Koji et Daisuke ont désormais bien grandi et se trouvent à la tête d'un gang de yakuzas, les Dragons noirs.
Face à eux, les Roses pourpres sont toujours les plus puissants, n'hésitant pas à recourir au chantage et aux trafics en tout genre pour conserver cette place.Mais la tendance est en train d'être inversée et Ryo Nigami, leur dirigeant, cherche un nouveau moyen de pression.
Comme je le disais, j'ai été très contente de revoir Daisuke et Koji. Ce petit duo est très efficace, et ils ont été rejoints dans leur croisade par de nouveaux membres, tous très sympathiques, amusants et plutôt drôles dans l'ensemble.
Daisuke est mon petit chouchou, pas simplement parce qu'il est beau gosse, mais aussi parce qu'il me semble un peu plus raisonnable et réaliste.
Koji, en revanche, m'a un peu moins plu, notamment parce que sa relation avec Vivi m'a paru très bancale.
Vivienne est d'ailleurs pour moi le gros point noir, je ne l'ai pas du tout appréciée. Ses crises parce qu'elle est confinée toute la journée m'ont agacée, au bout d'un moment, elle n'a qu'à se prendre en mains et sortir de chez elle.
Celui qui m'a aussi beaucoup plu, c'est Kaoru. Il est charmant et dangereux à la fois et je le vois un peu comme un alter ego de Daisuke.
L'essentiel du tome tourne d'ailleurs autour de leur affrontement à distance et il est bien difficile de prédire à l'avance qui va l'emporter.
Au niveau du dessin, c'est splendide. Je suis très fan du graphisme, que ce soit pour les personnages, mais surtout pour les tenues de Vivi qui sont magnifiques.
Elle porte tout le temps des robes très élégantes et son seul passe temps étant le shopping, j'en ai pris plein les yeux.
Si on excepte donc le couple Koji/Vivienne dont je ne suis pas la plus grande fan, ce premier tome est vraiment bon.
Je regrette juste de ne pas avoir retrouvé la tatie à bigoudis qui était si drôle. Heureusement, Manabu est toujours là pour réussir à sortir une bonne blague quand il faut pour réussir à détendre l'atmosphère.
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