AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,39

sur 83 notes
5
3 avis
4
17 avis
3
6 avis
2
2 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  

Confession de Richard Montanari est un polar qui se passe à Philadelphie ville de l'amour fraternel, j'ajoute un lien qui explique l'origine de cette appellation pour cette ville (http://america.blogs.liberation.fr/2009/03/20/violences-phila/).


Pour le roman policier que présente l'auteur il n'y a rien de fraternel, un quartier dur comme la plupart des villes du monde et qui s'embourgeoise comme la plupart des villes de l'occident. Deux malfrats Sean et Patrick Farren s'inspire du carré de Sator pour vaincre une malédiction familiale. Peut-être que je lis trop de polar mais celui-ci même si la trame et l'action est digne d'un scénario hollywoodien un nuage ennuyant semblait être présent vers la moitié du bouquin et cela jusqu'à la fin. Pourtant c'est un de mes auteurs fétiche.
Commenter  J’apprécie          131

Je ne suis pas une lectrice assidue de romans policiers, mais parfois j'en chipe un sur une autre table de chevet histoire de changer de genre, et je ne marche qu'au « ressenti » .
J'ai été emballée par les 100 premières pages, ensuite l'intrigue m'a lâchée parfois, il ne faut pas être fatigué , et ne pas trop laisser reposer le livre, au risque de se perdre.
Philadelphie en 1976, 4 copains admirent le feu d'artifice, un meurtre est commis , un autre quelques jours plus tard.
En 2016, l'un des gamins est inspecteur de police , un autre juge quasi procureur, une série de meurtres leur tombent sur le dos.
Plus l'enquête avance, plus le policier sent se rapprocher cette période du passé .
Jusqu'au bout ,j'ai marché sur de fausses pistes, l'intrigue est efficace, impeccable, mais il m'a fallu relire les derniers chapitres pour tout comprendre.
Mécanique implacable, lectrice peu expérimentée aux rouages des livres policiers.
Commenter  J’apprécie          103
"la putain de rivière", la putain de question", "la putain d'erreur", cette putain de chance", "la putain de croissance"... pas de doute, on y est, c'est pas du Ronsard, c'est de l'Amerloc, dirait Nougaro...
Je ne sait pas s'ils parlent tous comme ça, mais c'est ce que tendent à nous montrer la littérature, et les films.

Comme beaucoup, j'ai été captivé par le début, ensuite j'ai tenu difficilement le coup jusqu'à la fin, nonobstant le nombre des personnages.
- le coup du carré SATOR AREPO... ne suffit pas à classer ce livre en "ésotérique" ! M'enfin !

Il paraît que ce livre a été élu meilleur thriller de l'année... Qui donc a voté ?? Quels étaient les autres bouquins en lice ??
Commenter  J’apprécie          50
"Boaf" aurais-je envie de dire suite à cette lecture....
Un roman pas trop prise de tête, très bien pour un voyage en train.
Sinon j'ai plutôt été déçue....


En fait j'avais adoré la série de Wallender ou des Erlendur. Je recherche désespérément des polars de cette tenue. Je cherche en vain.... Cette "Confession" sera à ajouter à ma liste des "boaf". Premier roman de cet auteur, et dernier a priori.
Commenter  J’apprécie          50
En parcourant les différentes critiques glanées sur la toile, je n'en n'ai pas trouvé qui décrivaient ce thriller de façon négative. Je ne vais m'y atteler personnellement mais je ne vais pas non plus élever ce roman sur un piédestal. L'intrigue est bien ficelée, pleine de rebondissements et l'écriture est fluide. L'auteur a cette faculté de nous tenir en haleine aux moyens de révélations surprenantes. L'idée d'affubler le meurtrier d'une affection très peu exploitée dont la majorité des lecteurs ignore sa nature relève du génie (prosopagnosie). En rajoutant un élément ésotérique (carré Sator), certes quelque peu détourné de sa véritable signification, la trame est amplifiée. Néanmoins, je ne suis pas trop adepte de la narration saccadée ou s'enchainent enquête, flash-back et perspectives du meurtrier. le suspense s'en retrouve quelque peu écorné. L'introduction d'une multitude de personnages n'arrange pas les choses et exhausse un sentiment de satiété. J'ai passé un bon moment mais reste sur un goût amer. Elu meilleur thriller de l'année par le New York Times, je ne me précipiterai pas tout de suite sur les challenger…
Commenter  J’apprécie          20
Confession est le premier thriller de 2018 que j'ai lu, et je n'attendais rien de ce livre, je n'avais même pas lu le résumé, je faisais confiance à la maison d'édition!

J'ai été embarquée dans les années 70 et cela m'a tout de suite plu. J'avais même l'impression d'être dans un Stephen King, avec cette bande de gamins qui veulent être les rois du monde, une ville complexe et dangereuse, des clans dont il vaut mieux ne pas trop savoir ce qu'ils mijotent, une bonne ambiance sombre… Je ne connais pas du tout Richard Montanari et j'ai donc découvert son style avec ce roman.

C'est précis, la plupart du temps tout est très bien écrit (bravo à la traduction) et l'auteur met en place des éléments clés de son histoire qui (les habitués de thrillers savent que ces moments phares seront retrouvés plus tard) au fil du temps vont prendre de plus en plus d'importance. Les chapitres sont courts ce qui donne encore plus envie de connaître la suite.

Kevin Byrne est un personnage assez banal, je n'ai pas grand-chose à dire sur lui car je ne me suis pas vraiment attachée à lui, mais pour une fois ce n'est pas grave, du moins ça ne l'a pas été pour moi car c'est vraiment le fond de l'histoire qui importe dans ce roman. D'un point de vue positif, j'ai adoré les voyages dans le temps entre 2015, 1975, 1943, cela donne du rythme et on ne voit pas les pages passées. En revanche, là où ça a coincé pour moi c'est au niveau des personnages…beaucoup…trop… de personnages…. Jusqu'à ce dire que si on délaisse le livre trop longtemps, on va perdre le fil.

Vers la moitié du bouquin, je me suis perdue, et je m'en suis voulu car c'est vraiment un livre prenant! Il y a beaucoup d'actions, et de retournements de situation, on sent que l'auteur à une sacré maturité pour réussir à jongler entre tous ces personnages et il maitrise parfaitement son histoire. Alors quoi? C'était peut-être trop dense pour moi, trop complexe. Lorsque l'élément clé de l'histoire, le moment révélateur de ce qui va se passer, fait son apparition, j'ai eu un « élan » d'attention, j'ai beaucoup aimé, puis le soufflet est retombé, mais encore une fois, pas à cause du roman, mais à cause du fait que j'avais besoin de quelque chose de plus direct, peut-être de moins de détails… C'est un peu paradoxal je sais.

Au fur et à mesure du roman, les chapitres deviennent de plus en plus courts, on croit connaître le fin mot de l'histoire, mais en fait non, l'auteur s'amuse un peu plus avec son lecteur. Je ne mettrais pas ce livre dans la catégorie thriller, plutôt policier, car clairement je n'ai pas ressenti l'oppression que l'on peut avoir dans un thriller, mais ce n'est que mon humble avis…
Commenter  J’apprécie          20


Lecteurs (379) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2873 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}