Seules les bêtes

Bercé dans l'univers des paysans, Colin Niel nous dévoile la disparition d'une femme dans son roman Seules les bêtes. En effet, sa voiture est retrouvée. Mais où peut-elle bien être ? Va-t-on la retrouvée ?

L'enquête commence
Emporté par le vent d'hiver, autrement dit « la tourmente » d'après les rumeur, Evelyne Ducat âgée de 48 ans, se serait envolé le 19 janvier, laissant son véhicule à l'abandon, à la suite d'une probable randonnée.

L'assistante sociale
Une jeune assistante sociale, nommée Alice, exerce principalement son métier à la campagne, auprès des paysans. Elle leur explique les aides financières et/ou sociales qu'ils peuvent demander à l'Etat ou tout simplement, leurs droits. Dans son métier, elle exerce également la profession de psychologue (alors qu'elle n'a aucun diplôme).
Lors d'une visite, elle rencontre un agriculteur aux multiples problèmes. Comment va-t-elle réagir ?
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Découvert dans le cadre de la sélection Cezam.

Une écriture fluide, des chapitres saccadés centrés sur un personnage à la fois, personnages attachants bien dépeints mais un peu trop caricaturés à mon gout.
L'intrigue est convenable, mais m'a énormément déçue, trop de coïncidences, trop de clichés...

Donc une lecture facile, mais sur le fond, je trouve ça trop grossier.

ce livre faisait partie de la sélection pour le prix des lecteurs corréziens. le lire en 3 jours n'a pas été un problème tant il m'a passionné. On vit avec chaque personnage, on ressent ce qu'il ressent, cette armoire qui bouge chaque nuit chez Joseph. Mais ce que je retiens de ce roman c'est la grande misère amoureuse de ces personnages qui préfèrent l'illusion à l'engagement. Michel ira jusqu'à payer pour pouvoir continuer une relation épistolaire alors qu'il sait que tout est faux. Oui je trouve qu'il y a là de la misère . Mais c'est un roman formidable dont chaque personnage est attachant et l'on peut s'imaginer très bien la vie qui est la sienne. Bravo

Je n'ai pas réussi à dépasser quelques dizaines de pages... Dieu que c'est lourdaud ! Dieu que c'est naïf (dans le mauvais sens du terme, malheureusement) ! On ne sent aucun naturel dans l'écriture, aucune spontanéité, les personnages sont taillés très grossièrement, le style est poussif et maladroit...

Peut-être est-ce l'intrigue qui a plu aux autres lecteurs ? de mon côté, les tares de l'écriture m'ont empêché de poursuivre.

Quel plaisir de découvrir ces mondes différents : j'ai lu ce livre en vacances en Auvergne et suis donc entrée facilement dans le monde de Josef et Michel . Je conseille donc aux citadins de le lire en vacances à la campagne.
Un autre lieu serait aussi intéressant mais je risque de dévoiler la fin du livre :-)