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sur 3390 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Certains de mes amis me reprochent d'être snob et de fustiger les auteurs à la mode. Pour ma défense, je réponds que j'aime certains auteurs à la mode et populaires (Pierre Lemaître, Amelie Nothomb...) et que j'ai déjà essayé Katherine Pancoll, Gilles Legardinier, Marc Levy et Joël Diker et que c'est de la merde. Bon, d'habitude j'argumente mais c'est pour planter le décor. Il manquait à mon palmarès, le plus populaire de tous: Guillaume Musso. J'ai demandé à une amie de me prêter un "bon Guillaume Musso" et elle a choisi Un appartement à Paris. En plus c'est cool car ça m'aurait permis de valider l'item "titre contenant un nom de pays ou de ville" dans mon challenge. Et ben non. Dès le prologue qui ne dure que 6 pages, j'ai eu envie d'abandonner. Je me suis forcée; j'ai lu jusqu'à la page 51 (soit 10% - ce qui est le minimum que je m'inflige pour les bouses) et j'ai craqué. Pourquoi ?
1) Invraisemblances et cucuterie: on nous le dit dans la 4eme de couverture: un homme et une femme très différents (je parie qu'ils vont finir amoureux) louent, à cause d'une bourde de l'agence, le même appartement. Non seulement ils vont cohabiter mais enquêter ensemble. Ça alors ! Car en plus, la dame est policière et spécialisée dans les cold cases et, devinez quoi, l'appartement est un ancien atelier de peintre, peintre qui a perdu son petit garçon, un col case terrible , bref, vous les voyez les grosses ficelles ?
Ah oui aussi, qui peut croire qu'une policière, même newyorkaise, a les moyen de louer pendant 1 mois une demeure d'exception en plein Paris, une villa art déco avec atelier et jardin dans une impasse privée et ça, juste pour se ressourcer ?
2) un style épouvantable: le prologue est écrit à la 2eme personne du singulier pour faire genre "ton inconscient te parle" ou "je suis un narrateur omniscient qui surveille le personnage". Ça ne fonctionne pas du tout tant c'est artificiel.
3) relis-toi Guillaume, par pitié ! Guillaume Musso et tous ces auteurs de daubes adorent ancrer le récit dans le réel avec des indicateurs de lieu et de temps hyper précis, genre Roissy, 20 décembre, 12h41 (qu'est-ce que ça peut foutre qu'il soit 12h41 ou 13h03 ?) du coup, quand Gaspar est incommodé par la chaleur, on tique. le pire, c'est quand il ouvre la baie vitrée de la terrasse et que "les oiseaux chantent". Sérieusement, fais attention Guillaume; les lecteurs que tu prends pour des cons pourraient se vexer.
4) une histoire abracadantesque: non seulement nos 2 enquêteurs (dont l'un est amateur) vont travailler sur les toiles disparues d'un peintre fou (fou de douleur d'avoir perdu un petit garçon) mais le prologue laisse entendre que Mélissa (ou Wendy, ou Je ne sais plus) a quitté la police après une affaire similaire non résolue et qu'elle a également été traumatisée par la rencontre avec le petit garçon de son ex de qui elle aurait voulu un enfant... bref, de la semoule.
Quand je pense qu'on abat des arbres pour publier ça, c'est navrant.
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Un navet de plus c'est creux complétement décousu beaucoup d'incohérences et de débilités
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Lecture achevée, une bonne chose de faite. Un roman, vendu pour un thriller, ok, j'achète, j'adore les thrillers. Et là, déception totale, je lis, je lis je lis, je m'essouffle, où est le thriller promis, un ivrogne mégalo et une suicidaire qui se retrouve et se lance dans des recherches ok, mais il manque quelque chose. Ah oui, à une petite centaine de pages de la fin voilà le sérial-killer il arrive mais n'est-ce pas un peu tard, dommage, je regrette un peu d'avoir lu autant de pages pour ne pas oser abandonner et pour vouloir comprendre finalement l'histoire somme toute banale et absolument pas originale d'un tueur d'enfant. En cela, Guillaume Musso est très fort, m'avoir tenue finalement assez longtemps pour arriver à la fin, mais que de temps perdu tant pis pour moi. Vraiment très déçue.
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Il y a longtemps, j'ai lu quelques Musso et je ne m'en souviens plus du tout. Je me souviens juste que j'ai eu l'impression de lire à peu près le même livre à chaque fois. J'ai essayé d'en lire un autre il y a quelques mois (7 ans après), mais je n'ai pas pu dépasser le quart du livre.
Je viens de refaire une tentative au cas où. Après tout, il y a beaucoup de gens qui aiment. Il doit bien y avoir quelque chose. J'ai réussi à le lire en entier, c'est déjà ça. Bon c'est vrai que le style n'est pas terrible, même si Musso place de temps en temps un mot compliqué, peut-être pour faire oublier son style justement, mais du coup le mélange est bizarre.
Mais ce n'est pas le style qui m'a gênée. Un style très simple peut être agréable à lire si l'histoire est à la hauteur. Ce qui m'a beaucoup gênée ce sont toutes ces invraisemblances et son étalage de culture et de noms de marque.
Chez Musso, quand vous sonnez chez un inconnu pour avoir des informations, celui-ci vous fait entrer chez lui sans savoir qui vous êtes exactement, répond à vos nombreuses questions, parfois indiscrètes et en plus vous raconte sa vie. Ça marche avec une voisine, la famille d'un policier ou un responsable de labo qui vous livre sans problème des résultats d'analyses confidentiels et j'en passe. Chez Musso, quand vous louez l'ancienne maison d'un peintre très connu et décédé, vous y trouvez tous ses vêtements, ses factures et son courrier personnel. Chez Musso, vous avez beau ne jamais avoir eu de portable, ni d'ordinateur car vous refusez les nouvelles technologies, vous finissez quand même par acheter un téléphone et vous réussissez à surfer sur le net, à rapatrier des fichiers presque les doigts dans le nez. Chez Musso, quand vous voulez vous introduire dans une école de nuit pour récupérer quelque chose que le peintre y a caché, c'est facile. La courte échelle, un tour dans la cour et hop, vous trouvez la clé en 5 minutes. Ben oui, tout le monde sait que les maîtresses cachent souvent une clé de l'école dans le tableau électrique du local à poubelles ! Et je ne parle pas de la façon dont vous trouvez ce quelque chose dans une classe, si vite que c'en est ridicule. Tout est facile chez Musso. C'est sacrément pratique pour faire avancer l'enquête, mais pas crédible du tout.
Chez Musso, quand vous arrivez chez quelqu'un, vous commencez par voir la marque du canapé, des valises posées dans l'entrée et des chaussettes de l'interlocuteur. Chez Musso, vous n'avez pas des chaussures, vous avez des Converse, des Moon Boots ou des Doc Martens. Vous n'avez pas un beau sac à main cher, vous avez un Bulgari. Vous n'avez jamais un téléphone portable mais toujours un IPhone bien sûr. Je pourrais trouver plein d'autres exemples. Est-il payé par les marques pour les citer sans cesse ?
Je trouve ça horripilant toutes ces marques citées qui n'apportent rien. Dans le cas du responsable de labo, j'imagine que le but est de faire comprendre qu'il est aisé et a envie de le montrer. Mais Musso pourrait être plus fin et ne pas avoir besoin de marques pour nous le faire comprendre. Je suppose que ce sont des marques chères vu le contexte, mais je ne les connais même pas ces marques, connaissant moins le monde de la mode, du luxe et du design que Musso.
Autre chose qui me sort par les yeux, c'est son étalage de culture littéraire, cinématographique, musicale, picturale, culinaire … amenée avec ses gros sabots, n'importe quand, n'importe comment. Insupportable de faire citer régulièrement à ses personnages des phrases tirées de livres d'auteurs connus ou de leur rappeler une chanson, une séquence de film. La page 48 en est une belle illustration. En effet, sur une même page, un personnage nous détaille une scène de film, nous cite plusieurs grands écrivains, puis une phrase d'Hemingway ! Ça n'apporte rien, ça meuble c'est tout. C'est lourd et en plus pédant.
Même chose pour ses citations en début de chapitre qui n'apportent rien sinon encore à placer sa culture. Elles le desservent plutôt car si on compare son style à celui de certains des grands auteurs qu'il cite, ce n'est pas à son avantage.
Donc pas un grand livre loin de là. Peut-être aurais-je pu apprécier un peu sans les trop nombreuses invraisemblances et cet étalage grossier de culture et de noms de marques. Je n'arrive pas à passer outre et ça gâche trop ma lecture pour que j'arrive à apprécier l'histoire qui en soi n'est pas nulle.
Je n'en resterai pas traumatisée non plus puisque terminé hier, ce livre est déjà oublié.
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Madeline Greene, ancienne enquêtrice à la police londonienne, vient de quitter ses fonctions pour s'accorder une pause. Elle a loué la maison du peintre Sean Lorentz, décédé l'année précédente, inconsolable après l'assassinat de son petit garçon. Mais la maison a été également louée à Gaspard Coutances, dramaturge, qui compte profiter de son séjour à Paris pour écrire sa nouvelle pièce, très attendue. La rencontre menace de tourner vinaigre, mais les deux jeunes gens se découvrent une passion commune pour Sean Lorentz, dont ils parviennent à trouver trois derniers tableaux. Leur quête les amène à se pencher sur la mort du fils de Lorentz, dont ils sont de plus en plus persuadés qu'il est toujours vivant…

Thriller, page turner, ce récit regorge effectivement de rebondissements. Mais il est également truffé d'invraisemblances (Gaspard, qui n'a pas de téléphone portable, s'achète un smartphone dont il devient un pro en moins de 24 heures, les deux personnages sautent dans un avion comme on prend le métro, faisant fi de toute contrainte horaire ou pécuniaire…), de détails convenus et de culture picturale qu'on étale pour tenter de faire oublier qu'il s'agit d'un roman de gare. Bref, à lire d'un oeil à l'heure de la sieste, et à oublier très vite.
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L'ennui s'installe dés le début de la lecture, je suis déçu par ce flot d'incohérence et d'invraisemblance. Ça sent le remplissage commercial.
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Pendant les 300 premières pages, présentation des deux personnages principaux dont on se doute bien qu'ils finiront en couple à la fin du livre. Sur le plan de l'action, rien.
Puis les 200 dernières pages, on passe de Paris à Madrid, puis à New-York, puis c'est un enfant de deux ans qui a survécu en fond de cale et dans le noir pendant 1 mois environ : c'est tissé d'invraisemblances et on n'y croit pas une seconde.
Le tout écrit dans un style m'as-tu-vu où l'auteur distribue des citations et énumère des auteurs et des artistes contemporains montrant ainsi son immense culture ! Risible. Et où les descriptions sont d'une banalité qui donnent envie de lâcher le livre.
C'est sans doute ça un navet...
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Mais où est passé le talent de Guillaume Musso ? Ce livre ne devient intéressant qu'à partir de la page 400, pour un livre qui en contient 458 !! Fabuleux !
Un grand étalage de noms d'artistes et de designer, qui n'apporte pas grand chose à l'histoire, finalement peu convaincante. Très déçue !
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Déçue ...
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J'ai voulu essayé de lire un livre de Musso en achetant « Un appartement à Paris » je n'ai pas Dutout accroché et j'ai préféré abandonné ma lecture.

Beaucoup trop de descriptions inutiles, je me suis ennuyé dès la première page et j'ai arrêté au bout de la centième.
Beaucoup de noms d'artistes, de designer… qui n'apporte rien à l'histoire.
Je trouve qu'il n'y a aucune action et que c'est incohérent.
J'ai préféré arrêté cette lecture pour ne pas me prendre la tête.

Très déçue de ce livre.
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