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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Tucker revient à dix-huit ans de la guerre de Corée en 1954. Il a appris la violence pendant cette période pour se défendre et se protéger. Il rencontre Rhonda, il se marie et ont des enfants. Rien n'est simple dans leur vie au fond du Kentucky. Trafic, prison, mais la priorité reste les enfants. J'ai des difficultés pour juger ce livre. L'histoire est intéressante et prenante. Tucker malgré ses défauts et sa complexité est un personnage attachant. Mais il m'a manqué un je ne sais quoi pour emporter mon adhésion.
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A la fin de la guerre de Corée, Tucker décide de rentrer chez lui. Sur le chemin, il rencontre Rhonda qui deviendra sa femme. de multiples péripéties se passent et Tucker tente au maximum de protéger sa famille.
De nombreuses valeurs sont aborder dans ce roman comme la famille, l'amour et la loyauté. Mais malgré cela, je n'ai pas réussi à accrocher à la plume de l'auteur et à l'histoire.

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De retour de la guerre de Corée, Tucker, 18 ans, s'apprête à rentrer dans son Kentucky natal. Sur la route, il croise Rhonda, 15 ans à peine, qu'il tire des griffes de son oncle. Elle deviendra la femme de sa vie et la mère de ses six enfants dont le dernier naîtra en prison. Tucker a en effet accepté de « payer » pour protéger son employeur, trafiquant d'alcool, qui lui promet une belle somme d'argent à la sortie.
Mais le taiseux Tucker, si tendre avec les siens, se met en mode combat contre toux ceux qui tentent de briser l'unité familiale comme les services sociaux qui menacent de lui retirer quatre de ses « bébés » handicapés.
Malgré une belle écriture lyrique et âpre, « Nuits appalaches » ne m'a pas touchée. Trop court, trop elliptique peut-être pour développer cette histoire de laissés-pour-compte perdus dans les collines.

Lien : http://papivore.net/litterat..
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J'ai passé un bon moment de lecture avec ce livre.
Ce livre est très noir mais il s'en dégage beaucoup de grâce et d'humanité.
La famille deTucker et Rhonda est touchante. Autant que le combat de ce père pour ses enfants. Une belle leçon de vie et de lutte contre l'adversité. Sombre mais poignant, porte par un écriture puissante, ce livre saura vous conquérir. Je recommande.
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Après Alex Taylor, Chris Offutt nous entraîne chez lui, dans le Kentucky. L'atmosphère est plus respirable que dans le précédent roman néo-rural, une promenade de santé avec guide de survie, néanmoins, en milieu hostile. Il y a un parfum de Rambo chez Tucker, une guerre plus tôt, celle de Corée, le renvoie chez lui, gamin déjà aguerri aux techniques de combat. Il a fait son temps, la guerre est finie, 18 ans, un vétéran s'apprête à goûter aux joies de la vie campagnarde, pêche et nature, chasse et débrouille mais non, la vie a décidé que Mr Tucker grandirait plus vite que son ombre, qu'après la patrie, il servirait la famille, autre valeur sûre, le tout sous les auspices d'un travail dûment rémunéré. Certes, ledit travail est, comment dire, un peu en marge. J'oubliais l'Amour, le grand, l'unique, le seul , celui qui vous lie pour la vie, celui qui n'existe que...dans les livres mais c'est fait pour ça, la littérature, rêver à ce qui n'existe pas dans la vraie vie.
Je m'égare, bien que, à y regarder de plus près, le rêve n'en est pas vraiment un sauf à considérer une famille nombreuse sans le sou, avec des enfants...à problèmes comme le modèle vers lequel chacun tend dans sa représentation d'une vie rêvée.
La guerre apprend à tuer, elle donne l'autorisation de faire tout ce qui est rigoureusement interdit dans la vie civile, elle vous l'inculque, c'est un code de survie, des automatismes dont on ne se débarrasse jamais vraiment.
La vie sociale américaine, dans son âpreté, ré-enclenche ces automatismes, les rend inéluctables.
Ici, dans le Kentucky des années 60, un vétéran de la guerre de Corée est très loin de la contestation de la guerre du moment, celle du Vietnam, nous ne sommes pas en Californie, à Berkeley ou ailleurs, il faut vivre et pour cela, il faut tuer.
Il y a toujours dans ces polars une atmosphère étouffante de jungle aux lois implacables et ce, quelque soit l'empathie que peut susciter tel ou tel personnage.
Struggle for life.
J'ai passé un bon moment, faites-en autant.
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