Si au final une pièce comme
Lorenzaccio a fini par m'intéresser, en revanche ce n'est pas le cas des Caprices de Marianne!
Le seul point positif est le style
De Musset, agréable et poétique, mais hélas, ici, cela ne m'as pas 'empêcher de détester la pièce.
-je ne dis que mon point de vue-
Hormis le décès de Celio a la fin, il ne se passe pas grand chose. Juste les lamentations incessante de Celio, qui aime Marianne mais qui ne s'approche pas d'elle.
Au final, ce sera Octave, le libertin qui s'approchera de la belle, qui finira par tomber sous le charme. Voila.A quoi bon alors?