Mes rêves me sont venus en marchant. Chaque pas me menait vers ma construction féerique. Mon autre moi. Le vrai. Celui qui m'a été inspiré par la nature.
Marche et ne te retourne pas.
les larmes étaient devenues des couteaux .et les caresses une brulure.
Rêver n'empêche pas d'être heureux. Il faut juste y puiser le plaisir de pouvoir imaginer mille choses, et tenter de réaliser ce qui nous tient le plus à cœur, tout en sachant que l'essentiel n'est pas d'y arriver, mais d'essayer. Nos fantasmes et nos désirs doivent nous donner des ailes, sinon ils nous détruisent à petit feu parce qu'ils nous rongent. Rien de pire que d'être frustrés !
Quels que soient les malheurs que tu traverses, il y a toujours un moment où tu retrouves des petits bonheurs. Même s’ils sont de courte durée, ils te donnent la force de continuer ton chemin si tu sais les voir et les apprécier.
Parce que l’image qu’on donne de soi, c’est celle que les autres nous renvoient. Elle nous insuffle de la force. Le reflet. Rien que ça. Une illusion qui fait du bien. Alors autant qu’elle soit belle.
Un rêve de gosse. Comme de jouer à Don Quichotte partant combattre les moulins à vent sur son cheval ! Ma Rossinante à moi, c'était ma brouette. Lui, il avait Sancho Pança, son fidèle serviteur ; moi j'avais la foi et ma brouette.
Cette oeuvre magistrale échappe au temps et n'appartient à aucune époque. Elle relève tout à la fois d'un exemple d'art total et d'une oeuvre de solitude extrême. Ce lieu ne s'inscrit dans aucune règle. Il doit être regardé comme un poème ou une oeuvre d'art. (p.20)
Je suis de ceux qui marchent sur un fil. Celui du doute constant. D'un côté la lumière, de l'autre, l'abîme infini.
Etre comme un sourire qui passe. Parce que c'est quand même le plus beau cadeau que l'on puisse faire. Que reste-t-il de nous quand nous ne sommes plus là, sinon le souvenir d'un coeur qui a donné plein d'amour ? Le reste n'est que du vent.
Nous ne sommes pas responsables des coups du sort, mais nous sommes responsables de ce que nous en faisons.