abstenir !

Hugues Martel fait ici un travail remarquable dans la lecture du livre donnant à sa voix de nombreuses intonations en fonction des personnages et de la tension associée. Je n'ai quand même pas été totalement embarqué, me perdant parfois entre les différents protagonistes. Ces presque douze heures d'écoute ont été un vrai voyage dans l'horreur et cette voix y a largement participé.
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Quelle joie de retrouver Martin Servaz et son équipe... Mais c'est de courte durée. Ils vont à la rencontre du cinéma de l'horreur et on n'est pas déçu par les nombreuses scènes de crime. C'est glauque, sanglant, pervers... Et malgré tout addictif. La fin est insoutenable. Vivement le prochain tome !
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Pour moi de très loin pas le meilleur de Bernard Minier : une sensation de déjà lu qui ne l'a pas lâché tout au long de ma lecture … des longueurs, je n'ai pas été emportée par la narration, ni même l'histoire et l'intrigue, le rythme lent sans aucun relief
Tout tourne autour de film d'horreur ou plus exactement de snuff movie ( c'est juste l'horreur)
Même la mort d'un de ses proches n'a pas eu l'effet escompté … très étrange cette sensation de lecture

Je relirai avec grand plaisir Bernard Minier car ces romans ont toujours eu l'effet d'un page Turner mais pas cette fois ci :/
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