AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Robert Lacelles tome 1 sur 16
EAN : 9782373474862
53 pages
OXYMORON Éditions (29/07/2018)
3.5/5   2 notes
Résumé :
Un jeune homme s'apprête à se suicider dans sa chambre d'hôtel lorsqu'il est dérangé par un voleur. Ce dernier le dissuade de mettre sa menace à exécution et lui demande la raison de sa volonté d'en finir. Apprenant que le gamin a signé des reconnaissances de dettes sous le nom de son père, auprès d'un usurier, afin de couvrir ses pertes aux jeux, le monte-en-l'air lui promet qu'il va résoudre le problème et exige qu'il retourne chez lui et qu'il renonce à son vice.... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Claude Ascain est un auteur majeur de la littérature populaire française, au moins par sa production immense avec laquelle il abreuva les différentes collections du cultissime éditeur de l'époque (Ferenczi & fils), sous de nombreux pseudonymes (Jean Daye, Gérard Dixe, Pierre Olasso, Florent Manuel, Alain Martial...) ou sous son propre nom : Henry Musnik.

Quand on écrit beaucoup, que l'on doit beaucoup écrire, il est plus simple de se reposer sur des personnages que l'on maîtrise, raison pour laquelle les auteurs utilisent des personnages récurrents qui leur facilitent la tâche.

C'est le cas pour Claude Ascain plus que tout autre, puisque l'auteur a usé plusieurs personnages récurrents, dont Robert Lacelles, le gentleman-cambrioleur au grand coeur dont il est question dans ce titre.
Bien évidemment, comme dans tout personnage de cambrioleur élégant, il y a de l'Arsène Lupin dans Robert Lacelles.

Claude Ascain, malgré son métier et son expérience, nous a montré qu'il n'était pas forcément toujours à l'aise avec le format court imposé par les séries fasciculaires de 32 pages de l'époque (voir « On a tué le docteur », par exemple). Car l'exercice de style est complexe, réussir à captiver le lecteur en moins de 10 000 mots tout en lui proposant un personnage sympathique et attachant et une intrigue qui le captive a minima.

Ce pari, réussi par certains auteurs (Léo Frachet, René Thomas et, surtout, Charles Richebourg), est bien souvent perdu par la majorité des autres. Henry Musnik s'y est un peu cassé le nez sous le pseudonyme de Florent Manuel, mais il redresse la barre sous celui de Claude Ascain, du moins avec son personnage de Robert Lacelles.

Certes, rien d'original ni de transcendant dans ce très court roman, mais force est de constater que l'auteur fait le « job » en parvenant à satisfaire le lecteur et lui offrir un bon moment de lecture avec les aventures d'un personnage que l'on aura plaisir à retrouver.

Au final, Claude Ascain, alias Henry Musnik, nous propose un personnage sympathique à défaut d'original et nous livre une histoire plaisante à lire.
Commenter  J’apprécie          10
Ammetto con candore di essere stata attratta dalla figura in copertina, che sbircia attraverso la finestra, vestito di tutto punto e appeso al cornicione, e anche dal biglietto da visita appuntato in cima: "Robert Lacelles Gentleman-Cabrioleur".
Per mia fortuna non ne sono rimasta delusa. Forse è un po' corto, questo sì, ma in cambio è divertente, molto, e un piacevole passatempo con qualche piccolo brivido annesso, nel seguire le peripezie del "tizio alla finestra".
Robert Lacelles, inutile sottolinearlo, prende le sue linee guida da uno dei Gentlemen-Cabrioleurs più famosi dell'universo letterario: Arsène Lupin. Ha molti punti in comune, ma altrettanti che lo distinguono: è intelligente, pieno di spirito, astuto, non manca di mezzi atti a risolvere le situazioni in modo il più indolore possibile, un po' come chi lo ha preceduto del resto. di contro, almeno come primo approccio, l'ho trovato più umano e meno folle. Gentile, certamente, ma quel che è importante, lo è più o meno con tutti, senza distinzioni, tranne con i "cattivi". Insomma, non si limita a fare il cascamorto con le fanciulle avvenenti (e ricche), ma si adopera in favore di chi capita.
Soprattutto (ma ciò non è detto sia da annoverare nei lati positivi, forse sì), fa meno paura.
Commenter  J’apprécie          15


Lire un extrait
autres livres classés : exercices de styleVoir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs (3) Voir plus



Quiz Voir plus

Locutions latines (niveau fastoche)

Errare humanum est :

Il est humain d’errer dans la gare de l’Est
L’ère de l’Homme est venue
L'erreur est humaine

10 questions
318 lecteurs ont répondu
Thèmes : latin , vocabulaire , culture généraleCréer un quiz sur ce livre

{* *}