Nos coeurs à l'horizon

J'ai envie de légèreté en ce début d'année et ce roman a parfaitement répondu à mes attentes. Littérature sentimental ? je ne crois pas ou alors de la bonne. Car oui, la base est une histoire d'amour, mais il y a surtout une bonne galerie de personnages qui m'a entrainé sans aucun ennui jusqu'à la fin. Deux parties : les années 1950 dans une bourgade côtière de l'Angleterre, encore pétrie de préjugés. le bon docteur Holden accepte de prendre chez lui Lottie qui a fuit Londres et sa mère. Elle est l'amie très proche de la belle Célia. Toutes les deux un peu rebelles vont être éblouies par une bande d'artistes si différents de leurs parents, des artistes qui habitent Arcadia, la plus belle maison de la ville, des artistes qui vivent librement et passionnément. Et puis, le scandale et puis... le tempérament de feu de Lottie, je n'en dirais pas plus. Ensuite, nous sommes de nos jours avec Daisy, décoratrice d'intérieurs, qui doit rénover Arcadia. Daisy avec un bébé sur les bras, au sens propre, car le père a eu peur sa paternité, et puis bien sûr, le passé qui revient. Ce n'est pas gnangnan, c'est bien construit. bref, un livre qui m'a scotchée à mon fauteuil, sourire au lèvres et même si ce n'est pas de la Littérature, ma foi, je ne bouderais certainement pas le plaisir que j'ai eu.

Je ne savais pas que le livre avait été "renommé" entre-temps, je trouvais ça étonnant de ne pas retrouver "arcadia hotel" sur Babelio ! M'enfin quelle idée !

Après quelle importance... les cent premières pages sont lourdes, voire presqu'indigeste, c'est un fouillis de personnages, tous aussi désagréables les uns après les autres. On devine au fil des pages une peinture des moeurs de l'époque et un fil rouge qui se dessine tout timidement, mais c'est long cent pages pour à peine entr'apercevoir un bout de ce fil. Je m'arrête là, ayant pour habitude de faire ce test des 100 pages et si je ne le sens pas, de ne pas continuer. Une seconde chance lui sera peut-être donnée dans quelques années, qui sait ?

Attention, il s'agit d'une réédition du roman "Arcadia Hotel" paru en 2006 chez J.-C. Lattès.

Comme les superbes motifs Art-Déco, Jojo Moyes tisse habilement les fils du passé et du présent, pour évoquer la restauration d'une belle demeure et la reconstruction de soi. Un joli moment de lecture malgré quelques imperfections.

Comme d'habitude, je me suis laissée emporter par la plume de Jojo Moyes. J'ai aimé découvrir le quotidien de Celia et Lottie, et leurs premiers émois. J'ai aimé le personnage de Daisy et son combat pour se remettre sur pied suite à l'abandon de son conjoint à la naissance de leur bébé. La restauration de la villa va de pair avec la reconstruction intérieure de Daisy et c'est une Daisy lumineuse et sure de ses choix qu'on découvre à l'inauguration de Arcadia House.

Quelques réserves toutefois: Il n'y a pas vraiment de mention explicite de dates dans le roman, et j'avais situé la partie contemporaine vers 2020. J'ai été très perturbée en découvrant ce que certains personnages du passé étaient devenus, car cela ne collait pas du tout avec l'age que je leur avais attribué. En considérant qu'il y a environ 50 ans entre les 2 époques, cela colle mieux. En plus, j'ai trouvé que la fin n'était pas complètement convaincante, et surtout, je n'ai pas compris l'épilogue. Donc petite déception, même si je reste une grande fan de Jojo Moyes!
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Un livre avec un démarrage un peu lent sur les 100 premières pages.
Un fois passé ce cap, l'attachement aux personnages nous donne envie de connaitre la suite.
Certains passages tirent un peu en longueur alors qu'ils devraient plus rapides et d'autres devraient être plus détaillés.
Ce roman nous fait finalement passer un bon moment malgré tout

Première partie très prenante et palpitante bien qu'il faut un peu de temps pour se mettre dans l'histoire. Hélas, la deuxième partie n'est pas à la hauteur et la fin un peu précipitée.
Cela reste tout de même une agréable lecture. Parfait pour passer quelques jours de farniente à la plage ou au bord de la piscine.

Après avoir passé d'excellents moments en compagnie de plusieurs romans de Jojo Moyes, j'ai continué ma découverte de son oeuvre avec Nos coeurs à l'horizon. Malheureusement, ce dernier m'a moins emballée que les autres : j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages et je me perdais dans l'histoire.

Le roman, en deux parties, a pour cadre la station balnéaire de Merham. Dans la première partie, qui se déroule dans les années 50, nous suivons le quotidien de Lottie, une jeune fille accueillie dans la riche famille de son amie Célia, les Holden. Toutes deux sont fascinées par la maison Arcadia, la plus belle maison de la ville, et surtout, par ceux qui y vivent : des artistes anticonformistes, très mal vus par les autres habitants. La seconde partie se déroule 50 ans plus tard avec un nouveau personnage : Daisy a pour mission de rénover de fond en comble Arcadia pour en faire un hôtel. Mais en menant à bien son projet, elle déterre de vieux secrets sur ce qu'il s'est passé dans cette maison, à l'époque de Lottie et Célia…

Comme je vous le disais en introduction, j'ai du mal à m'attacher aux personnages et à les apprécier. J'ai mis du temps à comprendre qui était qui et à ne pas me mélanger les pinceaux, notamment entre les personnages qui vivent à Arcadia. J'ai préféré les personnages dans la seconde partie et notamment Daisy. C'est une maman seule, qui mène de front ses vies professionnelle, amoureuse et de mère avec brio, je l'ai trouvée inspirante !

En ce qui concerne l'intrigue, elle m'a plu mais je l'ai trouvée longue et parfois ennuyante, dans la première partie une fois de plus. Les lenteurs trop nombreuses et ma confusion entre les personnages m'ont empêchée d'apprécier cette première partie et c'est dommage car lorsqu'on arrive au bout du roman, on découvre qu'il y avait des thèmes prometteurs et intéressants à traiter.

C'est la première fois que je ressors très mitigée d'une lecture de Jojo Moyes. Comme on dit, ça ne peut pas marcher à tous les coups ! Mais je continuerai à découvrir les autres romans de l'autrice malgré cette déception.
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Quelle déception que ce livre ! C'est ma première lecture de Jojo Moyes, et j'en garde un goût amer. le résumé était alléchant et l'auteure a un certain talent pour les descriptions, mais l'histoire est écoeurante de drames. Soit cette dame n'a jamais vécu de drame elle-même et ne se rend pas compte de ce qu'elle fait endurer à ses personnages, soit elle pense que ça fera vendre. C'est désolant et très triste de tisser ce genre de récit. A ne pas lire !

Y a pas à dire, dans ce genre là, secret de famille et love story, Jojo Moyes sait y faire ! J'ai passé un très bon moment de lecture, les personnages sont attachants, les romances pas trop gnangnan et comme toujours dans ses romans l'auteru sait jouer avec les allers-retours dans le temps. Je conseille aussi "Le vent nous portera" et "Les yeux de Sophie".

Les romans de Jojo Moyes sont toujours à régal à lire et même si Nos coeurs à l'horizon est un gros pavé de plus de 600 pages, on ne se lasse pas de ce roman en trois parties qui nous permet de découvrir en trois temps des personnages aux horizons différents et en plein doute face à l'amour. L'Arcadia House sera le théâtre de bien des retournements de situations, des jugements , des déceptions et des souffrances mais elle représente aussi l'espoir d'un monde où le bonheur touche tout le monde.

Une fois de plus , je me suis régalée avec ce roman de Jojo Moyes qui sait , comme toujours, nous montrer des histoires réalistes et émouvantes . Au travers de deux époques, nous verrons le destin de ces personnages qui vont traverser des épreuves et tenter d'aller de l'avant avec les moyens dont ils disposent.

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Un pavé difficile au démarrage où cela semble confus. Puis, au fil des pages on se laisse prendre par ce livre qui est une lecture idéale pour les vacances.