Margaux Motin nous montre que être belle au quotidien est un calvaire inapprécié des gens pour lesquels elle le fait. (proches, ou inconnus)
Et que pour ça, ça passe par un corps avec des formes surtout à la poitrine avec en plus des chaussures à talons pour mettre en valeur ses longues jambes et lui faire gagner de la hauteur.... Mais pas en intelligence. Un zombie n'y aurait pas trouvé de quoi grignoter.
Ne me dite pas que ce genre de personne "femme moderne" reflète la "majorité" :
grossière (surtout devant sa fille ). À toujours raisons même quand elle a tord. Inconsciente. Immature...
Mais sa grossièreté est appréciée à certains moments pour calmer les hommes qui dégradent l'image de la femme.
Les dessins sont bien faits, mais cette mise en forme qui " non cadré " ça donne l'impression que les personnages ont été collé sur une feuille blanche, laissant des vides énormes.