Commencé hier soir... étonnant et beau et insolite. J'espère que les 19 autres nouvelles sont aussi bonnes de ces 4 là.
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Il ne dessine pas, il peint, au lavis. Il soigne un détail, il laisse le reste dans le flou, il détecte l'impalpable péril dans la fêlure d'un compotier ou dans une aile de papillon.
C'est une technique très particulière, quand on est accoutumé aux crayons noirs du roman contemporain.
Pas de morale, pas de chute, pas de leçon.
On est dans l'implicite, dans le latent, dans le songe. Une fois passé le pont, les fantômes viennent à vous.
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