Tel est l’Élément Réel (Dharmadhâtu), l’absolu paré de toutes les perfections, que Mipham nous semble concevoir sans aucune trace de ce réalisme propre à la doctrine dite du «vide extrinsèque » (Shentong), si populaire, à l’époque moderne, dans l’école Kagyü du bouddhisme tibétain.