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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
le roman débute en 1953 à Hong Kong où un groupe très important d'anglais expatriés assiste au sacre de la reine Elizabeth II.
C'est le début d'une histoire d'amour entre Joy et Edward Ballantyne, un officier de marine irlandais.
de nombreuses années plus tard, on les retrouve en Irlande. Ils sont devenus très vieux, entourés de chiens et de chevaux dans une vieille demeure décrépie avec deux serviteurs.
Leur fille Kate qu'ils n'ont plus vue depuis des années leur envoie sa fille, Sabine afin de pouvoir règler ses problèmes sentimentaux à son aise. Kate vit aussi dans le dénuement.Sabine n'en peut plus de se plier aux règles de vie de sa grand-mère.
Bonjour l'ambiance.
Les jours, les pages se déroulent très lentement. Heureusement que la traduction et les mots sont de grande qualité.
Il existe un secret de famille mais il est lent à faire surface.
Je sais ce qui m'a déplu, c'est que je m'attendais à voir l'évolution de la vie de Joy et Edward petit à petit. Les retrouver vieux et à la fin de leur vie m'a immensément déçue.
"Une douce odeur de pluie" est une réédition d'un roman des débuts de Jojo Moyes. Il manque vraiment d'action.

Challenge pavés 2020
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Une douce odeur de pluie est le premier roman de Jojo Moyes. On s'immisce dans une famille, dans ses non-dits, ses secrets et ses conflits. On découvre trois générations de femmes : Joy, la grand-mère, qui semble de prime abord plus froide qu'un glaçon, Kate, la mère, qui ne sait plus où elle en est dans ses relations amoureuses et Sabine, la fille, une adolescente qui va se retrouver chez sa grand-mère en Irlande, dans un trou paumé, sans téléphone et sans ordinateur.

J'ai commencé cette lecture avec enthousiasme ayant adoré « Avant toi » de cette même auteure. A peine le prologue terminé, qui soit dit en passant m'a semblée durer une éternité, je me suis demandée si je devais rire ou pleurer… Que dire ? C'est des répliques cul-cul et gnan-gnan du genre : « Ma vie est trop nulle, ce garçon est bien trop beau pour moi, je vais pleurer, que va-t-il penser de moi ? mes cheveux sont pleins de noeuds et j'ai oublié ma brosse (ouin-ouin) ». Bref, vous voyez le genre. Au fil de ma lecture, j'ai commencé à apprécier les personnages de Joy et de Sabine mais Kate et ses mièvreries c'est juste pas possible ! J'ai été obligée de lire certains paragraphes en diagonale pour ne pas mourir d'ennui. Les seuls points positifs sont l'Irlande et les chevaux. Que restera-t-il dans mon esprit de cette histoire dans quelques temps ? Rien, assurément. Bien entendu, ce n'est que mon avis et à en juger par les autres critiques qui sont toutes élogieuses, je suis la seule à ne pas avoir aimé !
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Après la joie de découvrir qu'un nouveau roman de Jojo Moyes était sorti, il y a eu la déception de comprendre que c'était la réédition de son premier livre.
Il comporte déjà beaucoup de ses qualités, mais il reste assez inégal.

Une douce odeur de pluie raconte une belle histoire de femmes sur trois générations.
Kate envoie sa fille Sabine passer quelque temps en Irlande chez sa mère Joy, avec qui elle est en froid, notamment pour l'aider à s'occuper de son mari Edward qui est mourant.
La jeune fille a d'abord du mal à s'adapter à cette grand-mère froide et stricte, qui semble préférer les chevaux aux humains, mais elle finit par se plaire dans cette vieille maison humide et par s'attacher à ses grands parents. Elle va également découvrir des secrets de famille en feuilletant de vieux albums, et les trois femmes vont finir par mieux se comprendre et se rapprocher.

Tout au long de la lecture, je suis passée par des hauts et des bas, l'auteur alternant les jolies scènes et les longueurs. J'aurais aimé qu'elle développe certaines idées ou personnages (notamment celui de Thom), alors qu'à d'autres moments je me suis presque ennuyée.
L'ensemble se lit sans déplaisir, mais ne fait pas autant de bien que les autres romans de Jojo Moyes.
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Une grosse déception pour le retour de Jojo Moyes et je ne le pensais pas le dire un jour. Je suis fan de l'auteure. J'adore ses histoires profondes et touchantes. Mais cette fois-ci elle fait un flop complet. Je n'ai pas accroché. Et je reste totalement sur ma faim. Qu'est ce que je reproche? Un manque d'émotion. Aucune empathie pour les personnages. Un manque d'attrait pour l'histoire globale et ces trois générations de femmes. Beaucoup trop d'informations. Beaucoup trop de narration qui alourdit l'histoire. Pour moi ce n'est pas du Jojo Moyes. On comprend à la fin de quoi elle voulait parler mais le sujet principal passe à la trappe. SI je devais choisir une des 3 histoires, j'en serais incapable car j'ai la sensation que l'auteure n'est pas allée au bout des choses.
Je reste indulgente sur ma note car la plume de Jojo Moyes reste agréable à lire. Elle ne pouvait pas faire un sans faute dans sa bibliographie. On ne peut pas avoir que des coups de coeur pour ses auteurs fétiches.
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Enfin ! Oui me voilà enfin parvenue au bout de ma lecture. C'est très rare que je peine sur un texte et je suis déconcertée de l'avoir été pour un récit de Jojo Moyes dont je suis plutôt fan. Même si je n'ai plus retrouvé les émotions intenses d' Avant toi, l'auteure m'avait séduite à divers degrés dans les autres romans que j'ai lu d'elle. Mais là ?
C'est l'incompréhension la plus totale à tous les niveaux. Les thèmes du roman avaient cependant de quoi passionner, tant les relations familiales sont le centre du sujet, avec ses complexités. Ils sont toujours contemporains, intergénérationnel. Mais c'est à peut-être que Jojo Moyes m'a perdu. En s'éparpillant un peu trop, négligeant certaines situations au détriment de d'autres sans réel intérêt dans des digressions ennuyeuses, dans le tableau brossé, certes avec talent, de décor, mode de vie, contexte social, mais avec trop détails. Et pourtant je suis une adepte des toiles de fond.
L'histoire démarre par un prologue avec un début dont je cherche l'intérêt, en 1953 à Hong Kong, avec les aventures de Joy et sa rencontre avec Edward. L'auteur aborde déjà la relation difficile mère/fille, et un milieu très british qui expliquerait le comportement de la Joy âgée. Qui expliquerait, car il manque au lecteur de nombreuses informations pour comprendre la froideur du couple Joy/Edward.
Le début semblait prometteur, mais j'ai vite déchanté. J'avais le sentiment de suivre plusieurs chemins,avec pour seul fil conducteur les non-dits, l'absence de dialogue comme raisons plausibles de la complexité des liens familiaux. C'est dans le passé que je pensais les trouver. Je cherche encore. D'autant que certains retournements de situation sont bien peu explicites et de ce fait pas vraiment crédibles.
Eh non, je n'arrive pas à accepter le revirement de Sabine. Autant son comportement d'ado est crédible, autant son soudain positionnement ne l'est pas à mes yeux. Il manque quelque chose pour le rendre cohérent. Déjà je peinais à m'imaginer dans le rôle de Kate, en tant que mère éloignant ma fille dans des contrées éloignées dans une famille avec qui je n'aurai aucun lien affectif, ayant bataillé moi même, à la recherche d'amour et de reconnaissance.
Là encore, je n'ai pas de réponse à mes questions. les quelques bribes du passé de Joy n' apportent pas de vraies réponses, ouvrent la porte sur un nouveau mystère qui lui aussi sera superficiellement traité. la relation Joy/Edward reste en partie énigmatique, tout comme, les relations bancales entre Kate et son frère Christopher. On ignore si les liens unissant ce dernier à Joy ont été un jour normales, on en sait à peine un peu plus sur quelques souvenirs lointains effleurant celle de Kate/Edward. Alors l'on s'en vient à s'interroger encore et encore sur le délitement des liens dans cette fratrie.
C'est ce qui m'a le plus frustrée. Tout est là, mais pas abouti. Et j'en ressors avec le sentiment que ça part dans tout les sens. Et comme s'il n'y avait pas assez à traiter dans le thème principal, l'auteur vient nous glisser une romance, avec une issue des plus prévisibles et un nouveau mystère avec Annie.
Comment avec toutes les problématiques de tous ces personnages, peut-on alors à s'attacher à qui que ce soit ? je n'y suis pas parvenue.
Que dire du final ? Que penser des sentiments de Joy envers Edward ? Qu'elle signification à apporter à ce document apporté par Sabine ? Quel intérêt de laisser le lecteur interrogatif à ce propos ?
Autant Jojo Moyes a su me captiver dans la plupart des ses romans, fait ressentir émotion et empathie pour les personnages, autant elle me laisse sans voix avec ce roman que je trouve très décevant et bien palot à la hauteur de ses autres écrits.
lu dans le cadre Multi Défi
ps réedition de la Pluie
Lien : http://missneferlectures.ekl..
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J'ai trouvé ce livre long et lent, mais aussi triste et gris, tout comme le temps d'Irlande où se passe l'histoire principalement.
C'est l'histoire de femmes dans une famille, qui ne se parlent pas et qui traînent chacune leur lot de désespoir et non-dit. On a envie de les secouer pour qu'elles osent se dire ce qu'elles ont sur le coeur. Ça viendra, mais lentement, trop lentement à mon goût.
J'ai été mitigée suite à cette lecture qui ne m'a pas transcendé.
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mon premier livre de Jojo Moyes. Vu les critiques que j'ai pu lire de tous ses livres, je ne m'arrêterai peut-être pas à ce titre mais j'ai trouvé cette histoire mièvre et tirant en longueur. J'ai eu du mal à m'identifier et à m'attacher aux personnages dans ce trio relationnel entre mères et filles: Kate, la mère, toujours en train de chouiner avec ses états d'âme d'éternelle adolescente, et Sabine, la fille, pour le coup la vrai adolescente qui cherche sa place dans cette famille pas très affectueuse. le personnage le plus intéressant est incarné par la grand-mère, l'histoire fait des incursions dans sa jeunesse dans les années 50 à Honk-Kong, mais là encore le fil n'est pas très bien mené à mon goût. Vous l'aurez compris, je n'ai pas aimé, je me suis attachée à le lire jusqu'au bout mais sans grand plaisir.
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Une douce odeur de pluie flotte sur l'Irlande, où Sabine doit passer l'été dans la demeure de ses grands-parents pendant que sa mère réfléchit au sens qu'elle veut donner à sa vie, entre son ex-compagnon qu'elle a trompé et son nouveau petit ami qui ne semble pas prompt à s'engager.

Étant donné que cette lecture aura été un pensum, je ne vais pas ménager ma plume, donc attention, les paragraphes ci-dessous risquent de contenir de sévères spoilers. Pour ceux qui préfèrent garder le suspens, voici un résumé succinct qui suffira à vous donner le ton du livre (et de ma chronique).

Une douce odeur de pluie, ce sont des personnages qui font la gueule sans qu'on sache trop pourquoi, tout en déplorant que les autres leur fassent la gueule sans qu'ils sachent trop pourquoi, et qui se réconcilient en un claquement de doigts, sans qu'on sache trop comment.

Voilà pour la version courte. Et maintenant, l'avis plus étoffé…

C'est n'importe quoi ! Psychologiquement, les protagonistes ne tiennent pas la route. On a une Kate qui expédie sa fille adolescente en Irlande contre son gré, puis qui se plaint que Sabine se sente mieux là-bas que chez elle, où à l'entendre, tout allait très bien (ah ah !), et ladite Sabine qui passe son temps à répéter combien elle hait l'existence chez ses grands-parents avant de soudain décréter qu'elle y ferait bien sa vie.

Qu'est-ce qui change entre-temps ? Euh… Sa rencontre avec Annie, apparemment. Annie, une dépressive notoire qui a vécu un grand deuil et qui passe son temps à se morfondre sur son canapé, l'air à moitié endormie, sans décrocher un mot. Effectivement, ça donne envie de rester !

Oh, bien sûr, il y a aussi Thom. Thom, catalogué d'office comme le seul mec potable du coin, et ce en dépit du fait qu'il pourrait être le père de l'héroïne. Et pas seulement à cause de la différence d'âge, hein, il aurait VRAIMENT pu être son père, mais finalement Kate a préféré coucher avec quelqu'un d'autre, parce que… voilà.

En fait, on pourrait carrément résumer ce livre ainsi : « parce que voilà ». Kate ne s'entend pas avec ses parents, parce que voilà. Au début, j'ai cru qu'ils s'étaient opposés à sa relation avec Thom, mais visiblement pas. Sabine s'attache finalement à sa grand-mère, parce que voilà. Son grand-père cesse de se montrer odieux et ils nouent un profond attachement du jour au lendemain, parce que voilà. Et mère et fille sont réfractaires à l'idée de monter à cheval, parce que voilà.

D'habitude, j'aime beaucoup les histoires de famille, sauf que là, dans la majeure partie des cas, je ne suis même pas sûre d'avoir compris pourquoi les personnages agissaient de telle ou telle manière, ni pourquoi ils s'en voulaient les uns aux autres. Et à l'inverse, quand ils auraient eu une bonne raison de nourrir colère et reproches, eh bien non, on se tapote l'épaule et on se réconcilie.

Et que c'est looooong ! le prologue à lui seul annonce la couleur. Toutes ces pages pour rien, alors que les revirements se font en un battement de cils, c'est très mal dosé.

Je commence à me demander si les romans de Jojo Moyes sont faits pour moi, car autant j'ai apprécié Avant et Après toi, autant je n'avais déjà pas accroché aux Yeux de Sophie. Il restait néanmoins passable, mais là… Non, vraiment. Je me suis ennuyée, je suis restée en dehors des problèmes que les protagonistes se créent avant de se lamenter sur leurs conséquences, et de ce fait, je n'ai apprécié aucun d'eux, pour ne pas dire que la plupart m'étaient antipathiques.

Je ne vous invite pas à découvrir l'auteur avec cette oeuvre. J'ai encore Sous le même toit, le vent nous portera et Où tu iras j'irai dans ma PAL, mais je ne suis pas impatiente de m'y plonger. Je dirais même que je regrette d'avoir sauté sur ces « bonnes affaires » à Noz. M'enfin, qui sait ? Il y aura peut-être d'agréables surprises parmi ces trois-là.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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J'ai pas réussi à me plonger dans cette histoire. J'ai abandonné au bout de 100 pages. Je sais pas trop si c'est mon état d'esprit a ce moment où si c'est la plume ou l'histoire mais en tout cas ce livre n'est pas pour moi. Je tenterai peut être de le relire plus tard
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Rolala, j𠆚i vraiment eu du mal à finir ce bouquin. L’histoire pourrait être bien mais je me suis vraiment ennuyée.. peut-être le style de Jojo Moyes? Les crises d�o, les secrets de famille, les réconciliations.. Ça le paraissait intéressant mais je trouve qui l’histoire a été bâclée.
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